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 BOLLING ORCHESTRA PLAYS ELLINGTON: BLACK BROWN & BEIGE

«Black, Brown and Beige est sans doute l’une des plus grandes œuvres de Duke Ellington compositeur. Surtout, le Duke lui-même n’aurait pu l’interpréter dans son intégralité qu’à deux reprises dans toute sa vie. Claude Bolling ici fait plus qu’en délivrer l’interprétation. Selon les propres mots de Mercer Ellington, il en crée, à proprement parler, une nouvelle version.»
Patrick Frémeaux

«Le Jean-Sébastien Bach de l’habile et respectueux Claude Bolling est Duke Ellington. Qu’il soit remercié de nous le rendre encore vivant par ses concerts et par ses disques – avec toutes les brillances de la prise de son moderne.»
André Francis

«Claude at some time or other, had to have hung out with the wrong people to get the right feeling of soul interpreted in his version, or should I say this version of Black, Brown and Beige. You’ll fin the occasions rare where this work is performed in its entirety. Yeah, even Duke Ellington only performed it completely twice in the course of his life. (…) Thank goodness he [Bolling] helps to keep the genius of Duke Ellington alive. And one further word: it takes a genius to know a genius.»
Mercer ELLINGTON

BLACK :
 Work song • Come sunday • Light (Part 1) • Light (Part 2) • Light (Part 3)
BROWN : West indian dance • Emancipation celebration • The blues BEIGE : War • Sugar hill penthouse • Rock waltz • Symphonette • Final

Droits : Frémeaux & Associés en accord avec Claude Bolling
Liste des articles de presse consacrés à ce CD :
- "Le rêve du créateur de "Satin Doll" est enfin exaucé" par Biblionline
"D’un côté, l’un des musiciens-compositeurs de jazz et directeurs de big band les plus célèbres du monde avec Michel Legrand. Pour le profane, il est l’auteur de la musique du film « Borsalino ». Pour les amateurs de jazz, c’est la certitude d’assister à chacun de ses concerts en grande formation à un flamboyant répertoire alliant le swing, le stride, le dixieland et le rag time. Soit les styles majeurs du début du jazz américain entre 1900 et 1950 avant la révolution « be bop ». 
Tout à tour pianiste soliste et chef d’orchestre accompagnateur à la manière d’un Count Basie ou d’un Duke Ellington. Justement la passion de Claude Bolling pour ce compositeur majeur du XX ème siècle l’a amené à reprendre l’un des plus importantes compositions du répertoire jazz avec « Porgy and Bess » quoique bien moins connue que cette dernière. En effet, Black, Brown and Beige » n’a jamais généré de « hit » tel que « Summertime ». Pourtant cette pièce musicale de près d’une heure est à la fois une prouesse de composition puisque qu’elle en appelle à différents styles de la musique négro-américaine mais est également une histoire musicale du peuple noir esclavagisé dont est issu « The Duke ». Les trois triptyques « Black, Brown and beige », eux-mêmes divisés en plusieurs mouvements, racontent en musique l’évolution de la condition des noirs aux USA. L’esclavage, la ségrégation, l’accès difficile à la religion chrétienne malgré les aspirations à une pratique religieuse intense qui donneront le Gospel, Puis l’émancipation, les métissages avec le monde latino (West Indian dance »), l’implication dans la guerre mondiale en 1917 et l’accès aux couches sociales aisées qui verront naître un certain Miles Davis. On pourrait s’étonner toutefois de ce portrait un peu naïf et angélique sachant que Duke Ellington fut surtout considéré comme un amuseur pour fêtes de Blancs au Cotton Club où on ségrégationnait le public en deux parties, qu’il fallu les émeutes des années 60 pour que les noirs obtiennent de meilleurs droits civiques et qu’encore aujourd’hui le lumpen-prolétariat américain est à majorité noire. Les films tels que « Bird » ou «Ray » sont à ce sujet bien édifiants ainsi que les autobiographies de Mingus et de M. Davis ! 
Il n’en demeure pas moins que ce « B, B &B » est l’illustration des qualités uniques de compositeur du Duke à qui l’on doit une foule de standards encore joués de nos jours et à celui d’orchestrateur de C. Bolling qui a su redonner à la partition originale toute la densité de ses couleurs harmoniques. Du vivant du Duke, « B,B &B » ne fut joué de deux fois intégralement. Avec la tournée puis ce disque, le rêve du créateur de « Satin Doll » est enfin exaucé." Albi Bop - biblionline.com
- « Une bonne surprise » par Jazz Magazine
Une bonne surprise que cette Black, Brown and Beige, suite créée par Ellington au Carnegie Hall en 1943, par le big band de Claude Bolling. Sous titrée « A Tone Parallel to the American Negro history », la BBB n’a jamais été enregistrée entièrement par son créateur, pour cause de « recording band », la seule trace de son intégralité est un enregistrement radio du concert au Carnegie Hall. Resté fidèle à la lettre de la suite, hormis quelques adaptations finales, Bolling a su utiliser les arrangements des enregistrements postérieurs et restituer les solos originaux, qui eux aussi étaient écrits, grâce aux talents de Claude Tissendier (anches), Michel Camicas (tb), Pierre Schirrer (ts)… . Duke Lives.  
JAZZ MAGAZINE
- « Une qualité d’exécution remarquable de précision » par Jazz Magazine
Le point fort de cette recréation est outre la prise de son, une qualité d’exécution remarquable de précision. Les solistes, qui ne prétendent pas rivaliser avec les modèles, font plus que d’honorer le contrat et la chanteuse Guylenn se tire remarquablement bien de The blues, un thème dont la facilité n’est qu’apparente. 
JAZZ MAGAZINE
- « Bolling prend la Suite » par La Semaine des Spectacles
Et cette Suite, c’est la « Black, Brown and Beige », l’une des œuvres les plus importantes issues de la plume fertile de Duke Ellington et en même temps l’une des compositions les plus ambitieuses et achevées de la musique de jazz. De la dramatique condition des esclaves au réconfort de l’église, de la tristesse du blues à la joie de l’émancipation, de la douleur à l’espérance, c’est au sein de la société américaine, le difficile chemin du peuple noir des Etats-Unis dont Duke Ellington donne une image sonore saisissante et dont la palette de couleurs va bien au-delà du camaïeu que le titre suggère… Cette œuvre foisonnante de richesses, de par son importance peu jouée, qui mieux que Claude Bolling pouvait la faire revivre aujourd’hui pour nous ? A la tête de son grand orchestre où se retrouvent les plus prestigieux jazzmen français, Claude qui, depuis qu’il pianotait en culottes courtes, a toujours eu pour Ellington infiniment d’admiration et de respect, vient d’enregistrer la « Black, Brown and Beige » et les raisons qui font de ce disque CD un événement sont nombreuses : la re-création de la musique du Duke dont Bolling a une si intime et totale compréhension, la redécouverte d’une œuvre qui a marqué l’histoire du jazz et le plaisir que l’on éprouve à l’écoute d’un enregistrement bénéficiant des sonorités chatoyantes dont la technique d’aujourd’hui restitue chaque nuance. A l’écoute de la bande, Mercer Ellington, le fils du Duke qui dirige aujourd’hui la célèbre formation, a tenu spontanément à écrire le texte de présentation du disque. Il le termine en ces termes : « … Merci à ‘Frère Bolling’ de contribuer à garder vivant le génie de Duke Ellington… Il faut un génie pour comprendre un génie ! »
Henri MARCHAL – LA SEMAINE DES SPECTACLES
- « Un très beau livre d’images sonores » par Jazz Swing Journal
La passion de Claude Bolling pour Duke Ellington est connue de tous. Aimant relever les défis avec cette grosse machine qu’il qualifie parfois de « sa danseuse », Claude Bolling a enregistré cette fameuse Black, Brown and Beige, suite majuscule que Duke Ellington a composée en 1943 et qui illustre l’évolution de la musique des Noirs américains au travers de diverses influences culturelles pour aboutir finalement (mais y-a-t-il un aboutissement ?) à sa propre identité, unique tout en étant complexe. En réécrivant cette suite, en la faisant jouer et en l’enregistrant superbement, Bolling est allé jusqu’au bout de sa passion, de son enthousiasme, de son talent, en compagnie de ses musiciens auxquels il a tenu à rendre hommage par ce récit bouleversant qui les valorise tous. Loin d’apparaître comme une copie servile de cette œuvre de 45 minutes peu jouée par le Duke, la suite B.B.B version C.B. a été revivifiée, recolorée, réorchestrée dans sa troisième partie c omme pour une mise à jour. Il s’agit (pour ceux qui ne la connaîtrait pas !) d’une véritable épopée sonore contenant tout ce qui peut faire frémir ceux qui aiment le jazz et qui aiment les histoires. On peut d’ailleurs suivre au cours de l’audition les explications données par Claude Bolling sur le livret d’accompagnement qui est à lui seul un pur joyau. On profite ainsi davantage et on comprend mieux le contenu de ce scénario musical hors du commun. Un très beau livre d’images sonores. Bel hommage rendu à Duke Ellington, à son œuvre, mais aussi à tous les musiciens noirs américains. 
Pierre FAGALDE – JAZZ SWING JOURNAL
- « L’orchestre prestigieux de Claude Bolling atteint la perfection » par Hot Club de France
La Black, Brown and Beige n’avait été enregistrée intégralement par Duke qu’à l’occasion du Concert au Carnegie Hall du 23 janvier 1943, paru autrefois en FDC 1004 et Prestige 34003. Après avoir joué cette suite en concert à New York et au Symphony Hall de Boston quatre jours plus tard Duke ne l’enregistra jamais dans sa totalité. Cependant les mouvements de certaines parties de cette suite demeurèrent à son répertoire : Come Sunday, West Indian Dance, Three Dances. Quelques extraits de cette suite figurent ainsi le concert du Carnegie Hall du 19 décembre 1944 et on trouve aussi des morceaux disjoints dans plusieurs microsillons, entre autres dans le disque fait avec Mahalia Jackson les 5 et 11 février 1958. Claude Bolling a réussi à reconstituer la Black, Brown and Beige à l’aide de ces enregistrements et d’une partition écrite que lui envoya Mercer Ellington. Avec son accord il a écrit un final conforme au génie ellingtonien, reprenant les différents thèmes : Duke lui-même n’aurait pas fait plus ellingtonien ! De toutes les suites écrites par Duke, c’est celle qui est le plus constamment en tempo, à part les interludes nécessaires. Inutile d’affûter des épithètes pour parler d’un CD d’une telle valeur : l’orchestre prestigieux de Claude Bolling atteint la perfection, et il est certain que personne d’autre que Claude Bolling n’aurait pu mener à bien une entreprise aussi grandiose, n’aurait même osé s’y frotter. Il a rédigé lui-même le texte de présentation décrivant l’esprit de cette suite avec une compétence qui le désigne comme le premier héritier spirituel de Duke. Si l’on voulait nommer les solistes remarquables, il faudrait citer tous les musiciens de l’orchestre. Tous prennent des solos et sont bien indiqués dans la dernière page du cahier d’accompagnement. Ajoutons que cette interprétation n’aurait pas atteint un tel niveau sans le merveilleux Vincent Cordelette à la batterie. L’enregistrement est somptueux. 
HOT CLUB DE FRANCE
- « Black, Brown and Beige - Duke Ellington » par Down Beat
The Bolling performance is generally faithful to the original. The soloists focus on playing the score with its spirits, not on chasing the cult of personality.  
John MCDONOUGH - DOWN BEAT
- « Ellington landmark sparkles » par The Denver Post
This is the most important jazz release yet from Milan. « Black, Brown & Beige » has long been one of my favourite Duke Ellington compositions, despite the lukewarm appraisal of some critics. The Duke used it to inaugurate his historic series of Carnegie Hall concerts in 1943, an epochal event in winning respectability for jazz. His later studio recordings of it date from 1944-45 and 1958. Divides into « Black, Brown & Beige » sections, the suite was Ellington’s attempt to portray the history of black Americans in music. French pianist/arranger Bolling has orchestrated what may be the most complete version ever, including his own finale reprising the « Work Song », « Come Sunday » and « Sugar Hill » themes. Blessed by the Duke’s son Mercer, this 43-minute CD is most notable for the quality of the Bolling big band. There may be no Johnny Hodges, Harry Carney, Cat Anderson or Ray Nance, but the French jazzmen play passionately, with a real feel for the idiom. Violinist Patrice Fontanarosa captures the spiritual quality of « Come Sunday » while vocalist Guylenn beautifully insinuates the lyric to « The Blues ». Other individual soloists are not identified, but some of the reed men in particular are of Ellington calibre. Great music, beautifully performed and recorded.     
Jeff BRADLEY - THE DENVER POST
- « Don’t miss this opportunity » par Rapport
♦♦♦♦ If anything substantiates what a great composer Duke Ellington was, this recording should do it. Black, Brown and Beige was a suite of such magnitude that it was acclaimed from the first night it was presented in January 1943 at New York’s Carnegie Hall. According to the liner notes, son Mercer says that The Duke only performed it completely two times in his lifetime, the one at Carnegie Hall the first. But tunes from the suite – Come Sunday and Work Song, for example – have been performed by his orchestra countless times. No matter that. Considering that the live performance in 1943 is recorded – and in an often muddy fashion obviously not originally meant for public consumption – yet now on the market, getting it whole in super high CD fidelity and with an orchestra so perfectly in tune with the music and spirit of The Duke is very special indeed. Ellington wrote his music with his band members in mind but here translated into the hands of Bolling’s personnel it certainly shows itself to be one of the finest of Ellington’s creations. The Bolling Orchestra is more than up to the challenge of emulating the work. Indeed, checking this recording with that of the original, Bolling has kept the cadence and the drive of that initial performance intact throughout. Don’t miss this opportunity to rally hear the genius of Ellington as well as Bolling. 
W.Y. - RAPPORT (West Coast Review of Books, Art & Entertainment)
- « I give this Bolling masterpiece my unqualified, one-hundred-per-cent approval » par Crescendo Mag
Now, if I never listen to another record, or never be constrained to pen another line in either disapproval or approbation, I give this Claude Bolling masterpiece my unqualified, one-hundred-per-cent approval. This is essential, but essential listening; ageless music by jazz’s greatest past master has been brought to shimmering reality by a musician whose combined qualities of practical brilliance, towering professionalism and horizon-less versatility are surely unique in the world of jazz music today. 
Ken RATTENBURY – CRESCENDO MAGAZINE
- « Un jalon essentiel de la musique afro-américaine » par Télérama
Avec beaucoup de respect, Bolling reprend la partition originale de Black, Brown And Beige, cette longue pièce d’Ellington traçant un portrait des Noirs aux Etats-Unis. Jamais enregistrée par Ellington, nous avons, grâce à Claude Bolling, une trace enregistrée de ce qui, aujourd’hui, apparaît comme un jalon essentiel de la musique afro-américaine au sein de toute la musique occidentale. 
Jean WAGNER - TELERAMA
- "Une réussite" par Jazz Magazine
"Commençons par la question qui fâche : le jazz est-il une musique de répertoire, au sens on l’entend pour la musique classique ? Cette question se pose avec d’autant plus d’acuité que l’on parle ici de disque. Si, sur scène, on a assez peu de chance d’entendre aujourd’hui les musiques d’Ellington, Basie ou Parker interprétées par leurs créateurs, il est généralement loisible d’écouter les enregistrements originaux. Un dossier entier dans Jazz Magazine ne suffirait pas à épuiser le sujet… La présente suite possède toutefois plusieurs particularités. D’abord, elle a été peu enregistrée par son auteur. Elle fut conçue comme une œuvre concertante de longue durée, très écrite, se rapprochant par là de la lisière entre jazz et musique classique, domaine dans lequel Claude Bolling est comme un poisson dans l’eau. Celui-ci est en outre un des meilleurs connaisseurs de la musique d’Ellington, qui lui a personnellement fait part de son estime. Si un orchestre possède la légitimité pour interpréter 
Black, Brown and Beige, c’est donc bien celui de Bolling. La légitimité, mais aussi le talent. Même sans Hodges et les autres, l’œuvre fait mieux que tenir la route. Brillant et swinguant, ce disque est en soi, toute autre considération mise à part, une réussite." Patrick Pommier Jazz Magazine 2007
- "Un son parfait" par Jazz Classique
Claude Bolling peut-être considéré sans conteste comme le plus fin connaisseur de l’œuvre du Duke en France, il l’a souvent prouvé. Son amour pour la musique du grand homme et n’a cessé, fidèlement, d’en célébrer les multiples aspects depuis sa tendre jeunesse, des premiers albums microsillons gravés pour le club français du disque dans les années 1950 à sa merveilleuse exhumation de la « suite » A Drum Is A Woman  donnée à Chaillot avec Jérôme Savary en 1996. Mais, avant de ressusciter cette dernière suite, Bolling s’était déjà attaqué en 1989 à la monumentale « Black, Brown and Beige », l’une des œuvres maîtresse de l’édifice ellinghtonien, l’une des plus ambitieuses aussi, surtout pour l’époque de sa création, en 1943. Le présent CD publié par Frémeaux et Associés n’est autre que la réédition de la version gravée par Bolling en 1989, et publiée par Adès en 1990. Bolling n’était pas le premier à avoir donné de la « B, B&B » dans le style « repertory orchestra », la première ayant été la version de l’anglais Alan Cohen, avec Brian Priestley au piano, enregistrée pour Argo en 1972, du vivant de Duke donc. Louis Bellson allait en donner une autre version en 1994, et le chef américain Maurice Peress en 1999 ( lire à ce propos son livre, « Dvorak to Ellinghton », 2004). L’avantage de la version Bolling est sa fidélité, de nouveau, à l’œuvre, la très grande tenure des arrangements et la qualité incontestable des solistes, tous aguerris à ce répertoire. Le personnel de l’orchestre ici rassemblé autour de Bolling se lit commme un véritable who’s who du jazz français : Claude Tissendier, Pierre Schirrer, Guy Bodet, Michel Delakian, André Paquinet, Benny Vasseur, Pierre-Yves Sorin, Vincent Cordelette, entre autres, tous excellents, sans oublier le violon de Patrice Fontanarosa dans le rôle Ray Nance et la vocaliste Guylenn dans The Blues, le seul passage chanté de la suite. Il est toujours réjouissant de pouvoir entendre une telle phalange recréer la musique d’un grand compositeur, surtout en concert, même si l’on se demande parfois l’utilité de nouvelles versions enregistrées quand l’originale existe par les compositeurs et créateur lui-même, enregistrée dans de bien piètres conditions techniques, il faut bien l’avouer, pour ce qui est de la version de janvier 1943 au Carnegie Hall, où incomplètement pour les versions studios de 1944 (Victor) et 1958 (Columbia, avec Mahalia Jackson). On appréciera donc à sa juste valeur cette réédition chez Frémeaux de l’œuvre toujours fascinante, 64 ans après sa création, dans un son parfait et servie par des musiciens irréprochables. François-Xavier MOULE-JAZZ CLASSIQUE 
Liste des intervenants sur ce CD :
Adegon , Ellington Duke, Camicas Michel, Vilain
CDPisteTitreArtiste principalAuteurDuréeEnregistré en
11Black : work songAdegon00:07:541989
12Black : come sundayCamicas Michel00:06:341989
13Black : light (part 1)Camicas Michel00:04:011989
14Black : light (part 2)Camicas Michel00:01:311989
15Black : light (part 3)Camicas Michel00:01:051989
16Brown : west indian danceCamicas Michel00:03:181989
17Brown : emancipation celebrationCamicas Michel00:02:221989
18Brown : the bluesVilain00:05:231989
19Beige : warVilain00:02:071989
110Beige : sugar hill penthouseVilain00:02:231989
111Beige : rock waltzVilain00:01:181989
112Beige : symphonetteVilain00:03:531989
113Beige : finalVilain00:02:531989




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