[Léon Serizier, littérateur, critique
littéraire, XIXe siècle]
Lettre
autographe de son amante.
4 page
in-12. Sans lieu, ni date (ont été ajoutés à la mine de crayon 15.10.88 et
Capian). Lettre avec initiales imprimées : A.C.
Elle écrit
toujours les jours à son bien-aimé. « Est-ce
que tu ne m’aimes plus ou bien aurais-je dit quelque chose qui t’aurait
déplus. »
Elle évoque
son article sur le Rire [« Le Bon Rire », dans Le Rabelais
gascon, journal illustré littéraire et satirique, mars 1888], mais elle est
sévère : « Il y avait de bien
jolies choses mon chéri dans ton article sur le Rire, mais il était triste à
mourir et donnait envie de pleurer. »
« Léon Chéri, voilà que je redeviens méchante,
pardonne-moi je t’aime trop pour être toujours bonne… ».
Elle lui
demande s’il va écrire sur le Le Rêve
de Zola. Elle en a lu des extraits dans le Figaro : « Cela me paraît bien factice. »
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