Cécile et Jean - S.E.C.L.E. - Collection Régine Deforges




Romans érotiques de Jacques de St Paul édités par la 'S.E.C.L.E.', les 'Editions de l'Enclos' 
puis par 'Média 1000'. (1977-1987) 

[S.E.C.L.E.]  [Editions de l'Enclos]  [Média 1000


Jacques de Saint Paul est un pseudonyme commun à plusieurs auteurs écrivant des romans érotiques essentiellement dans la collection "Cécile et Jean" aux Éditions Media 1000


S.E.C.L.E. - Collection Régine Deforges 

Tous les numéros de cette collection n'étaient pas des 'Cécile et Jean'.


Romans érotico-pornographiques pour adultes ou l'action du livre se résume à du pseudo-espionnage comme à des performances plus discutables. A ne pas mettre à la portée de tout le monde. - Collection commencée aux Editions de l'enclos.

 

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TITRE + RESUME

1

Cécile et Jean ou l’amour dans la tête  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/2e trim.1976 – 186 pages).

 

  Jean constate que ses yeux verts, démesurément agrandis par le maquillage, lui donnent un air d’animal sauvage. Il la désire soudain très fort, et appuie davantage sa pression sur Cécile, qui s’est mise à accomplir de petits mouvements circulaires.

Henriette n’est qu’à un mètre d’eux.

Les tempes de Jean battent plus fort. Il est tout ému à l’idée qu’il va exécuter, dans une seconde, un geste totalement inédit dans le couple qu’il forme  avec Cécile.

 

2

Cécile et Jean ou l’amour en vacances  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/2e trim.1976 – 189 pages).

 

Brûlantes, leurs lèvres sont largement ouvertes et soudées. Il semble à Marie-Odile que ce baiser dure depuis toujours, ne finira jamais. Pour Cécile, il a un goût de fruit. Il est comme l’été. Leurs langues se caressent en une sorte de duel au ralenti. Leurs haleines se sont épousées. Un halètement continu marque le rythme de ce baiser.

Jean a fait signe à Martine d’approcher.

 

3

La terre aux mains chaudes – Pierre Darte (Ed. de l’Enclos/2e trim.1976 – 189 pages).

 

 L’homme ne peut réprimer un grognement de satisfaction. La plainte arrachée à la femme le plonge dans un état de liesse. Il la tisonnera telle une bûche dans l’âtre, pour que la flamme danse plus haut. Il soufflera sur elle l’haleine sauvage de la montagne, celle qui anime les forges de l’été, qui prend aux brandes, et enrobe la garrigue d’une écharpe écarlate.

 

4

Cécile et Jean ou l’amour interdit  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/2e trim.1976 – 190 pages).

 

  On frappe à la porte. Martine entre avec le plateau du petit déjeuner. Couchée sur le côté, Cécile sourit. Vont - ils sacrifier au rituel ?  Paupières mi-closes, elle tourne son regard vers la glace de sa coiffeuse.

Une fois de plus, elle se demande si son mari et la jeune femme de chambre savent qu’elle voit tout, ou s’ils se contentent de croire que, voulant ignorer ce qui se passe, elle fait semblant de dormir…

C’est aussi bien ainsi. Il s’agit d’un jeu. Elle doit tenir conscienceusement le rôle qui lui est assigné. 

 

5

Les Juliettes ou le sexaméron – Jean Lecric  (Ed. de l’Enclos/2e trim.1976 – 188 pages.

 

   Alors, mon chat, elles te plaisent ces histoires ?  Juliette, reprenant souffle, avait interrompu un instant sa besogne.

Dans le grand fauteuil aux profondeurs complices, Gérard se prélassait, un paquet de feuilles à la main. Agenouillée devant lui, Juliette, levant des yeux implorants où se lisait son entière dévotion au jeune homme, attendait avec ferveur une réponse à sa question presque angoissée.

 

6

 Jean et les trois nuits de la chatelaine - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/2e trim.1976 – 189 pages).

 

   Jean s’approche lentement du corps désirable. Dans le coin de la pièce, le lit de sangles repéré tout à l’heure suffira bien à l’usage qu’il lui destine.

Il est maintenant si près d’elle qu’elle doit sentir son souffle brûlant sur sa nuque blonde.

Elle se retourne : elle est dans ses bras. Il sent deux lèvres brûlantes s’appuyer sur les siennes.

 

7

Cécile en Italie - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/3e trim. 1976 – 189 pages).

 

Le dos calé au dossier, les jambes élégamment croisées, les bras appuyés aux accoudoirs, Guiseppe maintient une immobilité de pierre.

Tous ces éléments établissent un contraste savoureux qui entretient la tension de l’ambiance.

Cécile plonge son regard dans celui du comte, en éprouve le feu, surit, le temps de savourer la sensation insinuante de l’instant, cet équilibre à la limite de rupture.

Puis, avec des gestes lents, comme pour respecter un rite tacite, elle commence à dégrafer ses vêtements.

 

8

 

La tringle – André Navlis  (Ed. de l’Enclos/3e trim. 1976 – 184 pages).

 

  Il y a soudain, venant de la porte, le bruit caractéristique de l’œilleton soulevé. Le mâton fait sa ronde. Il allume un court instant, puis l’œilleton cliquète dans l’obscurité revenue. On entend un pas décroitre. Il y a maintenant au moins deux heures de battement avant la prochaine ronde, surtout un samedi soir. « De quoi se soulager rudement de deux ans d’abstinence », se stimule Lionel.

Avec une économie de gestes qui trahit une longue habitude. Carole se déshabille sans bruit sur son lit haut.

9

Cécile, Jean et le sorcier de Dakar - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/3e trim. 1976 – 186 pages).

 

Mamadou, assuré de leur avoir procuré trois bonnes heures d’inconscience grâce à un ingrédient de sa composition dont il avait additionné le café, attendit une dizaine de minutes puis surgit soudain sous les arcades. A l’imitation de Cécile et Jean, il s’était entièrement dévêtu. Son corps nu bosselé de muscles était impressionnant de force et de beauté animale.

Avec une souplesse de félin, il s’approcha du fauteuil où reposait Cécile, jambes allongées, cuisses entrouvertes.

 

10

Seul chez les Amazones – Paule Francion  (Ed. de l’Enclos/3e trim. 1976 – 189 pages).

 

-        Aidez-moi à ôter mes bottes…

Toujours cette voix chaude, posée…  Jordan abandonne sans regret la contemplation de la pièce pour se tourner vers la jeune femme à demi allongée sur le lit, appuyée sur les couches, son long corps étiré presque à l’horizontale, les talons reposant sur le sol, les jambes écartées. La combinaison de cuir qui moule les cuisses au-dessus des bottes souligne la perfection des formes, comme une seconde peau sous laquelle jouent les muscles, laissant présager une fermeté et une nervosité dont Jordan s’émeut à l’avance…

 

11

Requiem pour un amour – Thérèse Massart  (Ed. de l’Enclos/3e trim. 1976 – 188 pages.

 

   Sans prononcer un mot, de leurs doigts avides, ils se dévêtirent mutuellement.

Nus, debout au centre de la pièce, vivement éclairée par la verrière, face aux toits de Paris, ils restèrent un long moment immobiles, emplissant leurs yeux des courbes de leur corps, noyés l’un en l’autre.

Ils se savaient beaux.

 

12

Cécile et Jean en Irlande  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/4e  trim. 1976 – 189 pages).

 

  Cécile attira la jeune rousse contre elle et la serra très tendrement, lui murmurant sur un ton de confidence.  – C’est vrai, Bab. Nous avons mal agi à l’égard de Jean et je reconnais mériter d’être châtiée. Mais recevoir de vous ma punition sera encore un nouveau plaisir même si vous me faites mal, très mal.

-       Je ne vous comprends pas, Cécile.

-       Vous comprendrez plus tard, chérie quand vous aimerez passionnément un homme.

 

13

Cécile, Jean, Claude et Marie-Christine - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/1er trim. 1977 – 186 pages).

 

  -  En somme, si je comprends bien, tu voudrais que je dévergonde Marie-Christine pendant que tu t’occuperais de Claude ! … 

 -  Ca pourrait être ça, oui… fait Cécile avec une moue d’enfant gâtée, en se frottant contre son mari avec des mouvements félins.

 -  Une bonne action, quoi !  commente Jean en riant.

  Et il serre dans ses bras le corps nu de Cécile, laisse errer ses lèvres sur l’extrémité des seins qui durcissent légèrement sous la caresse…

 

14

Les pigeons meurent en dormant – Thérèse Massart  (Ed. de l’Enclos/1er trim. 1977 – 188 pages).

 

  - Nous vous amenons Cate, annonce Marc aux personnes présentes. Il nous semble qu’elle ait besoin de quelques bonnes leçons, particulièrement d’obéissance. Nous voudrions, chères compagnes. Que vous lui donniez un échantillon de votre… souplesse d’esprits. Yolande ? 

Je me retrouve sur mes pieds, toujours maintenue par Mambu qui me pousse contre un poteau et m’y enchaîne debout, de telle façon que mes cuisses restent ouvertes.

Tous s’allongent sur des lits de repos, à l’exception de Yolande qui, au milieu de la pièce, semble attendre un ordre.

 

15

Cécile et Jean en croisière suédoise  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/1er  trim. 1977 – 185 pages).

 

JOURNAL DE BORD DE LA « NEFERTITI » , 11 août, en baie de Girolata

  Il s’est produit, hier soir, un évènement curieux, suffisamment intéressant pour que je le relate ici.

  Nous revenions de la soirée sur le bord Anderson. Cécile et Marie-Odile, avaient disparu dans la cabine, et nous étions restés, Henriette et moi, à bavarder dans la timonerie. Soudain, le pont oscille légèrement, un corps ruisselant sur lequel la lune allume des reflets d’acier se jette entre nous avec une sorte de fébrilité incohérente. C’est Nicolas, dans un état épouvantable d’exaltation, qui nous embrasse tour à tour en sanglotant : Aimez-moi, aimez-moi ! « 

 

17

La femme du juge – Henri Essuac  (Ed. de l’Enclos/1er  trim. 1977 – 186 pages.

 

  - Ah !  halète-t-il. Raconte, allez, raconte…

Elle se retourne brusquement pour échapper à l’étreinte et commence, la voix merveilleusement grave : - Lentement,  j’ai croisé mes jambes très haut, en prenant soin de faire crisser mes bas noirs. Puis je les ai décroisées. Je me suis arrangée pour qu’on puisse voir mon petit slip blanc, bordé de dentelle…  Juste en face de moi, dans le compartiment du petit train de campagne, un jeune conscrit…

 

18

Cécile et le fantôme - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/2e trim. 1977 – 187 pages).

 

  Dans une sorte de demi-conscience, elle perçut le profond halètement produit par cette chose mystérieuse. Elle poussa un cri et s’évanouit.

Le rêve avait repris maintenant. Rien à voir, cependant, avec le cauchemar précédent. Au contraire. Elle était au milieu d’un jardin, parmi des massifs de fleurs. Elle dormait sous un ciel bleu lavande et une main experte la caressait sur tout le corps. D’abord lentement, puis plus vite. La main montait et descendait depuis ses cheveux jusqu’à ses cuisses, frôlant ses seins au passage, descendant vers le ventre plat et le massant en des caresses concentriques.

 

20

Cécile et Jean en week-end  sur la côte - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/2e trim. 1977 – 188 pages).

 

Jean, allongé sur le lit, observait par transparence la silhouette de sa femme que découpait la clarté de la lune. La brise faisait flotter le tissu autour de ses jambes.

« Elle est rudement bien balancée, Cécile ! «   songea Jean, que cette vision réjouissait comme s’il la découvrait pour la première fois.

Il devinait le mouvement des muscles, le frisson de la peau, les sensations qui, en cet instant, la parcourait toute entière tandis qu’elle s’ouvrait à la nuit d’été.

 

22

Tout cela parce qu’un jour…  Michel Basso  ((Ed. de l’Enclos/2e trim. 1977 – 186 pages.

 

  Le garçon passe la tête et reste à son tour sans voix en découvrant allongée nue sur une peau de bique, le menton posé sur ses poings, la courbe des reins admirable, les cuisses rondes mises en valeur par u éclairage tamisé cette peau délicieusement blanche et sans la moindre marque sombre, une femme qui déplie l’une de ses jambes.

  Tu ne m’avais pas dit que tu vivais avec quelqu’un, grogne Madeleine.

Il la pousse dehors, ferme la porte et dit en souriant. Amour que fais-tu là ?

 

24

Cécile et Jean chez les truands  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/3e trim. 1977 – 188 pages).

 

Carlo tourna la poignée et Jean, se tenant derrière lui, écarta vivement le battant d’une main, tout en pointant son arme de l’autre.

Va te coller le nez au mur d’en face, les mains en l’air, jeta-t-il à Carlo qui s’exécuta sans réticence.

Delatour découvrit alors Cécile étendue nue sur un grand divan en compagnie d’Aldo, à demi dévêtu. Les vêtements de la jeune femme jonchaient la moquette de la pièce. Si le jeune truand se trouvait en position d’assaut, en revanche Cécile lui opposait le barrage de ses cuisses étroitement croisées.

 

26

Cécile, Jean et les amours enfantines - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/4e trim. 1977 – 187 pages).

 

Et pourtant, impossible de rester insensible aux  appels de Pierre…  Ce regard la troublait…  Elle le dévisagea un peu plus longuement, et tout en parlant ne put s’empêcher de faire courir son imagination… 

Sur la peau tendre de ce visage, sur ces lèvres pulpeuses qui s’entrouvraient parfois sur des dents blanches de jeune carnassier…  Ses mains dans la chevelure  épaisse, contre sa poitrine la tête du garçon… 

Le déshabiller lentement, se refuser doucement à ses caresses, contrecarrer ses gestes trop fougueux, l’obliger à se laisser faire…

 

29

Cécile et Jean, safari en rose  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/4e trim. 1977 – 187 pages).

 

   Carnet de route de Cécile :    « Le safari a vraiment commencé aujourd’hui.

Dans cette chasse, notre meilleur allié est sans doute le printemps dont les premiers effets tourneboulent les têtes. Ainsi, avouerais-je assez le plaisir que me procure les premières robes légères et décolletées autorisées par la clémence de ces mois ?

Avouerais-je le trouble délicieux que j’éprouve à regarder évoluer les autres femmes dans ces libertés retrouvées ?  Et celui, plus délicieux encore, où me plongent les jeunes mâles aux torses saillant sous les tricots fins, et les pantalons moulant leurs avantages virils ?  « 

 

31

Cécile et Jean chez les spirites  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/1er trim. 1978 – 187 pages).

 

 La jeune femme qui venait de prendre un bain était maintenant détendue. L’inquiétude qui l’avait envahie lorsque Jean lui avait révélé la nuit mystérieuse qui se préparait s’était presque entièrement dissipée. L’ardente brune qui la remplacerait pour la soirée saurait affronter les esprits sans la moindre crainte !  Ainsi rassurée, elle s’abandonnait avec délectation au plaisir narcissique.

Elle était nue. Ses seins se dressaient fièrement et semblaient quémander une caresse. Elle se leva pour mieux admirer ses cuisses longues et nerveuses.

 

32

Cécile et Jean dans la ronde amoureuse  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/1er trim. 1978 – 187 pages).

 

 -  Jean… murmura encore Cécile de son ancienne voix de petite fille éperdue…

-        Qu’y  a – t - il, mon petit ?  demanda-t-il aussitôt en la prenant dans ses bras.

-       Cécile s’émerveilla qu’aucune rancœur ne perçât dans sa voix, et se blottit

  étroitement contre lui.

-        Jean, murmura-t-elle au creux de son épaule, d’une voix mouillée.  Jean… Je t’aime…

Leurs deux corps, attendris par la chaleur du lit, retrouvèrent spontanément leur vieille entente, et se lovèrent l’un dans l’autre, cuisses mêlées, ventres collés, lèvres soudées, tempes battant au même rythme…

 

33

Linda la résignée – André Navlis  (Ed. de l’Enclos/1er trim. 1978 – 189 pages.

 

   Elle et Cathy, sa jeune équipière, protégeaient jalousement leur secret. Des messieurs Armand, on n’en trouve sur aucun trottoir. Ils ne traitent que par relations, assoiffés d’anonymat. Lui, par prudence, ne cédait à ses instincts que cinq ou six fois l’an. Là, il s’extériorisait de façon démentielle. Il importait d’être disponible au bon moment. Avec ce qu’il versait alors, elles amassaient davantage que ne leur rapportait en deux mois l’ensemble de leur clientèle.

 

34

Cécile et Jean : souvenirs…   - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/1er trim. 1978 – 186 pages).

 

 - Allô ?   - Jean c’est toi ?  Ici Cécile, je suis à Aix, je ne peux pas venir

-       Cécile, je t’aime…  Cécile mon petit chat, te souviens-tu de Cabourg ?

-       - Cabourg ?  C’est loin déjà, mais ce n’est pas si vieux. Pourquoi ? 

-       - Te souviens-tu du soir où je t’ai appelée ? 

-       - Attends !  Oui !  Oh Jean, tu es merveilleux !  Viens Jean, je suis prête,

-       guides-moi, prends-moi, ma main sera la tienne, viens vite, je t’attends…

-        

35

Messe noire pour Cécile et Jean  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/2e trim. 1978 – 188 pages).

 

  Cécile tenta de se dégager du groupe. Lilith la retint près d’elle, d’une main ferme.

  -  Reste avec moi pour le sacrifice et je te ferai goûter le premier sang de celle-là. Regarde-la bien, elle en vaut la peine. A cette seconde, vierge, tout à l’heure putain. Après la cérémonie, je l’emmènerai se prostituer dans les bas quartiers de Lyon. Elle devra tout accepter, tout subir, ne reculer devant aucune répugnance. Tu nous accompagneras et si elle se montre rétive, c’est toi qui te chargeras de la contraindre à nous obéir…

 

37

Cécile, Jean et la Senorita  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/2e trim. 1978 – 189 pages).

 

    Lentement mais fermement tiré vers le haut, il découvrait peu à peu le genou de la senorita, glissait plus haut s’accrochant un instant à la pince de la jarretelle, puis caressa la plage de peau satinée entre la lisière du bas et la culotte de dentelle noire qu’il finit par découvrir toute entière.

En même temps, les cuisses magnifiques se disjoignaient, s’écartaient imperceptiblement l’une de l’autre…

 

39

La petite vertu – Nata Voriel  (Ed. de l’Enclos/2e trim. 1978 – 186 pages).

 

  Avec une simplicité et une douceur étonnante, elle posa ses lèvres parfumées sur celles de Péraldi. Déjà troublée par le contact soyeux de sa cuisse. La Folette perdit pied. Et sans chercher à comprendre ce qui lui arrivait, elle entrouvrit ses lèvres et passa ses bras autour du cou de la capiteuse brune. Une langue chaude et délicieusement parfumée  vint à la rencontre de la sienne. Le corps de la fille se déplia et vint se poser sur e sien.  Sous son poids elle se renversa. Elle eut l’impression que sa peau recevait un bain de douceur…

 

40

Cécile, Jean ou Madame mène le bal  - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/3e trim. 1978 – 185 pages).

 

  -  Alors, vous ne voulez absolument pas me dire votre nom. Vous cultivez le mystère. C’est un peu facile, vous ne trouvez pas ?

  -  Facile ?  Peut-être, mais c’est à prendre ou à laisser.

  -  Enfin puisque vous y tenez tant, appelez-moi Madame. Et n’en parlons plus.

  -  Vous…    - N’en parlons plus. Soyez gentil.

Elle avait accompagné ces mots d’un tel regard enjôleur que Jean encore une fois ne sut plus que dire…

 

42

Cécile et Jean au festival de Cannes – Jacques de St Paul  (1978 – 186 pages).

 

   Jean accéléra. Il n’avait qu’une hâte, retrouver le décor des « Grands chênes » et vivre une nuit d’amour avec sa femme.

-        Cette nuit, tu seras ma vedette personnelle et je te ferai interpréter de nombreux rôles, dit-il en lui passant la main derrière le cou.

-        Et toi tu seras mon héros romantique…   minauda-t-elle.

Elle se blottit contre sa  poitrine et ajouta dans un souffle chargé de promesses : - A partir de maintenant, plus de cinéma…

 

45

Cécile et Jean ou l’amour au château - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/4e trim. 1978 – 185 pages).

 

-       Vous, Cécile, et vous, Jean, vous voici réunis dans la chapelle de Font-colombe

pour y être faits serviteur et servante du plaisir selon la loi de Font-colombe.

-       En pénétrant dans ce château, vous ne pouviez vous douter de ce qui vous attendait. Vous y êtes venus avec vos idées sur l’amour et le plaisir, avec vos désirs connus et d’autres plus secrets. Vous avez pu croire aux sortilèges de ce lieu et de ses profondeurs. Mais ici, il n’y a ni magie, ni sorciers : seulement des hommes et des femmes, membres de notre confrérie, qui ont bien voulu se prêter au jeu du miroir. Et chacun par ses actes et par ses paroles vous a renvoyés à vous-même, et seulement à vous-même…

 

47

Jean sans Cécile O Canada !   - Jacques de St Paul  (Ed. de l’Enclos/1er trim. 1979 – 184 pages).

 

  Avec précaution il poussa la porte d’un pouce supplémentaire et, à moins de deux verges (comme disent encore, avec beaucoup d’à propos, nos cousins du Québec), il vit d’abord un pied, menu mignon, potelé, qui dépassait du lit et que prolongeait, agenouillée, une jambe superbe, qui conduisait à son tour à une fesse, dont l’insolente rondeur attestait la féminité. Ouvrant grand les yeux, se penchant un peu plus, Jean s’assura que le tableau était complet.

Alors, rassuré et attendri, il se laissa tomber à genoux à son tour, comme en prière, devant ce vertigineux point de fuite…

  

 

 

 

 

1

Cécile, Jean et les amours provençales (Ed. de l’Enclos/2e TRIM 1979 – 186 pages).

 

                                     PAS DE RESUME

 

6

Cécile, Jean et le troublant Michel (Ed. de l’Enclos/3e TRIM 1979 – 189 pages).

 

                                     PAS DE RESUME

 

7

Cécile et Jean en TUNISIE (Ed. de l’Enclos /4e TRIM 1979 – 186 pages).

 

                                     PAS DE RESUME

 

16

Cécile et Jean ou l’été cramoisi (Ed. de l’Enclos/1er TRIM 1980 – 186 pages).

 

                                     PAS DE RESUME

 

17

Cécile et Jean ou l’empire du regard (Ed. de l’Enclos/1er TRIM 1980 – 187 pages).

 

                                     PAS DE RESUME

 

23

Cécile et Jean ou la folie de la dame en noir (Ed. de l’Enclos/2e TRIM 1980 – 187 pages).

 

PAS DE RESUME

 

24

Cécile, Jean et l’Arabie heureuse (Ed. de l’Enclos/2e TRIM 1980 – 186 pages).

 

                                     PAS DE RESUME

 

25

Cécile, Jean et les musiciens (Ed. de l’Enclos/2TRIM 1980 – 186 pages).

 

                                     PAS DE RESUME

38

Cécile et Jean aux îles vierges (MEDIA 1000/1er trim 1981 – 152 pages).

 

                                     PAS DE RESUME

41

Le téléphone rose (MEDIA 1000/2TRIM 1981 – 187 pages).

 

PAS DE RESUME

47

 L’amour en voyage (MEDIA 1000/01-1982 – 186 pages).

 

Ce torse large, musclé, velu, cette peau ivoire et brune à la fois de pirate, le silence soudain de cet homme qui se déshabillait comme si elle n’avait pas été là, tout, subitement la poussa vers lui dans une pulsion animale, alors que jusqu’ici, elle n’avait fait qu’obéir à son esprit.

Elle se leva d’un bond, se plaqua à lui comme à une bouée de sauvetage, serra son torse, caressa voluptueusement son dos en le griffant par moments, pendant qu’il embrassait son sein avec fougue.

 

61

  Brèves rencontres à Manhattan …  (MEDIA 1000/1983 – 188 pages).

 

Jean ferma les rideaux de la Rolls. La voiture roulait silencieusement dans le matin de New York.

Cécile était folle de convoitise. Il lui mordit l’épaule, ce qui lui arracha un cri. Elle vacilla en même temps et il la souleva. Bras écartés, dans le plus total abandon, elle attendit…

 

 

 

 

 


 

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