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Porte-clef en nacre de Tahiti

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La nacre est le revêtement intérieur, aux reflets irisés, de certaines coquilles de mollusque, biosynthétisée par le manteau et composée de cristaux d'aragonite liés par une protéine appelée conchyoline. C'est un produit recherché depuis longtemps pour la décoration, la marqueterie, la confection de bijoux ou de boutons, au point que certains coquillages tels que les ormeaux ont localement disparu. Certains sont élevés pour la nacre.

Lorsqu'un élément étranger irritant entre dans la coquille de ces mollusques, ceux-ci sécrètent également de la nacre couche après couche tout autour afin de s'en protéger, formant ainsi une ou plusieurs perles.

Contrairement aux autres couches de la coquille (hormis pour son agrandissement), la nacre est synthétisée par le mollusque tout au long de sa vie.

Selon les auteurs, la nacre est classée comme matériau minéral biosynthétisé ou comme matière organique ou comme biocomposite car comme la plupart des biominéraux, elle contient des restes de la matrice organique qui a permis sa synthèse par l'animal.

« La nacre est formée d’une juxtaposition régulière de couche de tablettes d’aragonite de 0,5 μm d’épaisseur, soudées par un ciment organique de 20 nm d’épaisseur. Les composés organiques associés à la nacre sont localisés autour des tablettes de nacre, mais aussi à l’intérieur des cristaux. Ils sont impliqués dans l’initiation de la précipitation du minéral (nucléation), dans la régulation de la croissance, dans la détermination du polymorphe cristallin, comme dans l’organisation microstructurale du biominéral. Même si la composition et les fonctions de cette matrice organique ne restent encore que partiellement connues, de nombreux travaux ont permis de décrire certaines de ces molécules ».

Les données scientifiques sur la nacre et sa matrice organique calcifiante proviennent principalement de l'étude de mollusques Pinctada pour les bivalves ptériomorphes et des espèces d'Haliotis pour ce qui concerne la nacre sécrétée par les gastéropodess, puis de l'étude d'un grand bivalve paléohétérodonte Unio pictorum et du Nautilus macromphalus, un nautiloïde appartenant à un ordre très ancien de céphalopodes. Selon ces données  :

la nacre résulte d'un processus de biotransformation de minéraux en structures minérales rigides (biominéralisation), à partir d'une matrice formée de protéines2 spécifiquess. Elle résulte de la superposition régulière de couches de conchyoline, de cristaux d'aragonite et de traces d'eau et de divers ions dont la disposition particulière provoque une interférence des radiations lumineuses lui donnant son aspect irisé.

c'est un des 60 types différents de biominéraux (dont 17 chez les mollusques) connus synthétisé par des organismes actuellement vivant (des bactéries aux mégastructures coralliennes). La nacre présente des caractéristique mécanique et physicochimiques particulière très différente des autres biominéraux souvent à base de carbonate de calcium dont la animaux produisent de nombreux « polymorphes cristallins ».

c'est un matériau relativement stable face aux acides et à la température, qu'on ne sais pas encore reproduire et dont les caractéristiques (comme plus généralement la biominéraliation et tous les processus biochimiques pouvant conduire à la production, l'entretien et la protection d'une coquille de mollusque 5) intéressent les biochimistes et la biomimétique.

sa qualité (et le type de formation de la nacre) varient selon les espèces et lors des étapes de l'évolution.

Substance organique, la conchyoline est présente en très petite quantité dans la nacre (environ 4 à 6 %) et déterminent sa structuration en servant de « ciment » aux cristaux d'aragonite (qui représentent 90 % de la nacre). En effet, La nacre est constituée de petits cristaux empilés d’aragonite de 500 nm d’épaisseur, séparés par une couche très fine (environ 50 nm) de protéine qui assure la ténacité de l’ensemble.

les protéines contribuant à former la nacre produisent du carbonate de calcium sous forme aragonite, et il semblerait que la partie soluble de ces protéines soit responsable de la formation du cristal, alors que la partie insoluble en déterminerait la densité, la taille et la quantité de ces cristaux.

La nacre résiste mieux aux acides que la coquille. Elle se reconstitue après avoir été percée ou abîmée chez un coquillage vivant.

L'aspect de la nacre ne provient pas de pigments ; la superposition de couches d'indice de réfraction différent crée des interférences, comme celles qui se produisent dans un filtre dichroïque ou dans les couleurs structurelles, de sorte que la couleur dépend de l'angle d'incidence de la lumière et de la position de l'observateur, ce qui laisse voir des iridescences caractéristiques.

La coloration éventuelle de la nacre provient des caroténoïdes, contenu dans la conchyoline. Leur complexation à des protéines pour former des caroténoprotéines peut modifier la couleur initiale du pigment et donner des teintes allant du jaune au violet.

Les fabricants ont essayé depuis longtemps de reproduire l'aspect de la nacre. À partir du xviie siècle, on trouve sous le nom d’essence d'Orient des formulations à base d'écailles de poisson. L’essence d'Orient répertoriée au Colour Index sous la référence NW1 est un mélange de guanine et d'hypoxanthine, variable selon les espèces utilisées. L'industrie des plastiques a produit des boutons nacrés à partir de phosphates de plomb. Toxiques, ils sont interdits pour les cosmétiques. Le PW14 est un oxychlorure de bismuth, c'est le premier pigment nacre aujourd'hui. Des composés de mica et d'oxydes métalliques, brevetés en 1963, fournissent des pigments nacrés de toutes couleurs dominantes. Enfin, des pigments nacrés peuvent être fabriqués avec des particules de silice ou d'aluminium, recouverts de couches d'indice de réfraction variés afin de créer les interférences constitutives de l'aspect nacré. Ces pigments trouvent un débouché en cosmétique et dans l'industrie automobile, où ils enrichissent la gamme des aspects disponibles des peintures ordinaires et métallisées.

Tahiti est une île de la Polynésie française (collectivité d’outre-mer, ou COM) située dans le sud de l’océan Pacifique. Elle fait partie du groupe des îles du Vent, et de l’archipel de la Société. Cette île haute et montagneuse, d'origine volcanique, est entourée d'un récif de corail. L'île est composée de deux parties — Tahiti Nui, la plus importante, et Tahiti Iti également appelée la Presqu'île, reliées entre elles par l'isthme de Taravao.

Avec 1 042 km2 et 183 645 habitants en 2012, Tahiti est à la fois la plus grande et la plus peuplée des îles de la Polynésie française. L’île concentre l’essentiel des activités économiques de l’archipel polynésien. La ville de Papeete, située sur la côte nord-ouest de l’île, est la capitale de la Polynésie Française et en abrite toutes les institutions politiques. Le tourisme contribue fortement à l’économie de l’île, d’autant que Tahiti abrite le seul aéroport international de la Polynésie française, lui donnant le statut de porte d’entrée du territoire.

L’histoire de Tahiti a été marquée tout d’abord par le peuplement de l’île par les navigateurs polynésiens, d’origine austronésienne, puis par la découverte de l’île par les explorateurs européens. Les échanges avec les Européens ont permis à une famille tahitienne, les Pomare, d’imposer leur autorité sur l’ensemble de l’île. À partir de la fin du xviiie siècle, l’île est colonisée par des missionnaires protestants anglais, puis devient protectorat français au milieu du xixe siècle. L’île devient ensuite une colonie, membre des Établissements français de l'Océanie, avant d’être rattachée à un ensemble d’archipels qu’on appelle Polynésie française.

Le français est la langue officielle. La langue vernaculaire est le tahitien.

L'île de Tahiti est située au milieu du Pacifique sud. Elle est à 4 400 km au sud de Hawaï, à 7 900 km du Chili et à 5 700 km de l’Australie. L'île est localisée à plus de 15 000 km du territoire métropolitain français, avec un décalage horaire de 11 heures en hiver et de 12 heures en été.

L'île se compose de deux parties centrées sur des volcans éteints et reliées par un court bras de terre, l'isthme de Taravao. La plus grande de ces parties, située au nord-ouest, est nommée Tahiti Nui (la Grande Tahiti) tandis que l'autre partie, située au sud-est, est appelée Tahiti Iti (la Petite Tahiti) ou encore la presqu’île de Taiarapu.

Avec 1 042 km2 de superficie, Tahiti est la plus grande île de la Polynésie française. L'île atteint une longueur maximale de 60 km (sur la diagonale nord-ouest - sud-est, presqu'île comprise), et une largeur de 30 km sur la partie principale. Le périmètre total de l'île atteint 190 km, et celui de Tahiti Nui 120 km.

Tahiti est la plus haute île de Polynésie. C’est sur Tahiti Nui que se trouve le plus haut sommet de l’île : le mont 'Orohena, qui culmine à 2 241 mètres. Tahiti Nui abrite d’autres sommets : le mont Aora'i (2 066 m), le mont Mārau (1 493 m) et le Diadème (Te Tara o Mai'ao) (1 321 m). Concernant Tahiti Iti, son plus haut sommet est le mont Ronui, qui atteint 1 332 mètres.

Du fait de son intérieur extrêmement montagneux, vestige des anciens volcans, l’île est majoritairement habitée sur une étroite bande longeant le bord de mer. On estime ainsi que sur les 1 045 km2 de l’île, seuls 150 km2 sont habités et exploités.

Tahiti est seulement partiellement entourée par une barrière de corail. On comptabilise ainsi 33 passes, et toute une partie du récif est immergée, empêchant par endroit la formation d'un véritable lagon entre le récif et la côte. Le lagon de Tahiti atteint cependant une superficie de 141 km2.

Moorea, l’île-sœur, est située à 15 km à l'ouest de Tahiti et entretient des liens très étroits avec Tahiti. On l’aperçoit parfaitement depuis la plupart des communes de l'ouest de Tahiti Nui et de nombreux habitants de Moorea travaillent sur l'agglomération de Papeete.

Papeete est la capitale de Tahiti et de la Polynésie française. La commune en elle-même, qui s’étend sur 19 km2, n’abrite que 26 050 habitants7, ce qui, bien qu’elle ait la plus forte densité de population de l’île, n’en fait que la deuxième commune la plus peuplée de l’île, après Faa'a.

Cependant, l’agglomération de Papeete, qui regroupe aujourd'hui les communes de 'Arue, de Pirae et de Mahina à l’est, et de Faaa, de Punaauia et Paea à l’ouest10, concentre plus de 130 000 habitants, sur une bande de terre longue d’une soixantaine de kilomètres, coincée entre le lagon et les contreforts montagneux. Le développement macrocéphale de la capitale entraîne l'intégration progressive des communes environnantes le long du littoral. Cette agglomération est le centre administratif, politique et économique de Tahiti et de la Polynésie française. La commune rassemble 47 % des emplois de l'île de Tahiti8, et l'agglomération concentre plus de 80 % des emplois8, polarisant ainsi toute l'activité humaine de l'île.

Pirae: Cette commune, comprise dans l'agglomération de Papeete et bordant la limite orientale de la capitale, compte 14 551 habitants7 sur un territoire de 35 km2. Pirae abrite essentiellement des infrastructures administratives et résidentielles.

Arue (Polynésie française): La commune d'Arue est située au nord-ouest de Tahiti, au sein de l’agglomération de Papeete. Elle englobe également l'atoll de Teti'aroa et rassemble 9 494 habitants sur un territoire de 16 km². Cette commune a un fort poids économique, et de nombreuses entreprises y sont installées, dont d’importantes entreprises du territoire (l'enseigne Carrefour, la Brasserie de Tahiti et l'usine d'embouteillage d'Eau Royale). C’est également sur cette commune qu’est située la caserne du régiment d'infanterie de marine du Pacifique - Polynésie (RIMaPP).

Mahina: La commune de Mahina, grande de 52 km², compte 14 356 habitants. La périurbanisation galopante de Papeete a joué un rôle majeur dans le développement de cette commune, dont la population a été multipliée par 4,2 en 30 ans.

Hitia'a O Te Ra: Cette grande commune de 218 km² regroupe les districts de la Papenoo, de Tiarei, de Mahaena et de Hitiaa, situés sur le versant nord-est de Tahiti Nui. Malgré la superficie de cette commune, elle ne compte que 8 691 habitants, puisqu'une grande partie de son territoire couvre les massifs montagneux de Tahiti Nui, inhabités.

Taiarapu-Est: Cette commune regroupe également plusieurs districts : Faaone, Afaahiti-Taravao, Pueu et Tautira. Elle s'étend sur 216 km2, du sud-est de Tahiti Nui et sur toute la moitié nord-est de la presqu'île. 11 538 habitants y vivent. Différentes politiques ont été menées pour tenter de développer le village de Taravao, stratégiquement situé entre Tahiti Nui et Tahiti Iti, et contrebalancer l'influence et l'attraction de Papeete.

Taiarapu-Ouest: Cette commune englobe la moitié sud-ouest de la presqu'île, sur 104 km2, avec les districts de Teahupoo, Vairao et Toahotu. Malgré sa superficie, c'est la commune la moins peuplée de Tahiti, avec seulement 7 007 Habitants.

Le district de Teahupoo est assez connu pour ses vagues. C'est d'ailleurs dans ce district qu'a lieu la Billabong Pro Teahupo'o - Tahiti, une étape du ASP World Tour.

Teva I Uta: Cette commune, rassemblant 8 591 habitants s'étend sur 120 km2 au sud de Tahiti Nui, et englobe les districts de Mataiea et de Papeari.

Papara: Cette commune de 93 km², située au sud-est de Tahiti Nui, rassemble 10 634 habitants.

Paea: Cette commune de 65 km2, à l'ouest de Tahiti, rassemble 12 084 habitants.

Punaauia: Cette commune de la côte Ouest, qui s'étend sur une superficie de 75 km², est la troisième commune la plus peuplée de l'île, avec 25 399 habitants. Punaauia est une des communes qui a le plus absorbé le développement urbain de l'agglomération de Papeete : elle a vu sa population multipliée par 4,5 en 30 ans. Cette commune, essentiellement résidentielle, abrite une marina et des zones d'activités industrielles et commerciales.

Faa'a: Faa'a, située au nord-ouest de Tahiti, est limitrophe de Papeete. S'étendant sur un territoire de 34,2 km2, c’est la commune la plus peuplée de Tahiti, devant Papeete, avec 29 781 habitants. Les aménagements résidentiels se sont particulièrement développés sur cette commune, pour absorber l'excédent de population de la capitale voisine, Papeete. C'est également sur cette commune que se trouve l'Aéroport international Tahiti Faa'a.

 LA PERLE DES TUAMOTU : Depuis la fin des années 80, la perle de culture de Tahiti est la principale ressource à l’exportation de la Polynésie Française. En 1995, le territoire a ainsi exporté environ 3 tonnes de perles. Ces magnifiques joyaux que sont les perles de Tahiti naissent dans une nacre à lèvres noires vivant dans les lagons polynésiens, pinctada margaritifera, désormais élevée en très grande quantité. Les coquilles de nacre constituent une richesse relativement marginale par rapport aux perles. La Polynésie française exporte néanmoins aux alentours de 600 tonnes de nacre brutes chaque année notamment vers les pays asiatiques où elle sont transformées en boutons et autres accessoires. Pourtant, la disponibilité de cette matière première noble a suscité des vocations en Polynésie française avec le développement d’un artisanat de très grande qualité la gravure sur nacre. En 1996, on estime à 50 le nombre de graveurs polynésiens vivant de cette activité soit au total 150 personnes à raison d’une moyenne de trois par entreprise. En l’absence de statistiques précises dans ce domaine, il est difficile de chiffrer la quantité annuelle de nacres gravées. Elle est estimée à 100 tonnes par les professionnels eux-mêmes. Le principal problème des graveurs est l’approvisionnement. Ils ont un besoin régulier de nacres de grande qualité et calibrées, mais en quantité relativement faible. Or, les perliculteurs préfèrent souvent exporter en vrac. Les prix sont meilleurs (environ 5 dollars US le kg  presque 700 Fcfp  contre 350 Fcfp seulement en Polynésie) et les quantités beaucoup plus importantes. Les artisans souhaiteraient par conséquent une structuration du marché de manière à pouvoir sélectionner les meilleures nacres et les réserver à leur activité (qui a une incidence directe sur l’image du territoire, sur le niveau de son artisanat et le développement de son tourisme) et en finir ainsi avec leurs problèmes d’approvisionnement plutôt paradoxaux dans un contexte où la matière première est si abondante qu’elle est parfois tout simplement rejetée au lagon. LES PHASES DU TRAVAIL DE LA NACRE : En Polynésie Française, la nacre est travaillée entière ou découpée pour la fabrication de bijoux (boucles d’oreilles et pendentifs notamment) ou d’accessoires (boucles de ceinture, porte-monnaie, boutons). La première phase est le tri des nacres en fonction de leur qualité et de leur taille. Celle-ci est communément comprise entre 10 et 14 cm de diamètre (les nacres de plus grande taille sont plus rares et très recherchées). La nacre est ensuite décapée et subit un premier polissage. C‘est alors qu’elle peut être gravée. Les motifs sont ceux de la tradition polynésienne (marquisienne en particulier) ou inspirés par l’environnement naturel. La dernière phase du processus est la plus longe. C’est un ponçage à l’eau effectué à la main permettant d’obtenir un brillant parfait. Les produits finis sont vendus dans les boutiques, à Papeete et dans les îles touristiques, sur les expositions et foires, un peu à l’export. Le prix de détail d’une nacre gravée varie entre 1500 et 7000 Fcfp. BIJOUX LE TEMPS DE LA FANTAISIE : Aux temps anciens les Polynésiennes portaient souvent des bijoux. Mais, à quelques exceptions près (il existe aux îles Marquises une bijouterie traditionnelle très fine à base d’os, de dents d’animaux, etc.), ces objets étaient généralement peu travaillés. On utilisait ainsi des nacres brutes, entières ou des plumes colorées. La bijouterie fantaisie locale est née dans les années 50 et 60. On a alors commencé a travailler les matières premières locales (nacre, coquillages, fibre de coco, pandanus, bois) auxquelles on a marié des matières importées comme le raphia, le corail, le coton et certains coquillages introuvables en Polynésie française. La perle de Tahiti est venue depuis les années 80 compléter ce choix. Naguère, la faveur des bijoutiers allait tout spécialement aux colliers et aux boucles d’oreilles. A présent, la gamme s’est enrichie et l’on trouve également des bagues, des bracelets ou même des ornements de pieds ainsi que de nombreux accessoires vestimentaires. Tahiti est l'île la plus importante de Polynésie française, dans le sud de l'océan Pacifique. Elle regroupe Papeete, la capitale de la collectivité d'outre mer de la Polynésie française (France), ainsi que ses principales communes (68,6 % de la population totale). Elle fait partie des îles du Vent dans l'archipel de la Société. Longue de 45 km à ses points les plus éloignés, elle couvre environ 1 045 km² dont seulement 150 sont habités et exploités. Son plus haut sommet, le mont Orohena, culmine à 2 241 m . Elle se situe grossièrement par 17 degrés sud et 150 degrés ouest. Sa capitale, Papeete, est située sur la côte nord-ouest. L'île se compose de deux parties centrées sur des volcans éteints et reliées par un court bras de terre, l'isthme de Taravao. La plus grande de ces parties est nommée Tahiti Nui (Grand Tahiti) et l'autre Tahiti Iti (Petit Tahiti). Seule la bande côtière est habitée sur une profondeur qui excède rarement deux kilomètres. Tahiti est l'île la plus peuplée de la Polynésie française, avec 70 % de la population totale. La population de Polynésie française était de 260 338 habitants en 2007. La zone urbaine de la capitale, Papeete, draîne à elle seule plus de 128 000 habitants. La langue officielle est le français. Vue de l'île de Moorea depuis la commune de Punaauia. À 15 km à l'ouest de Tahiti se situe l'île-sœur Moorea, que l'on aperçoit parfaitement depuis la plupart des communes de l'ouest de Tahiti Nui. De nombreux travailleurs habitent à Moorea et vont travailler à Tahiti en prenant le ferry tous les matins. Tahiti et les autres îles de la Société connaissent de graves problèmes de diminution de la biodiversité liée à l'urbanisation, aux pollutions, au manque d'épuration de l'eau, à la surexploitation des ressources halieutiques, mais aussi à l'introduction d'espèces invasives. Par exemple, la petite fourmi de feu importée de Nouvelle-Calédonie qui a commencé à coloniser l'île, sans doute vers 1990 -1995, pour n'être officiellement signalée qu'en juillet 2004 (fait rendu public en octobre 2004). Le Service du développement rural (SDR) de Polynésie française a, lors de la saison sèche 2005, bloqué l'explosion pour un an, mais les colonies connues ont repris leur expansion. La Direction de l'Environnement de Polynésie française, aidée par des sociétés privées et Fenua Animalia freinent l'expansion depuis décembre 2006. Cinq colonies ont été traitées sur le domaine public, avec des tests d'évaluation des différentes pratiques, car malgré l'aide de l'armée, les traitements ne sont pas efficaces à 100%. En juin 2007, au moins 27 colonies sont identifiées sur 6 communes, à Papeete, Faa'a, Punaauia, Papenoo et Mahina. Tahiti est entourée par une barrière de corail. mururoa moruroa