See below related information from the web:At the end of the 18th cycle, small petroleum designs in the Borinage but at the bottom of the basin that the concentration of exploitation is the most important. At this time, Charles-Joseph de Ligne, entering the Grand Bailli du Hainaut, became a large part of the lands and selections of the region. In 1785, the last october in Guillaume Castiau, he introduced the director of the Anzin mines, a minor concession which covers the common ships of Baudour, Hautrages, Imberchies, Montrœul, Pommerœul, Stambruges, Thulin, Ville-Pomlerœul. Associated with several people who are in person with Prince Ligne, Castiau funded the same year by conducting a polling company consisting of quran actions before concentrating on the prospects of Thulin and Montrœul. Despite the resulting results, the latter introduces a demand for concession extension to alloys and Dour before establishing its grand offices in a Champ of the name Belle-Vue situated in alliances. This is the field named after him, in 1792, in the Charbonnage Society of Belle Vue.In 1801, under the control of the Compagnie des Pauvres Hommes, a small minor society at the centers of the Charbonnière du Longterne and Grand-Veine des Trichères sur Dour, active since 1766. June 1804, Belle-Vue absorb the Tapatout concession, leaving the same annuity by the government. As soon as it was full of water, the society came into contact with it on July 22, 1823, before being acquired by the Fontaine-Spitaels bank, all the owners of the Baisieux, Quiévrain and Saulçoir reunions. The reunion of the two donor exploitation zones in the Belle-Vue-Baisieux Charbonnage Society. As a result, the concessions, whose total surplus is 3,939 hectares, are still growing, being represented by the National Society for Industrial and Commercial Enterprises, a subsidiary of the General Society, which transformed the civil society into a social one. In 1868, the ensemble of all these concessions and donor societies joined the Anonymous Society of Charbonnages Unis of the West of Mons. Concessions remain independent and continue to grow on this city, under the control of the mother society. On the 21st of November, Mons' West absorbed the Societe Anonyme de Charbonnages de Boussu and Sainte-Croix Sainte-Claire, a society founded in 1854 by the fusion of the concessions of North Boussu and Fontaine. Madame, du Midi du Bois de Boussu et de Sainte-Croix Sainte-Claire, active since last year 1763. This new sub-society restores or is also independent. The following societies are active in the West of Mons: - Belle-Vue, Baisieux, Dour et Thulin,- Boussu et de Sainte-Croix Sainte-Claire,- Les Charbonnages et Hauts Fourneaux du Longterne. After absorbing the Grand-Hainin concession,'s construction in 1868, several shutters started simultaneously starting at N ° 6 (Tapatout angles), N ° 7 and N ° 8 from Belle-Vue or other areas the Alliance and the Sentinelle, active since 1827.In 1882, West of Mons launched the Societe Anonyme de Charbonnages des Houilles Grasses du Levant èlouges, active since 1838 and in liquidation. Four times more, the society absorbs the other great society of alloys: the Societe Anonyme du Longterne-Ferrand sur Élouges. This new acquisition takes place in the West of Mons to control two new imports: the turn of the Tournament and the turn of Longterne-Ferrand. There are four main wells and one auxiliary air ducts (Ste Odile), which quickly deviate from one of the most important parts of society. Suite for access to alloy exploitation zones, two new concessions fusion with the Belle-Vue-Baisieux concession: the concession of Grand Veine du Bois d'Epinois and the concession of Longterne-Ferrand. Separately legal, all these concessions were made by the Royal Court on October 17, 1921 under the name of Belle-Vue, Baisieux and Boussu. From the other side of the Dour, another society before importation: the Societe Anonyme de Chevalières et de la Grande Machine Machine Feu de Dour. In an accord of exploitation in 1791, the charcoal burning of the Grand Chevalier included chaotic debuts, successive drives systematically eliminating protests by Longterne-Ferrand exploiters and air exploitation. Finally exploited by a small siege situated in the Plantis hameau, the concession was absorbed in 1843 by the Society of Midi de Dour and the concession of 594 hectares was agreed upon by King Guillaume d'Orange-Nassau in 1827. This union was formalized in 1846, donation to the Civil Society of the Charbonnages of Chevalier and Midi de Dour at the Anonymous Society of the Charbonnages of Chevalier and Midi de Dour in 1866. At this time, the society was complete
-------------------------------------------------------------------------------------------À la fin du 18ème siècle, des dizaines de petites mines fleurissent dans le Borinage mais c'est à l'ouest de ce bassin que la concentration d'exploitation est la plus importante. À cette époque, Charles-Joseph de Ligne, futur Grand Bailli du Hainaut, gère une grande partie des terres et des seigneuries de la région. En 1785, ce dernier octroie à Guillaume Castiau, futur directeur des mines d'Anzin, une immense concession minière qui couvre les anciennes communes de Baudour, Hautrages, Imberchies, Montrœul, Pommerœul, Stambruges, Thulin, Ville-Pommerœul et Villerot. Associé à quinze personnes dont le prince de Ligne en personne, Castiau fonde la même année une société de sondage composée de quarante actions avant de concentrer ses prospections sur Thulin et Montrœul. Malgré des résultats décevants, ce dernier introduit une demande d'extension de concession vers Élouges et Dour avant d'établir ses grands bureaux dans un Champ du nom de Belle-Vue situé à Élouges. C'est ce champ qui donnera son nom, en 1792, à la Société du Charbonnages de Belle-Vue.En 1801, Celle-ci prend le contrôle de la Compagnie des Pauvres Hommes, une petite société minière née sur les cendres de la Société Charbonnière du Longterne et Grande-Veine des Trichères sur Dour, active depuis 1766. En juin 1804, Belle-Vue absorbe la concession du Tapatout, déchue la même année par le gouvernement. Bien que puissante et pleine d'avenir, la société fut cependant mise en vente le 22 juillet 1823 avant d'être acquise par le banquier Fontaine-Spitaels, alors propriétaire de la concession de Baisieux, Quiévrain et Saulçoir réunies. La réunion des deux zones d'exploitation donnera naissance à la Société des Charbonnages de Belle-Vue-Baisieux. À sa mort, les concessions, dont la superficie totale est de 3.939 hectares, sont maintenues avant d'être reprisent par la Société Nationale pour Entreprises Industrielles et Commerciales, filiale de la Société Générale, qui transforme la société civile en société anonyme. En 1868, l'ensemble de toutes ces concessions et sociétés donnera naissance à la Société Anonyme des Charbonnages Unis de l'Ouest de Mons. Les concessions restent cependant indépendantes et chacune continue de grandir de son côté, sous le contrôle de la société mère. Le 21 novembre de la même année, l'Ouest de Mons absorbe la Société Anonyme des Charbonnages de Boussu et de Sainte-Croix Sainte-Claire, une société née en 1854 suite à la fusion des concessions du Nord du Bois de Boussu et Fontaine-Madame, du Midi du Bois de Boussu et de Sainte-Croix Sainte-Claire, active de son côté depuis 1763. Cette nouvelle sous-société restera elle aussi indépendante. Trois sociétés sont alors actives au sein de l'Ouest de Mons : - Belle-Vue, Baisieux, Dour et Thulin,- Boussu et de Sainte-Croix Sainte-Claire,- Les Charbonnages et Hauts Fourneaux du Longterne. Après l'absorption de la concession du Grand-Hainin, également en 1868, plusieurs sièges commencent à clairement se démarquer comme les sièges N°6 (ancien Tapatout), N°7 et N°8 de Belle-Vue ou encore les sièges de l'Alliance et de la Sentinelle, actifs depuis 1827.En 1882, l'Ouest de Mons rachète la Société Anonyme des Charbonnages des Houilles Grasses du Levant d'Élouges, active depuis 1838 et alors en liquidation. Quatre ans plus tard, la société absorbe l'autre grande société d'Élouges : la Société Anonyme du Longterne-Ferrand sur Élouges. Cette nouvelle acquisition permet à l'Ouest de Mons de contrôler deux nouveaux sièges d'importance : le siège de la Tournelle et le siège du Longterne-Ferrand. Doté de quatre puits principaux et d'un puits d'aérage auxiliaire (le Ste Odile), ce dernier devient rapidement l'un des sièges les plus importants de la société. Suite à l'apport des zones d'exploitation d'Élouges, deux nouvelles concessions fusionnent avec la concession de Belle-Vue-Baisieux : la concession de la Grande Veine du Bois d'Epinois et la concession de Longterne-Ferrand. Encore juridiquement séparées, toutes ces concessions furent unies par Arrêté Royal le 17 octobre 1921 sous le nom de concession de Belle-Vue, Baisieux et Boussu. De l'autre côté de Dour, une autre société prend de l'importance : la Société Anonyme des Chevalières et de la Grande Machine à Feu de Dour. Né d'un accord d'exploitation en 1791, le charbonnage de la Grande Chevalière connaît des débuts chaotiques, les ayants droit successifs se heurtant systématiquement aux protestations des exploitants du Longterne-Ferrand et des exploitations voisines. Finalement exploitée via un petit siège situé dans le hameau de Plantis, la concession fut absorbée en 1843 par la Société du Midi de Dour dont la concession de 594 hectares fut accordée par le roi Guillaume d'Orange-Nassau en 1827. Cette union, officialisée en 1846, donnera naissance à la Société Civile des Charbonnages de la Chevalière et du Midi de Dour puits à la Société Anonyme des Charbonnages de la Chevalière et du Midi de Dour en 1866. À cette époque, la société n'empl |