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Dijon est une commune française, préfecture du département de la Côte-d'Or et chef-lieu de la région Bourgogne-Franche-Comté. Elle se situe entre le bassin parisien et le bassin rhodanien, sur l'axe Paris-Lyon-Méditerranée, à 310 kilomètres au sud-est de Paris et 190 kilomètres au nord de Lyon.

Ses habitants, appelés les Dijonnais, étaient au nombre de 153 668 en 2016. L'unité urbaine, qui comptabilisait pour sa part 243 244 habitants, est la première agglomération de la région en nombre d'habitants. Elle est au centre d’une intercommunalité, Dijon Métropole, comprenant 23 communes et 251 897 habitants et d'une aire urbaine de 385 400 habitants.

Capitale historique du duché de Bourgogne, ville aux cent clochers sous l'Ancien Régime, héritière d'un riche patrimoine historique et architectural, Dijon est une cité touristique dont l'attrait est renforcé par la réputation gastronomique de la région. Le centre historique de la ville est la seconde composante des climats du vignoble de Bourgogne, inscrits depuis le 4 juillet 2015 au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Ville de congrès, la capitale bourguignonne est aussi une ville verte au secteur tertiaire important, ainsi qu'un centre économique régional au tissu diversifié, avec un pôle agroalimentaire traditionnel (moutarde de Dijon, crème de cassis de Dijon et kir, pain d'épices, chocolat Lanvin…) et un secteur pharmaceutique réputé.

Dijon est la préfecture de la région de Bourgogne-Franche-Comté, et du département de la Côte-d'Or. La commune se situe à l'extrémité nord de la Côte des vins de Bourgogne aussi nommée « Route des Grands Crus » et qui s'étend de Dijon à Beaune pour sa partie côte-d'orienne.

La capitale bourguignonne se situe au cœur d'une campagne composée de deux rivières convergentes : le Suzon, qui la traverse du nord au sud, et l'Ouche, au sud de la ville ; à l'ouest s'étend la « côte » de vignobles qui a donné son nom au département. Elle se situe à 310 kilomètres au sud-est de Paris, 190 au nord-ouest de Genève et 190 au nord de Lyon.

Située sur un carrefour ferroviaire de l'est de la France (ligne Paris-Lyon-Marseille, bifurcations vers Besançon, Belfort, Nancy, la Suisse, l'Italie (par le tunnel ferroviaire du Fréjus et le Simplon)), la ville est desservie par un des principaux nœuds autoroutiers français aux croisements des autoroutes A6, A31, A36 et A39.

« Dijon prend naissance dans la plaine alluviale du Suzon, creusée dans les argiles tertiaires de la « Plaine » qui s'étend largement à l'est », suivant le cours de la Saône. La plaine est en effet un fossé tectonique situé à une vingtaine de kilomètres de Dijon, remblayé par les marnes et les argiles oligocènes atteignant une hauteur géologique de 100 mètres à Dijon.

Dijon et sa périphérie, formant Dijon Métropole, doit son originalité à une dissymétrie typique, entre les vallonnements diversifiés de l'ouest d'une part (la « côte » de vignobles) et les étendues plates de l'est (plaines de Saône)3. Au nord, le plateau de Langres, dernier rebord du bassin parisien, domine la plaine de 100 à 150 mètres d'altitude. Dijon est donc au centre d'une ligne géographique orientée nord-nord-est/sud-sud-ouest. L'altitude varie de 250 à 500 mètres NGF. Dijon se caractérise par de nombreuses vallées encaissées et le plus souvent étroites (les « combes » aménagées souvent en parcs municipaux comme la Combe aux Fées et la Combe à la Serpent) dont la principale est la vallée de l'Ouche au nord-est du plateau. Des buttes résiduelles, ou « tasselots » dans le patois dijonnais, forment le site des bourgs de Talant et de Fontaine-lès-Dijon qui surplombent la ville.

Dijon est donc à la conjonction de trois reliefs principaux :

Au sud, la « côte » qui s'étend de Dijon à Beaune sur 80 km, couverte de vignobles dont les feuilles prennent une couleur dorée en automne, ce qui a inspiré le nom poétique du département de la Côte-d'Or en 1790. C'est le long de cette côte, de Dijon jusqu'au sud de Beaune, que passe la célèbre route des Grands Crus ;

À l'ouest s'étend le plateau, premier contrefort des plateaux calcaires bourguignons. L'altitude varie de 350 à 500 m. Le plateau est parsemé de nombreuses vallées étroites et profondes appelées combes ; la plus importante est la vallée de l'Ouche au nord-est du plateau. Des buttes résiduelles s'en détachent : les bourgs de Talant et de Fontaine-lès-Dijon s'y sont édifiés ;

À l'est, se dessine l'amorce de la plaine de la Saône. L'altitude varie de 170 à 240 m. La topographie est douce, malgré quelques collines qui altèrent le paysage avec notamment une avancée issue des plateaux langrois qui souligne le débouché du Suzon dans la plaine au nord, et à l'est les collines de Saint-Apollinaire et de Montmuzard.

Hydrographie

Dijon est traversée essentiellement par le canal de Bourgogne et deux cours d'eau naturels : l'Ouche et le Suzon. Le premier court à l'air libre alors que le second emprunte une série de canaux souterrains durant sa traversée de Dijon. Le ruisseau du Raines qui passe par le jardin de l'Arquebuse se jette dans l'Ouche. L'agglomération dijonnaise reçoit environ 732 mm de pluie par an, et ce pendant 164 jours en moyenne.

L'Ouche venant du nord a un débit moyen de 10 à 20 m3/s pouvant dépasser les 100 m3/s en période de crue. Il peut alors se produire des inondations, mais elles sont rares et localisées. Un lac artificiel, le lac Kir, a été aménagé en 1964 sur son cours à l'entrée de la ville. Deux autres plans d'eau, bien moins conséquents, existent dans l'agglomération : l'étang royal, situé sur la commune de Longvic, et l'étang de la Leue, à Neuilly-les-Dijon, tous deux à proximité immédiate du cours de l'Ouche.

Le Suzon, seconde rivière importante, s'écoule du nord-ouest au sud-est de l'agglomération. Son cours est totalement canalisé dans sa partie urbaine. Son débit à l'entrée de Dijon atteint au maximum 20 à 30 m3/s.

La seule voie navigable de Dijon est le canal de Bourgogne qui relie la Saône et l'Yonne et n'est plus guère utilisé que pour la plaisance.

L'hydrographie générale s'écoule en direction de la plaine alluviale de la Saône à l'est. Elle comprend 527 kilomètres de canalisations. Les nappes phréatiques sont au nombre de trois : la nappe alluviale de l'Ouche, la nappe alluviale de la Tille et la nappe de Dijon sud. Ce sont les principales réserves d'alimentation en eau de Dijon Métropole. Elles sont relayées par quatre réservoirs principaux d'une capacité totale de près de 95 000 m3.

Les inondations constituent le seul risque naturel majeur (avec les tremblements de terre, très rares). Huit des vingt-deux communes de Dijon Métropole (notamment le centre-ville de Plombières-lès-Dijon ainsi qu'Ahuy, Chenôve, Marsannay-la-Côte et Longvic) sont concernées par les débordements du bassin de l'Ouche. Des plans de prévision des risques naturels ont été mis au point pour maîtriser ces aléasDM 3. Une politique d'amélioration de la qualité des eaux est également déployée. Elle repose sur deux stations d'épuration, l'une, récente, située à Chevigny-Saint-Sauveur, l'autre, plus ancienne, à Longvic, et vise une mise en conformité aux normes écologiques en vigueur. Un programme, nommé « Eauvitale », a été lancé en 2005. Outre la suppression des canalisations en plomb, il vise la réduction des fuites et la modération des prix de l'eau aux consommateurs. La consommation globale de l'agglomération s'élève annuellement à 24 millions de m3.


La place Darcy est une place du xviiie siècle de style haussmannien aux portes du secteur sauvegardé de Dijon.

Elle porte le nom de l'ingénieur hydraulicien dijonnais Henry Darcy (1803-1858).


Historique

Au xiie siècle les remparts de Dijon avec 12 portes et 18 tours passent par cette place par l'actuelle porte Guillaume au bout de l'axe rue de la Liberté / place de la Libération / palais des ducs de Bourgogne. Les deux routes de Paris provenant de Troyes et de Sens arrivent à Dijon par cette porte.


Au xve siècle le château de Dijon est construit sur l'actuelle place Grangier voisine, à cheval sur les remparts, puis totalement démonté au xixe siècle. En 1788 l'architecte Jean-Philippe Maret fait construire la porte de Condé en hommage au prince de Condé et gouverneur de Bourgogne Louis V Joseph de Bourbon-Condé à l'emplacement de la Porte Guillaume qui reprend ce nom définitif d'origine après la Révolution française.


En 1838 l'hydraulicien Henry Darcy instaure l'eau courante à Dijon (une des premières villes à la posséder avec Rome) et contribue grandement au développement de la ville et à la santé de ses habitants. Il construit sur l'actuel jardin Darcy un réservoir monumental d’eau potable de 2 300 m3 pour alimenter en eau courante les 29 000 habitants de Dijon de l'époque par un aqueduc souterrain de 12 km relié à la source du Rosoir de la haute vallée du Suzon. Dès 1840 de nombreux immeubles sont construits sur cette place, en style parisien haussmannien très en vogue à l'époque. Une fontaine à vasques en fonte y est installée, elle provenait de Paris. En 1878, elle est revendue à la ville de Châtillon-sur-Seine] qui l'installe sur la place Marmont1. Elle est remplacée en 1886 par une statue en bronze de François Rude qui sera envoyée à la fonte sous l'occupation allemande en 1942.


L'esplanade située entre la porte Guillaume et le réservoir est alors baptisée place du Château d'eau, avant de prendre son nom actuel de place Darcy en 1858 à la disparition d'Henry Darcy. En 1880 le jardin Darcy (premier jardin public de Dijon) est réalisé en style néo-Renaissance sur le réservoir d'eau par l'architecte Félix Vionnois (1841-1902) et l’hôtel de la Cloche voisin (un des plus luxueux de Dijon) est construit en 1884.


Avant la première Guerre mondiale, la place Darcy est un pôle important des transports en commun de Dijon, avec le passage des tramways à vapeur interurbains des chemins de fer départementaux de la Côte-d'Or (dont on voit ici une des rames) et des tramways électriques de la compagnie des tramways électriques de Dijon.


À ce jour, de par sa situation géographique près de la gare de Dijon-Ville, de sa grande taille et du jardin Darcy, la place Darcy est l'une des plus importantes de la ville.


En 2012, elle est en grande partie transformée avec l'arrivée du tramway de Dijon et la piétonnisation de la rue de la Liberté.


La Bibliothèque municipale de la ville de Dijon est un réseau de bibliothèques municipales de la Ville de Dijon, regroupant neuf bibliothèques, réparties dans les quartiers et au centre-ville.

La ville de Dijon possède un réseau de 9 bibliothèques-médiathèques, dans les quartiers et au centre-ville pour accueillir les jeunes et les adultes. Parmi ce réseau, l'une d'entre elles est appelée « Bibliobus » et il s'agit d'une bibliothèque mobile qui sillonne la ville.

L’église Sainte-Chantal de Dijon est située au 16, Avenue Gustave Eiffel à Dijon, dans le quartier du canal et de Larrey.

En 1869, le terrain situé dans les quartiers du Canal et de Larrey, fut arrêté pour construire l'église à l'initiative de la famille de Bretennière et avec l'aide des paroissiens de Saint-Bénigne. L'église sainte-Chantal fut construite entre 1870 et 1879, sur les plans de l'architecte Antoine-Paul Selmersheim puis acquise en 1880 par la ville de Dijon avant d'être consacrée en 18851. L'orgue, œuvre de Jean-Baptise Ghys, provient de la chapelle des sœurs de la Providence de Dijon.


Architecture

L'édifice est d'inspiration discrètement Néo-romane. L'intérieur, très sobre, est orné d'un chemin de croix de toile des années 1920 réalisé par l'atelier d'art sacré de Maurice Denis1. Le chœur de Sainte Chantal a été rénové et inauguré le 29 janvier 2012 par Mgr Minnerath. Il a été réalisé par Emmanuelle Grand, vitrailliste à Couchey.