AUTOGTAPHES - DOCUMENTS LITTERAIRES : Histoire, Empire, Napoléon 1er, NIII, LOUIS XVIII, Louis Philippe

Personnages historiques, Politique, Société civil et militaires, Evènements histotiques

Thèmes : Littérature, Social, ART, Médecine, Religion, Esotérisme, Technologie, Guerres etc...

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Très rare document rassemblant les rapport d'un Ingénieur
L. Berger, Constructeur
Très intéressant document qui relate les visites d'un ingénieur pour proposer de nouvelles cosntruction. Plusieur rapport attachaés.*** - 1 -Sucrerie de M. Larue Ingénieur à Noyant dans l'Aisne. Il y détaille l'ensemble des processus de fabrication, matériels : rapage de la betterave, etc.. 16 pp manuscrites in-folio. *** 2 - Rapport sur ses voyages à Lille : Alimentation d'eau de Lille - Etablissement Five Lille - Hôpital Sainte Eugénie - Paserelle de la petite Deule en tout 10pp d'informations. *** 3- Usine de M. REMERY GAUTIER & Cie à Persan Seine et Oise. Usine de fabrication de ressorts, essieux, boulonnerie, piéces de machines.
Les document sont tous signés L.Berger. Ecriture à l'encre fine et trés lisible

Support: Broché
État: Bon
Dimension = Page in-folio

Information pour l'Acheteur
Collection personnelle. Document bien conservé voir Photos avce plis et déchirures en marge. *** - Lors de la campagne d’Italie, en 1796, le Général Bonaparte doit défendre un vaste territoire contre une invasion autrichienne. Les troupes de la révolution ayant fort à faire sur d’autres théâtres, il n’a malheureusement pas les effectifs nécessaires pour contrer l’armée autrichienne. Cette dernière risque de se retrouver en surnombre pour s’emparer des places fortes défendues par les Français. C’est là que Napoléon va avoir une idée à la fois simple et géniale : placer ses troupes aux quatre coins d’un quadrilatère, de plus ou moins un jour de marche de côté. Chaque fois que l’ennemi se présente devant une place forte tenue par l’armée de la Révolution, les renforts venus des deux coins adjacents arrivent pour lui prêter main forte. Les Autrichiens seront ainsi tenus en échec et Bonaparte rentrera en France auréolé de ses succès. Cette organisation sera par la suite baptisée « bataillon carré ». Lorsque la Grande Armée sera en campagne, elle se déplacera toujours en adoptant ce schéma, un corps d’armée à chaque coin du quadrilatère d’un jour de marche de côté, avec au centre la garde impériale et la réserve de cavalerie (la forme exacte et donc la taille des côtés pouvant évoluer en fonction de la direction probable de la menace principale). Si un coin rencontre l’ennemi, il se configure défensivement et attend les renforts de deux autres côtés et de la cavalerie de réserve. Si l’adversaire est repéré avant, Napoléon peut faire manœuvrer ses corps d’armée pour les faire au choix, converger vers l’ennemi ou au contraire le contourner. Une configuration qui ne sera jamais prise en défaut jusqu’en 1812 et la rencontre avec le « général hiver » lors de la campagne de Russie.