AFFICHE ORIGINALE authentique certifiée
pas de copie - pas de repro - très rare
NO COPY certified - very rare
90 X 70 CM
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Manufacturer | Yamaha |
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Class | Moped |
Engine | 49 cc (3.0 cu in) two stroke single |
Transmission | 4-speed manual with chain final drive |
Brakes | Drum, front and rear; 110mm single leading shoe |
Wheelbase | 1.160 m (3 ft 9.7 in) |
Dimensions | L: 1.775 m (5 ft 9.9 in) W: .555 m (1 ft 9.9 in) H: .935 m (3 ft 0.8 in) |
Fuel capacity | 6.5 L (1.4 imp gal; 1.7 US gal) |
The FS1 was a Yamaha moped of the 1970s. Various letter suffixes were added to indicate model variation to suit local regulations, such the FS1-E for England, FS1P/DX NL and others.
The FS1-E was the UK model. Machines registered in the UK from 1 August 1977 were restricted to a maximum of 31 mph (50 km/h).[1]
Originally the FS1-E was built as a five-speed transmission light motorcycle. It was originally called the FS1. Due to the regulations in Europe, the FS1-E was downtuned with a four-speed transmission.
The Yamaha FS1-E has a 49 cc (3.0 cu in), single cylinder, two-stroke, air-cooled, rotary disc-valved engine with a four-speed gearbox. The FS1-E was the FS1 with the suffix E, which stood for England (differing from the models sold in other countries as the FS1-E had more cycle parts in common with other UK-imported Yamaha models). Yamaha introduced various improvements such as a front disc brake (FS1-E DX model) over the years, and later an autolube model with a two-stroke oil tank and oil pump, with no need to manually mix two-stroke oil into the fuel tank.
About 200,000 were produced for the UK market. An award winning short film was produced in 2006 and is available entitled 'Fizzy Days' encompassing the bikes and the era
The FS1-E had the ability to be powered by pushbike type pedals since this was a legal requirement for registration as a moped in the United Kingdom and some other European countries at the time.
The special pedal cranks allowed both pedals to be rotated forward so that the pedals would form motorcycle-style footrests in normal operation. To engage the pedals, the left-hand pedal crank could be rotated 180 degrees backwards and locked, and a drive gear engaged allowing the user to pedal. A short chain connected the pedal drive to the main engine-chain drive system. Pedalling was hard work for the rider: there was no freewheel and the pedal gearing was very low. The engine could be started with pedal drive engaged, causing the pedals to rotate under engine power when the bike was in gear. In practice, the cam and shaft arrangement to engage the pedals frequently seized (in normal operation, a rider would very rarely engage pedal-drive as it was less tiring to push than to pedal).
The pedals were designed by Henk Dullens, a former employee of "Het Motorpaleis" in The Netherlands. The system was designed for a Yamaha F5, which was basically the ancestor for the FS1-E.
Engine: Two-stroke single cylinder rotary disc valve induction, four gears, running on a 20:1 mix of petrol and two-stroke oil.
Frame: pressed steel tubular backbone type.
Electrics : Magneto ignition with integral 6V AC for the main running lights (including high and low beam on a switch). The indicators, brake lights, neutral light and horn ran separately on 6 v DC from a three-cell lead acid battery that received a trickle charge from the magneto. On most models the three position ignition switch (on a key providing off, run and lights) was mounted on the L/H side panel, however the switch was moved to the conventional position between the handlebars on the FS1-E DX (front disc brake equipped model) and later FS1-E models.
The right hand side panel contains a basic toolkit in a plastic case, pliers, 3 spanners, double ended screwdriver, plug spanner.
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Yamaha | |
Création | |
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Fondateurs | Torakusu Yamaha |
Forme juridique | Kabushiki gaisha et société par actions |
Action | Bourse de Tokyo |
Siège social | Hamamatsu Japon |
Direction | Takuya Nakata (P-DG) |
Activité | Conglomérat |
Produits | Motos, VTT, Motoneiges, Instruments de musique, Moteurs hors-bords, Nautisme, Hi-Fi, Électronique, Archerie |
Filiales | Yamaha Motor Company |
Effectif | 25 658 (2010) |
Capitalisation | 858 786 MJPY fin septembre 2019 |
Chiffre d'affaires | 432 967 MJPY en 2018 |
Résultat net | 13 800 MJPY en 2018 |
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Yamaha (ヤマハ株式会社, Yamaha kabushiki-gaisha ) est une entreprise japonaise opérant dans de nombreux domaines, parmi lesquels les instruments de musique (son activité première), les motos, les motoneiges, scooters des mers, les moteurs, les circuits intégrés et les appareils électroniques grand public. Elle a été fondée en 1887 par un horloger pour la fabrication d'orgues, Torakusu Yamaha, mais s'est diversifiée à partir de la Seconde Guerre mondiale. Elle est devenue, depuis, une multinationale.
Histoire
Sous le nom de manufacture Yamaha fûkin (山葉風琴製造所, Yamaha fûkin seizōsho , manufacture d'orgues Yamaha), elle a été fondée en 1889 par Torakusu Yamaha à Hamamatsu dans la préfecture de Shizuoka. Torakusu Yamaha, horloger et mécanicien, avait remporté en 1887 un franc succès en réparant l'harmonium d'une des écoles de la ville. L'entreprise fabrique cette année-là 250 instruments[réf. souhaitée]. En 1891 elle est renommée manufacture Yamaha gakki (山葉楽器製造所, Yamaha gakki seizōsho , manufacture d'instruments de musique Yamaha) dans le but de se lancer dans la fabrication d'autres instruments, puis en 1897, la manufacture devient une société par actions baptisée Nippon gakki seizō (日本楽器製造株式会社, Nippon gakki seizō kabushiki gaisha ).
En 1900, Yamaha revient des États-Unis après une année passée à apprendre le métier de facteur de piano. L'entreprise se met alors à vendre ses premiers pianos droits et, deux ans plus tard, des pianos à queue. Forte de ce succès, elle continue donc de se diversifier en fabriquant d'autres instruments : harmonicas, xylophones, etc. Torakusu Yamaha, meurt à Tokyo le , à l'âge de 64 ans.
En 1930, la Nippon Gakki crée son propre laboratoire d'acoustique. Durant la deuxième guerre mondiale, l'entreprise est forcée de fabriquer des hélices d'avions et de 1944 à 1947 elle ne produira plus aucun instrument. Après la guerre, la croissance économique est importante, la société planche sur différents produits lui permettant de se diversifier (machine à coudre, automobile, etc.).
En 1955, Nippon Gakki est rebaptisée « Yamaha » en l'honneur de son fondateur et lance sa première motocyclette, l'YA-1.
Entre 1983 et 1986, Yamaha accroît son actionnariat dans MBK industrie, s'en rendant propriétaire.
En , Yamaha rachète le fabricant de batteries et percussions anglais Premier Percussion Limited, et le revend en février 1995.
Yamaha achète Korg en 1989, qui en 1993 redeviendra une société complètement indépendante en rachetant les parts de Yamaha.
Yamaha achète Steinberg en 2004.
En 2001, lors de la création de Yamaha Motor Corporation, l'activité motos et moteurs se sépare. Cette scission se fait par échange d'actions avec Toyota.
En 2008, Yamaha rachète le facteur autrichien de pianos Bösendorfer pour quinze millions d'euros.
En 2014, Yamaha rachète le fabricant américain d’effets pour guitares Line 6.
Le logo de la marque, qui représente trois diapasons entrecroisés, rappelle les débuts de cette entreprise qui aujourd'hui est l'un des deux plus grands fabricants de pianos au monde, environ 130 000 unités par an.
Liste des principaux actionnaires à fin 1.
Nom | Actions | % |
Nomura Asset Management | 14 474 900 | 7,56 |
Yamaha Corporation (autocontrôle) | 13 198 760 | 6,89 |
Yamaha Motor | 10 326 000 | 5,39 |
The Shizuoka Bank | 7 525 455 | 3,93 |
MS&AD Insurance Group | 7 486 000 | 3,91 |
Sumitomo Life Insurance | 7 300 000 | 3,81 |
Nikko Asset Management | 6 817 800 | 3,56 |
Asset Management One Co. | 6 649 900 | 3,47 |
Mizuho Financial Group | 5 958 000 | 3,11 |
Sumitomo Mitsui Trust | 5 879 600 | 3,07 |
L'histoire de Yamaha Motor commence par la 125 YA-1 de 1955, largement inspirée, comme d'autres avant elle (BSA, Harley-Davidson, etc.), de la DKW RT 125 allemande de 19392,3. Contrairement à Honda, Yamaha est, au début, un spécialiste du moteur 2-temps comme deux autres japonais (Suzuki et Kawasaki). Ses machines de série ont tout de suite été réputées pour leur vivacité et leur fiabilité.
Yamaha arrive sur le marché européen à la fin des années 1960, avec une gamme de petites et moyennes cylindrées 2-temps, cylindres en fonte, dont :
Ces machines sont originales, avec très tôt une lubrification par injection d'huile (système autolube) et non par mélange.
Dès 1970, ces machines évoluent par l'adoption de cylindres en aluminium :
Yamaha travaille beaucoup sur la technique du 2-temps, avec l'admission par clapets et les valves d'échappement YPVS étudiées afin d'ajuster l'accord admission/échappement.
Yamaha s'essaye avec succès au 4-temps. La 650 XS sort en 1969 et poursuit sa carrière jusqu'en 1982. Pour contrer le succès de la Honda CB 750 Four, Yamaha sort en 1972 la 750 TX, un échec à cause d'une mécanique fragile. Les années 1970 voient aussi l'arrivée de Yamaha en tout-terrain (modèles trail) : DT 360 en 1973, DT 125, qui évolue en DTMX (suspension cantilever).
En 1975, Yamaha relance la mode du gros monocylindre avec la Yamaha XT 500 trail et ses dérivés (XT 550, XT 600, XT 660 R et X, Ténéré, SR 500).
En 1977, Yamaha sort la XS 500, bicylindre 4-temps à deux arbres à cames en tête et huit soupapes, et la XS 750, tricylindre 4-temps à transmission par arbre et cardan, qui évolue en 850 cm3.
En 1978 sort la 1100 XS reconnaissable par son phare rectangulaire. Sa cylindrée audacieuse en fait la plus grosse cylindrée japonaise de l'époque.
En 1983, Yamaha sort la 900 XJ qui évolue, en 1984, avec un carénage tête de fourche fixé au cadre, des simplifications techniques et une augmentation de la cylindrée au bénéfice de la souplesse et du couple. Existent également la 650 XJ, la 750 XJ Séca sans carénage, mais transmission secondaire par cardan également, la 400 et 600 (transmission secondaire par chaîne). Ils continuent à produire la 900 XJ jusqu'en 1994 et la remplacent ensuite par la 900 Diversion.
Yamaha continue à innover :
Yamaha récolte de nombreux succès en Grand Prix (Jarno Saarinen,Giacomo Agostini, Johnny Cecotto, Kenny Roberts, Patrick Pons, Christian Sarron, etc.) avec les TZ, proches des modèles de série au début.
Yamaha produit également des scooters. En France, Yamaha commercialise également ses scooters 50 et 125 cm3 sous la marque MBK (Booster, Skycruiser, Evolis et Skyliner, Tryptik, identiques aux Yamaha BW'S, X-Max, X-City, Tricity).
Giggle, NEOs, Aerox R, Aerox Race Replica, BW's Naked, BW's 12 pouces, BW's Original, BW's Next Generation, Slider Naked Tzr.Breeze Jog R, Jog RR, Dt50x, Dt50r et TZR 50.
X-Max 125, Majesty 125, Cygnus X, X-City 125, Vity, BW'S 125, YZF R1255, Wr 125, SR 125, YBR 125 125 yze, mt125, 125tzr N max 125
Tricity 125, tri-z 250, tri-z 350, tri-moto, ytm.
TMAX 530, Majesty 400, X-Max 250, X-Max 300, X-Max 400, X-City 250.
Yamaha s'est lancée dans la fabrication de motoneiges en 1968. Voulant profiter de la popularité croissante de ce véhicule, la compagnie produit la SL-350 propulsée par un moteur 2-temps bicylindre. C'était la première motoneige avec un carburateur à valve latérale. En 1971, le modèle SR433 de haute performance est introduit pour les courses. En 1976, le modèle SRX440 place ce fabricant à l'avant-garde dans les circuits de courses.
Le quartier général de la division des motoneiges se trouve à Cypress en Californie.
Aujourd'hui[Quand ?] Yamaha est le leader mondial des motoneiges 4-temps.
Yamaha Motor Company est une société d'ingénierie automobile filiale de Yamaha qui a développé des moteurs de compétition destinés à la Formule 1. De 1982 à 1997, la société a été dirigée par John Judd, qui possédait déjà sa propre officine de conception de moteurs (Judd). De fait, à partir du moment où Yamaha a décidé de s'investir sous son nom propre en F1, les moteurs conçus par Judd étaient soit baptisés « Judd », soit badgés « Yamaha ». Les écuries de F1 ayant couru avec un Yamaha sont les suivantes :
Des moteurs Yamaha animent certains modèles d'automobiles Volvo, Ford, Noble (moteurs V8). Surtout, Yamaha a étudié plusieurs moteurs à caractère sportif pour Toyota (les Celica) et la voiture de sport Lexus LFA, dotée d'un V10 (2010-2012).
Yamaha est un des leaders dans le moteur hors-bord ; la gamme comprend une cinquantaine de modèles de moteurs 4-temps et 2-temps, et des petits moteurs électriques6.
Les moteurs sont dotés notamment de Starter PrimeStart pour démarrer, d'un système de commande de régime variable, de jauges réseau numérique et de microprocesseur de commande de moteur ECM (Engine Control Module).