AUTEUR : RONAK MOSHIRI

TITRE : LE VERBE DES OISEAUX III


TECHNIQUE : MIXTE SUR TOILE


FORMAT: 50x50cm


ÉCHANTILLON UNIQUE




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DANS VIA SAN FELICE 18



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Notes biographiques sur l'artiste

RONAK MOSHIRI

Le stylo et le pinceau

Tous

poème épique, comme l'une des compositions littéraires préférées de l'histoire,

raconte des événements légendaires à travers lesquels il conserve et transmet la mémoire e

l'identité d'une civilisation. L'importance de cette fonction devient

priorité, laissant de côté le caractère esthétique e

travail artistique. L'épopée de toutes les littératures, au contraire, puise dans un

héritage de mythes préexistants qui offrent un monde magique déjà construit

de l'imagination humaine et prêt à être illustré avec des mots et,

plus tard, avec des photos. C'est en effet la pierre angulaire de la

compréhension correcte également de l'art de Ronak Moshiri.Le peintre de Gemina, d'origine canadienne et perse,

manifeste explicitement sa double nature dans son travail artistique. Là

son inspiration poétique trouve son origine dans les vers romanesques de la Khamsa (cinq poèmes

épopées) du célèbre poète, astrologue et médecin persan NiẠ« ÄmÄ ». Sa conduite

partie stylistique, d'autre part, de l'expressionnisme lyrique d'un

occidental. Le résultat de cette symbiose entre mythologie et phénoménologie est

narrations dans les représentations et les mots qui composent l'épopée peinte de

Moshiri. Ce n'est pas un hasard si les oeuvres du peintre sont structurellement proches de

fresques anciennes, où chaque illustration est accompagnée d'une transcription ou

vice versa (pensez uniquement aux manuscrits enluminés). La complémentarité mutuelle entre

l'art et l'écriture correspond à celui entre objectivation et interprétation que

elle se déroule à travers un seul flux de pensée, qui se manifeste

mélodiquement, sans distinguer la lettre de la forme. En effet le

Les figures de Moshiri sont indéfinies, elles se dissolvent dans les compositions de couleurs

comme les vers qui les accompagnent sont infinis, absorbés par l'intrigue

illustratif. On obtient ainsi une atmosphère onirique qui n'a pourtant rien

surréaliste mais, au contraire, il semble le lointain souvenir d'un factualisme

historicisé et donc fascinant du seul fait de l'impossibilité de

le savoir qu'à travers le mythe. Dans un tel

signifiant que l'amour, au centre de l'art de Moshiri, n'est pas seulement légendaire mais

avant tout symbolique, transformé en sens idéal, sous le signe de

reconnaissance de la perfection de l'affection. Ainsi vivent-ils entre images et

mots, KHOSROW (LE PRINCE), avec le défaut de ne pas reconnaître le véritable amour

et est, par conséquent, représenté à un niveau inférieur, et SHIRIN (LA

PRINCESSE) qui incarne la douceur et l'intellect dans la compréhension du ressenti

pur. Les deux plans de réalisation des protagonistes renvoient à nouveau à

solutions iconographiques archaïques (on ne pense qu'aux différentes échelles de

représentation des personnages selon leur importance dans l'art

médiéval), mettant l'accent sur l'intention de jeter un voile de mysticisme sur

conte, exactement comme n'importe quel poème épique l'exigerait. Le symbole ici représente l'œuvre d'art réalisée

dans sa complétude unitaire totale. Le déni de l'esthétique est évident

romantique, qui insiste sur l'utilisation de l'allégorie, pas comme une expression

rhétorique intellectuelle mais comme une manifestation de la séparation entre l'humain et le

Divin. Moshiri démontre avec son art que la forme esthétique et le contenu

matière peut coïncider dans une œuvre réalisée au pinceau, exactement

comme dans celui écrit avec le stylo.



Denitza Nedkova

Les citations de l'artiste sont présentes dans le CAM 50 édité par Giorgio Mondadori

raconte des événements légendaires à travers lesquels il conserve et transmet la mémoire e compréhension correcte également de l'art de Ronak Moshiri.Le peintre de Gemina, d'origine canadienne et perse, son inspiration poétique trouve son origine dans les vers romanesques de la Khamsa (cinq poèmes Moshiri. Ce n'est pas un hasard si les oeuvres du peintre sont structurellement proches de vice versa (pensez uniquement aux manuscrits enluminés). La complémentarité mutuelle entre Les figures de Moshiri sont indéfinies, elles se dissolvent dans les compositions de couleurs signifiant que l'amour, au centre de l'art de Moshiri, n'est pas seulement légendaire mais conte, exactement comme n'importe quel poème épique l'exigerait. Le symbole ici représente l'œuvre d'art réalisée rhétorique i