AFFICHE ORIGINALE authentique certifiée

pas de copie - pas de repro

NO COPY certified

MODELE D'AFFICHE TRES RARE - VERY RARE POSTER

80 X 60 CM

(+ 3 cm marge d'entoilage idéal pour encadrement )

( +3 cm linen backing margin for framing )


" Attention voici l'hiver 

... pour démarrer au 1/4 de tour 

ANTARGEL 

l'huile du Rallye de Monte-Carlo

ne colmate pas et reste fluide 

aux grands froids 

inaltérable et onctueuse 

aux hautes températures 

UNIS FRANCE 

pub. R.L. Dupuy 123,Av de Villiers Paris 

affiche d'intérieur  " 

-----------------------------------------------------

vous pouvez nous contacter pour la sauvegarde de 

vos affiches

entoilage - restauration

ATELIER AFFICHES ANCIENNES

posterstudio@orange.fr

posterstudio-france.com

( exemples photos de notre travail et devis sur demande )

---------------------------------------------------------

Antar (entreprise)

Société des huiles Antar (SHA)
logo de Antar (entreprise)
Produits Antar
Musée français du pétrole

Création1927
Dates clés1934 : lancement de l’huile révolutionnaire à particules de graphite
Années 1970 : Elf Aquitaine
prend le contrôle d'Antar
1999 : Total absorbe Elf Aquitaine
2009 : fin de la vente
des huiles à la marque Antar
Disparition06/06/2005
Forme juridiqueSociété anonyme à conseil d'administration (s.a.i.) (d)1Voir et modifier les données sur Wikidata
SloganAntar, l'huile de France
Siège socialPechelbronn
Drapeau de la France France
ActivitéPétrochimie
ProduitsCarburant, lubrifiant

Publicité (La Vie en Alsace, 1933)
Pompe Antar des années 1950.

Antar est une ancienne entreprise française de pétrochimie en activité de 1927 à 2005.

Historique

Louis Pierre Ancillon de La Sablonnière fonde en 1745 la mine de bitume de Merkwiller-Pechelbronn (Bas-RhinAlsace), qui a ensuite appartenu à Antar.

La Société anonyme d'exploitation minières Pechelbronn fonde en 1922 la Société alsacienne des carburants. Celle-ci commercialise en 1926 un lubrifiant, une huile industrielle, sous le nom d'Antar. La Société des huiles Antar (SHA) est constituée l'année suivante afin de distribuer des lubrifiants fabriqués par Pechelbronn. La même année, les frères Schlumberger réalisent une prospection électrique sur le site de Pechelbronn, ce qui constitue une première mondiale.

En 1939, le réseau de distribution des carburants Antar comporte 3 300 pompes en France, mais entre 1940 et 1945, la Guerre et l'Occupation sapent l'organisation d'Antar.
En 1958, Il y a 11 677 appareils distributeurs de carburant Antar en France.

La raffinerie de pétrole de Merkwiller-Pechelbronn ferme définitivement en 1970. Une autre raffinerie Antar fonctionne de 1965 à 1979 à Vern-sur-Seiche (Île-et-Vilaine); c'est aujourd'hui un dépôt Total.
En 1970, le groupe ERAP Entreprise de recherches et d'activités pétrolières prend le contrôle du groupe Antar qui est alors intégré à Elf Aquitaine.
Le groupe Total absorbe le groupe Elf Aquitaine en 2000.

La société Antar est dissoute le 2.
La marque Antar reste toutefois présente en lubrifiants. L'année 2009 marque cependant la fin de la vente des huiles de la marque Antar.

Présidents



-----------------------------------

Station-service

La station-automobile REX, à Monte-Carlo en 1937.
Reconstitution d'une antique station service américaine des années 1930.
Station-service Total ouverte 24h/24 à Courtaboeuf.
Station-service et aire de repos, sous la forme d'une aire de service en bordure d'autoroute, ici en Italie.
Events permettant l'approvisionnement d'une station service, ici Total.
Iowa 80, la plus grand station-service du monde.

Une station-service, ou essencerie dans plusieurs pays d'Afrique francophone, aussi appelée station essencestation d’essencestation à essence, ou encore pompe à essence est une infrastructure positionnée sur le bord d'une route ou d'une autoroute destinée principalement à fournir du carburant aux automobilistes. Le mot « station-service » est un calque de la locution anglaise (« service station »).

Outre les distributeurs de carburant, les stations les plus équipées offrent aussi des services nécessaires aux véhicules automobiles : boutique d'accessoires automobiles, station de gonflage des pneumatiques, petite mécanique et dépannage. Parfois, une carte carburant peut être utilisée comme moyen de paiement. Elles proposent également des services à destination des automobilistes : toilettes, épicerie, restauration, téléphone public.

Histoire 

Une pompe à essence Themis modèle JB1 à bouteille à niveau visible (1930).
Plus ancienne station-service, une pharmacie de Wiesloch, en Allemagne

D'après la marque Benz, la plus ancienne boutique ayant servi de station-service est une pharmacie de Wiesloch, en Allemagne, qui, en 1888, a fourni de l'éther de pétrole (ou benzine), à Bertha Benz, la femme de Carl Benz, lors de son voyage historique de Mannheim à Pforzheim1.

En France 

Station-service Orlen à Berlin (Allemagne).
Station-service en Islande.

Sur les autoroutes françaises, les stations-service offrent des aires de stationnement et de repos, avec souvent une boutique approvisionnée en nourriture (par 8 à Huit pour BP et Casino pour Total) et en produits de confort pour la route. Cependant, ces tarifs sont majorés en raison de l'ouverture permanente, d'une redevance autoroutière (les concessionnaires d'autoroute obligent les pompistes à prendre à leur charge certains travaux d'aménagement et d'entretien d'autoroute), l'obligation de disposer de carburants ainsi que le raccourcissement de la durée des concessions à quinze ans (contre vingt auparavant). À la suite de la fusion de Total avec Elf, l'État a cédé plusieurs concessions à Carrefour et E.Leclerc afin de réduire le quasi-monopole détenu par les compagnies pétrolières mais ces deux grands distributeurs renoncent dorénavant aux appels d'offres, jugeant ces stations peu rentables : avec la décroissance des volumes observée depuis 2005 et les changements irréversibles de consommation constatés depuis le pic des prix en 2008, la distribution de carburant a atteint un palier.

Sur l'ensemble du territoire en 2010, le nombre de stations a été divisé par trois en trente ans, du fait de la réorganisation du réseau routier et de la concurrence des grandes surfaces2. Ce sont les 1 400 indépendants (sur les 4 500 stations en France) qui souffrent le plus.

La grande distribution et son modèle « low cost » ne représente qu'un tiers du parc avec 4 902 stations mais 60,8 % du carburant vendu en France, contre seulement 12 % en 19803.

En 2006, les carburants disponibles en France sont essentiellement : les supercarburants sans plomb 95 et 98, le diesel, et le GPL. L'essence ordinaire a disparu dans les années 1991-1992 et le supercarburant (avec plomb) au début des années 2000.

La forte diminution du nombre de stations-service depuis les années 1980 s'explique notamment par l'essor de la grande distribution et la plus grande autonomie des véhicules (800 km dans les années 2010 en moyenne contre 400 km dans les années 1980), tandis que les stations rurales ont subi une réglementation de plus en plus lourde et difficilement soutenable financièrement[réf. nécessaire] par rapport à leurs volumes de vente relativement faibles. Alors que la grande distribution détenait 12 % du marché en 1980, en 2013 elle en possède 63 %, bien que fin 2012 les pétroliers et indépendants possèdent 6 175 sites sur 11 662, contre 4 947 à la grande distribution4.

Évolution du nombre de stations-service en France 

Au cours des années 1980, il est observé un déclin du nombre de stations services. Cette évolution est attribuée à deux facteurs. D'une part, la fermeture de nombreuses stations en milieu rural, que le faible volume de ventes rendait peu rentables. D'autre part, la fermeture des stations des centres urbains en conséquence d'un durcissement des règles de sécurité5.

Station-service ELF en Côte-d'Or, mars 2008.

Table du nombre de stations-service en France6 :


À Paris, le nombre de stations-service diminue drastiquement dans les années 2010. En 2017, on en compte trois fois moins qu'en 1995, où il y en avait 280. Les raisons de ces disparitions sont nombreuses : réglementation sur la protection de l'environnement, projets d'aménagements urbains ou encore crise économique qui pousse les automobilistes à aller se fournir dans des hypermarchés de périphérie où l'essence est moins chère. La libéralisation des prix de l'essence en 1985 a également joué un rôle. Une décision de l'Union européenne de 2010, devant prendre effet en 2020, interdit aux stations-service d’être à moins de 13 mètres d'un immeuble, ce qui risque d'entraîner de nouvelles disparitions. Par ailleurs, la mairie de Paris préfère ne pas renouveler des concessions (comme le Total porte d'Italie, fermé en 2013), afin de privilégier des programmes immobiliers ou de création de ZAC7.

Une étude prospective du cabinet Colombus Consulting prévoit la poursuite du mouvement de disparition des stations-service dans trois scénarios, selon la rapidité du développement des véhicules électriques (VE) : dans le scénario modéré (44 % de VE en 2050), la baisse en volume des ventes de carburants serait de 18 % en 2030 et 51 % en 2050 ; dans le scénario intermédiaire (70 % de VE en 2050), la baisse atteindrait 66 % en 2050 et dans le scénario haut (97 % de VE en 2050), elle atteindrait 83 % en 2050. La disparition des stations s'accentuera en zones rurales, et les stations d'autoroutes et de grandes surfaces se reconvertiront en stations de recharge pour VE8.

Dispositif de distribution 


Les pompes à carburant sont équipées de pistolets distributeurs, qui sont pourvues d'un système d'arrêt automatique et de récupérateur de vapeur.

L'approvisionnement des stations se fait par camion citerne, à partir des entrepôts pétroliers.

Carburants en station-service et supermarché 

Remplissage des cuves d'une station-service de supermarché

Dans la culture populaire, les carburants vendus dans les grandes surfaces seraient de moins bonne qualité que ceux proposés par les stations-services. Cela est dû au fait, qu'à l'époque les grandes surfaces commercialisaient les « fonds de cuves » rachetées à bas prix aux raffineries.

La différence majeure est que les pétroliers accordent beaucoup plus de temps pour la création de leurs carburants (gazole et essence) à la raffinerie ; et ajoutent plus d'additifs ce qui permet moins de consommation9,10.

En France, en 2014, la répartition des carburants routiers est la suivante11 :

  • 12,7 millions de mètres cubes dans les stations de pétroliers ;
  • 24,3 millions de mètres cubes en grande surface ;
  • 2,2 millions de mètres cubes dans les stations indépendantes ;
  • 3,6 millions de mètres cubes dans des enseignes non identifiées.

Stations-service et pollution 

Panneau indiquant la vente d'essence plombée au plomb tétraéthyle, un additif toxique inventé par Thomas Midgley Jr. et principalement fabriqué par la société américaine, Ethyl Corp. (de 1923 à nos jours, interdit depuis 2000 en Europe, mais encore utilisé dans des pays en développement12 où il pose des problèmes sanitaires graves13). Ailleurs il est remplacé par du benzène ou des additifs qui restent toxiques comme le MMT.
Station-service Preem à Karlskrona en Suède.

Les « pompistes » étaient autrefois directement soumis aux vapeurs d'essence contenant des substances cancérigènes et susceptibles de causer des troubles de la vigilance. Ils ont été remplacés par des systèmes de self-service avec paiement par carte la nuit.

Les principaux problèmes environnementaux sont :

  • la pollution chronique et parfois accidentelle des sols et des nappes, par des fuites de cuves ou à partir de carburant déversé sur le sol ;
  • la pollution de l'air par les vapeurs nocives de carburant (contenant de puissants solvants organiques (COV), dont benzène cancérogène et mutagène) ;
  • l'émissions de gaz à effet de serre (légères pertes de méthane au débranchement du pistolet) ;
  • atteintes à la santé via l'exposition chronique à de faibles doses de benzène : une étude14 française récente a conclu que pour un enfant, habiter près d'une station-service ou d'un garage automobile augmentait (de 60 %) le risque de leucémie aigüe chez l’enfant.

La Commission européenne a proposé un projet15 le  visant à garantir le captage et le recyclage des vapeurs de carburant nocives dans les stations-service, soit vers un réservoir de stockage souterrain aménagé sur le site de la station-service, soit directement vers la pompe à essence : le projet a été soumis au Conseil européen et au Parlement européen pour un examen (procédure de codécision). Le Parlement européen a voté un texte le 16, après accord préalable avec les États membres. Il doit encore être adopté par le Conseil européen.

Un système de la phase II de la récupération des vapeurs d'essence (ou PVR-phase II ; Petrol Vapour Recovery) sera obligatoire pour :

  • les pompes à essence de toutes les stations-service existantes, nouvellement bâties ou subissant une rénovation importante et dont le débit est supérieur à 500 m3 d'essence par an, ou dont le débit est au-dessus de 100 m3 par an et si elle est intégrée dans un bâtiment utilisé comme lieu permanent de travail ou d’habitation ;
  • les stations-service existantes de plus grande taille, dont le débit est supérieur à 3 000 m3 par an. Obligatoire avant le  (anticipation de deux ans de la date initialement prévue par la Commission européenne17).

En France : installation et réglementation 

Selon la législation française, les stations-services sont des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE). En effet, ce type d'installation est concerné par la rubrique no 1435 de la nomenclature des installations classées (« stations-service : installations, ouvertes ou non au public, où les carburants sont transférés de réservoirs de stockage fixes dans les réservoirs à carburant de véhicules »)18 :

  • Les installations distribuant un volume annuel de carburant liquide supérieur à 20 000 mètres cubes sont soumises à enregistrement. Afin de limiter leur impact environnemental, les exploitants de ces installations doivent notamment respecter les prescriptions techniques d'un arrêté ministériel daté du 19.
  • Les installations distribuant un volume annuel de carburant liquide supérieur à 100 mètres cubes d'essence ou 500 mètres cubes au total, mais inférieur ou égal à 20 000 mètres cubes doivent être déclarées. Afin de limiter leur impact environnemental, les exploitants de ces installations doivent notamment respecter les prescriptions techniques d'un autre arrêté ministériel également daté du 20.

Pour cette classification, l'essence est définie comme étant « tout dérivé du pétrole, avec ou sans additif d'une pression de vapeur saturante à 20 °C de 13 kPa ou plus, destiné à être utilisé comme carburant pour les véhicules à moteur, excepté le gaz de pétrole liquéfié (GPL) et les carburants pour l'aviation »18.

Les stations-services qui distribuent de l'hydrogène sont depuis le  concernées par la rubrique no 1416 de la nomenclature des installations classées21. Les installations, ouvertes ou non au public, où l'hydrogène gazeux est transféré dans les réservoirs de véhicules et où la quantité journalière d'hydrogène distribuée est supérieure ou égale à 2 kg/j doivent être doivent être déclarées. Afin de limiter leur impact environnemental, les exploitants de ces installations doivent notamment respecter les prescriptions techniques d'un arrêté ministériel daté du 22.

L'instruction des demandes d'enregistrement ainsi que le contrôle du respect des prescriptions techniques par les exploitants sont réalisés par l'inspection des installations classées23.

---------------------------------------------------------

Esso (marque)

Esso
logo de Esso (marque)
illustration de Esso (marque)

Création1912
Siège socialIrvingTexas
Drapeau des États-Unis États-Unis
ActionnairesExxonMobilVoir et modifier les données sur Wikidata
ActivitéIndustrie pétrolièreVoir et modifier les données sur Wikidata
ProduitsCarburants
Lubrifiants
Magasins
Société mèreExxonMobil
Sociétés sœursExxon
Mobil
FilialesCreole Petroleum Corporation (en)

Esso est une marque associée à la compagnie pétrolière américaine ExxonMobil.

Le nom est dérivé des initiales de la Standard Oil, avant 1911 lorsqu'elle s'appelait Eastern States Standard Oil (ESSO). En 1972, cette marque a été en grande partie remplacée aux États-Unis par la marque Exxon après avoir acheté la Humble Oil, tandis que Esso est resté largement utilisée ailleurs dans le monde.