1814
L’ARMEE DE LYON
ULTIME ESPOIR DE NAPOLEON
Par Ronald ZINS

EDITIONS CARDON, LYON,  1998
FORMAT IN-8, BROCHE, 351 PAGES. BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES DOCUMENTAIRES. CORRESPONDANCES DE L’ARMEE DE LYON

PREFACE DE JEAN TULARD

ILLUSTRE DE 23 CARTES, GRAVURES ET PORTAITS H-T

Dans le grand plan stratégique de NAPOLEON en 1814, c’est l’Armée de Lyon qui doit décider de la victoire sur les Alliés. De tout le Midi, de Catalogne et d’Italie les renforts affluent pour créer une importante force armée à Lyon et à Grenoble, les deux grandes villes militaires des Alpes du Nord. A la tête de l’Armée de Lyon l’Empereur à nommé le Maréchal AUGEREAU, Duc de CASTIGLIONE, son vieux féal de la Première Campagne d’Italie, qui doit marcher sur les lignes de communication des coalisés qui combattent NAPOLEON en Champagne.
Après plusieurs combats victorieux AUGEREAU mène ses troupes sous les murs de Genève, alors dans le département  français du Mont-Blanc, et jusqu’à Poligny dans le Jura. Mais le généralissime allié SCHWARTZENBERG réagit vite face à cette nouvelle menace et forme une Armée du Sud forte de 60 000 hommes de très bonnes troupes autrichiennes pour combattre l’Armée d’AUGEREAU.
Le Maréchal est contraint à un repli précipité et livre les batailles de Macon et de Saint-Georges de Renens (dans la plaine de l’Ain aux environs proches de Lyon) pour protéger la ville de Lyon.
Le 20 mars 1814, AUGEREAU et l’Armée de Lyon perdent la bataille de Limonest ou 80 000 combattants des deux camps s’affrontent durement pour la possession de la capitale des Gaules ! C’est plus qu’à Montmirail, Montereau ou Craonne !
AUGEREAU pouvait-il mener à bien sa mission de marche sur le flanc de l’ennemi ? A-t-il trahi NAPOLEON comme l’a prétendu l’historiographie napoléonienne ? Quel fut le rôle de FOUCHE, présent à Lyon, dans cette affaire ?

Ronald ZINS, éminent historien de l’Empire, actuel Président du Souvenir Napoléonien, reconstitue cette part méconnue et passionnante de l’histoire de la Campagne de France de 1814  et publie en annexe de nombreux documents inédits: correspondance militaire, ordres, organigramme des unités, etc.
Alors que le découragement, le défaitisme et la trahison commençait à poindre dans les milieux politiques et chez quelques chefs militaires, il y avait cette Armée de Lyon ou des hommes, officiers , soldats, gardes nationaux et simples volontaires étaient encore prêt à donner leur sang ou leur vie pour un idéal patriotique toujours incarné, pour peu de temps  et un peu plus loin dans les plaines de Champagne, par un bicorne noir et une redingote grise.

1814  L’ARMEE DE LYON ET LE MARECHAL AUGEREAU
 FACE A  60 000 AUTRICHIENS

EDITION ORIGINALE   


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