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180-gar

Dimensions : 80 cm par 92 cm .
Poids : 2 kg environ .

Huile sur toile originale vers 1930 .
Publicité originale (exemplaire unique) en huile sur toile pour l'apéritif," le coup de l'étrier " .
Une petite restauration visible plus bas au dos sur les photographies .
On remarquera le format non standard de la toile et le rajout de bois sur le châssis .

Anonyme .

«le Coup de l'Etrier» d'Auzeville Cette boisson, un apéritif, a été créée dans la commune dans les années 1920.
Jules Boutin, héritier de la famille Labit crée le «vin tonique de la Durante». Il le qualifie comme «le plus sain des apéritifs, le meilleur des digestifs» qui «peut se prendre aussi au milieu des repas». Il l'appela «le coup de l'étrier» en référence au dernier coup que prenaient les cavaliers avant de quitter l'auberge : l'aubergiste faisant mine de trinquer en frappant l'étrier avec sa cruche !
Il s'agit d'un apéritif à base de vin blanc, produit et élevé dans la commune, complété par des vins en provenance du Midi viticole. A ce vin étaient ajoutés : du jus de raisin blanc concentré, du Rancio, de l'alcool de vin, du sucre, le tout dans des proportions gardées secrètes !


Petite restauration minimes :

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Envoi rapide et soigné .


José de San Martín est un général et homme d'État argentin né le 25 février 1778 à Yapeyú en Argentine et mort en France à Boulogne-sur-Mer le 17 août 1850. Avec Simón Bolívar et Bernardo O'Higgins, il est l'un des héros des indépendances sud-américaines.
José Francisco de San Martín y Matorras nait en le 25 février 1778 à Yapeyú en Argentine où son père, le colonel Juan de San Martín y Gómez, est administrateur de la province. Sa mère, Gregoria Matorras, appartient à une famille notable1.
Militaire en Espagne

En 1785, son père retourne en Espagne et José de San Martin entre au Séminaire des nobles de Madrid qu'il quitte à l'âge de 12 ans pour entrer dans le régiment de Murcie. Il prend part à la campagne d'Afrique en combattant à Melilla et Oran. En 1797, il est promu sous-lieutenant pour ses actions lors des combats contre les troupes françaises dans les Pyrénées2.

L'Espagne devenant l'alliée de la France contre l'Angleterre, il sert en août 1798 comme officier de marine de la République Française sur la frégate Santa Dorothea qui est capturée par les anglais2.

Il retourne en 1800 dans son ancien régiment espagnol et participe à guerre des Oranges lors de l'invasion du Portugal par l'Espagne et la France. 3. Il est promu capitaine en 1804.

En 1808, les troupes de Napoléon envahissent la péninsule Ibérique et le roi Ferdinand VII est fait prisonnier. C'est alors qu'éclate la rébellion du peuple espagnol contre l'Empereur et son frère Joseph Bonaparte, qui vient d'être proclamé roi d'Espagne. Remarqué par ses faits d'armes contre les Français, San Martín accède au grade de capitaine du régiment de Bourbon. L'armée attaque les troupes françaises et les bat au cours de la bataille de Baylen, le 19 juillet 1808. Il continue la lutte face aux Français et leurs alliés.
L'Angleterre

Il combat sous les ordres du général Beresford à la bataille d'Albuera, le 16 mai 1811, et y fait connaissance de Lord Macduff (James Duff, 4e comte de Fife). Ce dernier l'introduit auprès des loges secrètes qui complotent pour l'indépendance de l’Amérique du Sud. Ainsi devenu franc-maçon grâce à cet allié, il obtient un passeport pour l’Angleterre, passe une brève période à Londres, puis rencontre d'autres Blancs nés en Amérique latine, membres de la loge maçonnique Logia de los Caballeros Racionales (loge des Chevaliers rationnels), fondée par Carlos María de Alvear à Montevideo, sur le modèle de la loge du même nom fondée par Francisco de Miranda à Cadix4. En 1812, San Martín s'embarque vers Buenos Aires à bord de la frégate britannique George Canning, en compagnie de José Matías Zapiola (es). Ils fondent ensemble la Loge Lautaro, du nom du chef Lautaro, Amérindien mapuche du Chili qui, au XVIe siècle, avait résisté avec succès aux tentatives espagnoles de conquêtes.
Retour à Buenos Aires

San Martín est bien accueilli à Buenos Aires, et son grade de colonel est reconnu. Le 16 mars 1812, les autorités lui confient la tâche de créer un corps de cavalerie, qu'il appelle Regimiento de Granaderos a Caballo (Régiment des Grenadiers à Cheval), afin de surveiller à cheval les berges du grand fleuve Paraná. Durant l'année 1812, il s'appuie sur son expérience militaire acquise contre les troupes napoléoniennes pour instruire cette troupe aux techniques modernes de combat.

Le 12 novembre 1812, alors âgé de 34 ans, il contracte un mariage avec María de los Remedios de Escalada, âgée de 14 ans.

Pendant ses premières années à Buenos Aires, l'élite de la capitale le surnomme « el tape » (Indien guarani
Il combat sous les ordres du général Beresford à la bataille d'Albuera, le 16 mai 1811, et y fait connaissance de Lord Macduff (James Duff, 4e comte de Fife). Ce dernier l'introduit auprès des loges secrètes qui complotent pour l'indépendance de l’Amérique du Sud. Ainsi devenu franc-maçon grâce à cet allié, il obtient un passeport pour l’Angleterre, passe une brève période à Londres, puis rencontre d'autres Blancs nés en Amérique latine, membres de la loge maçonnique Logia de los Caballeros Racionales (loge des Chevaliers rationnels), fondée par Carlos María de Alvear à Montevideo, sur le modèle de la loge du même nom fondée par Francisco de Miranda à Cadix4. En 1812, San Martín s'embarque vers Buenos Aires à bord de la frégate britannique George Canning, en compagnie de José Matías Zapiol