Vous enchérissez sur un Dédicace manuscrite et signée (en breton !) du journaliste et écrivain français Léon de Berry (né 30. septembre 1874 à Ergué-Armel (Finistère), décédé. à Rennes le 4 décembre 1946).

Non seulement la dédicace est en français, mais aussi la forme de son nom (Léon ar Berr).

Daté28. à savoir Même 1902 (mardi 28 juin 1902).

Sur la page de titre (18,9 x 13,3 cm) de son premier ouvrage "Fleurs de Basse-Bretagne = Bleun à Vreiz-Izel : Contes bretons, Simon : 1901."

Condition: Page de titre en vrac ; Marges gauche et bas irrégulières. Papier bruni et froissé, plié en son milieu, avec de petits plis.Veuillez également noter les photos !

À propos de Léon Le Berre (Source : wikipédia) :

Biographie de la Renaissance

30 septembre 1874

Ergué-Armel

Déces

4 décembre 1946 (à 72 ans)

Rennes

Nationalité

Français

Activités

Journalistes, écrivain


À propos de Léon Le Berre (Source : wikipédia) :


Léon Le Berre est un journaliste et un homme de lettres polygraphiques françaises, né le 30 septembre 1874 à Ergué-Armel (Finistère), fusionné en 1960 avec Quimper, et mort à Rennes le 4 décembre 1946. Il a dirigé plusieurs journaux d'information, dont L'Union agricole et maritime avant de collaborer au quotidien L'Ouest-Éclair.

Le beau texte en français et en breton pour les organes de l'Emsav ne devient pas une figure très influente. The utilisait alors son nom « druidique » (Ab Alor ou Abalor), étant l'un des fondateurs et piliers administratifs de la confrérie néo-druidique appelée Gorsedd de Petite-Bretagne. Avec le courage de la langue anglaise, il est l'un des initiateurs du mouvement panceltique.

Études et débuts de l'engagement politique

Ces parents, Alain Le Berre et Marie-Hermandine Magnan, auraient exercé le breton, et ils apprendraient aussi à vivre.

Après avoir complété des études secondaires au collège Saint-Sauveur, à Redon, les études de lettres et l'université de Rennes. C'est la fréquence des noms d'étudiants passionnés en Bretagne, en particulier, François Jaffrennou, Victor Nouel de Kerangué et Olivier Guyon, avec la tendresse, le 29 avril 1900, de la Fédération des étudiants bretons dont il est président. A cette occasion, la publication West-Eclair pour la première fois un texte en breton qui est un conte écrit par lui.

La figure du régionalisme en breton dans le développement

En septembre 1900, ce sont les fondateurs de Ti Kaniri Breiz (Maison des chanteurs de Bretagne) qui préparent la création à Guingamp, peu après, du Gorsedd de Bretagne, dénommée d'abord, Gorsedd des bardes de Petite-Bretagne-Goursez Barzed. Breiz-Vihan. Il est le cofondateur de cet organisme politico-littéraire qui prétend être la tête spirituelle du mouvement régionaliste, mais il n'obtint le titre de barde qu'en 1902 au Pays de Galles.

En 1902, il fut adressé à l'Union Régionale Bretonne, qui fut adressée aux secrétaires, versée à la Conférence Celtique Internationale de Dublin, la pétition protestante contre la circulation du président du Conseil, Émile Combes, qui rédigeait la lettre. des églises et des écoles, le dialecte breton, relique barbare d'un autre âge ».

De 1902 à 1905, profession de professeur de français en Irlande et futur président de la République d'Eire, Douglas Hyde.

De 1905 à 1907, il fut employé et rémunéré par le Grand Conseil de l'Association celtique de Lord Castletown of Upper Ossory.

Secrétaire Général de l'Union Conseil Régional Breton de 1901 à 1911, partie du Président qui quitta cette année-là, en réaction à la principale misère des aristocrates, et conserva le même poste dans l'association dissidente, la Fédération Conseil Régional. de Bretagne.

Présent à l'Eisteddvod de Swansea-Abertawe en 1907, il manifeste une opinion royaliste à l'écoute du God save the King, mais son compagnon de voyage, François Vallée, notez que c'était une position provisoire1, car, comme beaucoup des Régionalistes bretons qui ne font pas partie de l'aristocratie, ils y sont toujours après la République, selon les membres de la FRB.

La carrière journalistique : Il trouve à s'employer quelques mois à Carhaix dans le journal bilingue Ar Bobl dirigé par François Jaffrennou. Le chef d'orchestre ensuite, au début de 1908, deux journaux catholiques locaux de Vannes, l'Arvor et le Courrier du Morbihan et appuie les campagnes pour le Breton lances par Loeiz Herrieu et André Mellac dans leurs revues Lorientaises, Dihunamb et le Pays Breton.

En janvier 1914, pour « on peut vivre pleinement dans la pensée », l'Union de l'Agriculture et de la Maritime, un hebdomadaire imprimé à Quimperlé et en fait un journal traitant aussi de la Bretagne et des questions Bretonnes.

La majorité des articles concernent une actualité très locale, mais il y a de noms ouvertures vers les informations régionales, la situation politique française, les débats parlementaires, les techniques et les cours agricoles et les actualités de l'édition.

Le sous-titre, « Organe démocratique républicain », est complet plus tard par « et régionaliste ».

Un poème en breton, suivi de sa traduction, est placé régulièrement en page une. Une attention particulière est portée à la situation en Irlande en soutenant plus ou moins implicitement les nationalistes.

Les deux organismes dans lesquels Léon Le Berre est actif, la Fédération régionaliste de Bretagne et la Gorsedd de Bretagne ont droit à la publication intégrale de leurs communiqués et comptes rendus d'activité.

Pendant la guerre, Le Berre ayant été réformé, Théodore Botrel et Anatole Le Braz financent l'envoi du journal (bi-hebdomadaire sur deux pages et souvent censuré) aux soldats bretons mobilisés, une sorte de contribution au maintien de leur moral.

À la suite de la déclaration du ministre de l'Instruction publique, Anatole de Monzie, qui indiquait, en 1925, que « pour l'unité linguistique de la France, la langue bretonne doit disparaître », Léon Le Berre déclencha une vaste campagne polémique contre le ministre qui termine devant un écho dans la population.

En 1928, il est envoyé à l'hebdomadaire, ce qui lui confère une nouvelle licence, hors publicité légale, à la Presse libérale du Finistère et à l'Ouest-Éclair de Rennes. Il ne lui est confié, à titre principal, que la chronique judiciaire, ce qui n'est pas au niveau de son expérience et de ses vastes capacités de rédaction.

Le propagandiste caustique de l'Emsav

Léon Le Berre, indépendant de caractère, mena une intense activité de propagande, tournée vers la Gorsedd dans laquelle il était le Druide Sonneur du cor qui commençait et ouvrait les cérémonies publiques annuelles. Le portrait du nom d'Abalor ou encore Ab Alor est un souvenir de Saint Alor, qui est la paroisse d'Ergué-Armel, et est signifiant...

La collaboration est active avec François Jaffrennou dans l'aventure du Consortium breton (1927-1928), une revue de l'encyclopédique régionaliste sur la Bretagne, et la poursuite dans un long prolongement de la revue, de forme identique, An Oaled-Le Foyer Breton (1928-1934). Les noms des articles et les échos de l'actualité font également partie des nouveautés et des poèmes.

En juillet 1929, l'homme accompagne Jean de Saisy de Keranpuil dans un grand tour des îles britanniques pour une recherche très importante sur les contrastes commerciaux des terres celtiques.

Comme druide, il seconde Jaffrennou pour faire de la revue un support pour rendre compte des activités de la Gorsedd de Bretagne, des cercles celtiques de Paris, Rennes et Nantes et des organisations régionalistes et pour organisateur les fêtes Bretonnes officielles comme le Gorsedd public en 1927 à Quimperlé et le "Festival National Breton" à Pontivy en 1932.

L'Ouest-Éclair lui confiait la couverture des réunions des principales organisations bretonnes, comme l'Union régionaliste bretonne, la Gorsedd et le Bleun-Brug, mais il pouvait parvenir à de très nombreux articles, parfois polémiques, à de nombreux journaux paraissant en Bretagne et mème à Paris.

Ces textes sont écrits dans la Croix de Paris, l'Irish Times, La Bretagne Mondaine, La Dépêche de Brest, L'Indépendance Bretonne, etc.

Il rédigea les rapports du Comité de préservation du Breton, une section de l'Association Bretonne qui les faisait paraître dans son bulletin annuel.

Avec Jaffrennou, il est un fervent partisan de la cause régionaliste non hostile à la France, dont la devise était : « Breton en France, Français à l'étranger » et ses conséquences ont amené à polémiquer violation avec les partis nationalistes bretons.

Doté d'une plume brillante, parfois caustique, servie par un style et une culture hors paire, il était capable d'écrire aussi bien en français, en breton et même en français médiéval.

Il écrit plusieurs livres, histoires et touristiques, ainsi que des pièces de théâtre en breton, des nouvelles, des Comtes et des Poèmes.

Œuvres

Les Chevaliers de la Table Ronde. Épisodes de la légende Celtique, préface de Ronan Caerléon, Landerneau, Éditions Brittia, 1945.

Bretagne d'hier, Rennes, L'Ouest-Éclair, 1936.

Le 145e anniversaire du traité de la Mabilais, 1935.

La parure du vieux Rennes, 1935.

Un grand évêque gallo-romain, Saint Mélaine, 1935

Guide illustré de Quimperlé et de la région des collerettes, 1928.

La circulation de Monzie contre l'enseignement de Breton, 1926.

Ar verc'h he divreac'h mougn, Lorient : Le Pays Breton, 1913. (La Fille sans soutiens-gorge). Pièce de théâtre.

Français de Quimper, Lorient : Le Pays Breton, 1913. Comédie.

Sinadur à Eil Testamant, Carhaix : Ar Bobl, 1911. Pièce de théâtre.

Sous le pseudonyme de Trivarz et collaboration avec Yves Berthou et Paul Diverrès, Istor Breiz hag ar C'helted, Le Dault, 1910. (Histoire de Bretagne et des Celtes)

Ar gwir, treac'h d'ar gaou, Paris : Le Dault, 1905. Pièce de théâtre.

Les épousailles de Brébiot, Vannes : Lafolye, 1904. Pastorale en vieux-français.

Fleurs de Basse-Bretagne = Bleun à Vreiz-Izel : Contes bretons, Simon : 1901.


Leon ar Berr (pe Léon Le Berre), pari ganet d'an 30 à savoir Gwengolo 1874 en Erge-Vihan (staget ouzh Kemper e 1960) a marvet d'ar 4 à savoir Kerzu 1946 e Roazhon, à o our c'helaouenner breizhat, hag ur barzh anavezet evel Ab Alor pe Abalor.

E dud ne oant ket brezhonegerien, deskiñ brezhoneg a reas e-unan.

Bet eo bet e penn ar sizhunieg L'Union agricole et maritime, kenlabouret en deus gant L'Ouest-Éclair. Unan eus renerien Goursez Vreizh e etc. Saozneg mat a oui.

Gantañ ha Taldir Jaffrennou e voe savet An Oaled (anvet e galleg Le Foyer breton) a oa ur gelaouenn drimiziek e galleg hag e brezhoneg, embannet etre 1928 ha 1939.

Ur yezh keltiek a orin eus an Enez Vreizh (Breizh-Veur/Preden) ag nous scourr a yezhoù predenek eo ar brezhoneg. A-gozh et vez komzet ha skrivet e Breizh. Tamm-ha-tamm eo bet strishaet e implij da Vreizh-Izel (il c'hornôg d'ul Linenn hag a ya dre vras ​​​​hiziv an deiz eus Plouha da Wened). Ganet et vije diwar votre voutinded yezh a vije bet etre Enez Vreizh ha Breizh Vihan (Arvorig) (e-tro dibenn an Henamzer).


 

Après avoir complété des études secondaires au collège Saint-Sauveur, à Redon, les études de lettres et l'université de Rennes. C'est la fréquence des noms d'étudiants passionnés en Bretagne, en particulier, François Jaffrennou, Victor Nouel de Kerangué et Olivier Guyon, avec la tendresse, le 29 avril 1900, de la Fédération des étudiants bretons dont il est président. A cette occasion, la publication West-Eclair pour la première fois un texte en breton qui est un conte écrit par lui. En septembre 1900, ce sont les fondateurs de Ti Kaniri Breiz (Maison des chanteurs de Bretagne) qui préparent la création à Guingamp, peu après, du Gorsedd de Bretagne, dénommée d'abord, Gorsedd des bardes de Petite-Bretagne-Goursez Barzed. Breiz-Vihan. Il est le cofondateur de cet organisme politico-littérair