2 lettres de Jean-Louis Curtis relative à son adaptation du Bal du comte d’Orgel.

Curtis, dans l’embarras, réclame un contrat, des aménagements pour le cas d’une co-production de cinéma et un cachet supérieur pour les dialogues du « Bal ». Étant déjà à la moitié de l’écriture de ce texte, il s’inquiète d’en garder la propriété et souffre d’un grand manque de communication et d’accès à son interlocuteur. Il évoque La Tempête, de Shakespeare, les assurances, la direction de l’ORTF et veut déposter une pièce à la Société des Auteurs et doit, pour cela, récupérer ses manuscrits. Il affirme à son correspondant ne pas vouloir se passer de leur collaboration.

Le second courrier est incomplet.

En 1967, Jean-Louis Curtis avait tiré du chef-d’oeuvre de Raymond Radiguet, Le Bal du Comte d’Orgel, une adaptation dialoguée, pour l’ORTF.