« Car les communistes n’ont pas désarmé : la culture de l’horreur —
d’une horreur à laquelle ils ont leur bonne part puisqu’ils
administraient eux-mêmes les camps allemands de concentration et y
avaient la haute main sur tout — ayant si admirablement servi leurs
desseins politiques, ils essaient de l’entretenir en publiant de temps à
autre ce qu’ils appellent dans un délicieux euphémisme un témoignage.
On sait, certes, que, venant de l’autre côté du rideau de fer, tous ces
“témoignages” sont suspects d’avoir été fabriqués pour les besoins de la
cause, mais la propagande communiste est si bien faite, ils sont
traduits dans toutes les langues et si abondamment répandus en Europe
occidentale, que les esprits non avertis qui sont, malgré tout, le plus
grand nombre, peuvent se laisser abuser et que, même si ce travail est
fastidieux, il devient nécessaire de les examiner à la loupe pour mettre
l’escroquerie en évidence. En 1953, nous avons eu SS Obersturmführer Dr Mengele par le docteur communiste hongrois Miklos Nyiszli et, aujourd’hui, Le commandant d’Auschwitz parle qui
prétend être une confession rédigée en prison par Rudolf Höss dans les
derniers jours qui ont précédé sa pendaison, à Cracovie, le 1er avril
1947. »
Paul Rassinier