CHRISTOFLE - Exceptionnel service à Thé en argent massif
Rare Service à thé de 3 pièces en excellent état de la célèbre maison Christofle
L’ensemble a été entièrement restaurée par un orfèvre
Brillance parfaite, pas d'enfoncements, de
déformations, de rayures
Aucun jeu dans les anses ni dans les charnières des
couvercles
Intérieurs des pièces parfait
Poinçons d'orfèvres Christofle et Cardeilhac à Paris sur chaque pièce
Poinçon mercure (exportation) 1er titre (950/1000e)
Le service se compose de :
Une théière haute de 17 cm pesant 897 g
Un sucrier couvert haut de 13 cm pesant 778 g
1 pot à lait haut de 9 cm pesant 304 g
Poids Total de 1979 g
Histoire de la Maison CHRISTOFLE (1830 - ...)
Charles Christofle fonde la société en 1830 Le symbole est "OC assorti d'une abeille et 3 étoiles"
L’empereur Napoléon III commande, dès 1851, des services de table officiels de l'Empire à Christofle.Ses titres d’ Orfèvre du Roi et de Fournisseur de l’Empereur vont permettre à la maison devenue célèbre, d’être sollicitée par les souverains étrangers comme l'Empereur du Mexique ou le Tsar de Russie.
Aujourd’hui, la marque qui perpétue ses commandes notables, est aussi fournisseur du Palais de l’Elysée à Paris.
L’empereur Napoléon III commande, dès 1851, des services de table officiels de l'Empire à Christofle.
Aujourd’hui, la marque qui perpétue ses commandes notables, est aussi fournisseur du Palais de l’Elysée à Paris.
Histoire de la Maison Cardeilhac
Orfèvrerie établie par Antoine-Vital Cardeilhac en
1804 et localisée au 4 rue du Roule.
Il enregistre des poinçons en 1817, 1820 et le 20 juin 1829. Le symbole est
"une croix de la légion d’honneur couronnée et un croissant
au-dessous".
La maison est dirigée de 1851 à 1885 par son fils Armand-Edouard. En 1885
Ernest Cardeilhac, son Petit-fils, reprend la direction de la maison. C’est
avec lui que débute la réalisation de pièces d’orfèvrerie en or et en argent.
Amélie, veuve d’Armand-Edouard Cardeilhac, poursuit les activités de la maison
de 1904 à 1913 au 24 place Vendôme pour la fabrication de doré et d’argenté et
de 1904 à 1920 au 91 rue de Rivoli pour l’orfèvrerie. Puis en 1920 les deux
fils d’Ernest Cardeilhac, Jacques et Pierre, prennent la succession jusqu’en
1951 quand l’entreprise est amalgamée à la maison Christofle.
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