131- tir78

Médaille en cuivre , de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880) .

Frappée en 1975 .
Bel exemplaire .

Graveur / Artiste / Sculpteur : Simon Goldberg .

Dimensions : 68 mm .
Poids : 179 g .
Métal : bronze
.
Poinçon sur la tranche (mark on the edge)  : corne d'abondance + bronze
+ 1975 .


Envoi rapide et soigné.


The stand is not for sale .
Le support n'est pas à vendre

 

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Federico Fellini [fedeˈriːko felˈliːni]a est un réalisateur de cinéma et scénariste italien né à Rimini le 20 janvier 1920 et mort à Rome le 31 octobre 1993.

Il est l'un des plus grands et célèbres réalisateurs italiens du XXe siècle et l'un des cinéastes les plus illustres de l'histoire du cinéma, au même titre que Charlie Chaplin, Ingmar Bergman, Akira Kurosawa, John Ford, Jean Renoir, Alfred Hitchcock ou encore Orson Welles. Il a gagné la Palme d'or au Festival de Cannes 1960 pour La dolce vita et quatre fois l'Oscar du meilleur film en langue étrangère à Hollywood (pour La strada, Les Nuits de Cabiria, Huit et demi et Amarcord), un record qu'il partage avec son compatriote Vittorio De Sica.

Marquée à ses débuts par le néoréalisme, l'œuvre de Fellini évolue, dans les années 1960, vers une forme singulière, liée à la modernité cinématographique européenne à laquelle Ingmar Bergman, Michelangelo Antonioni, Alain Resnais, Jean-Luc Godard ou encore Andreï Tarkovski sont rattachés. Ses films se caractérisent alors par le foisonnement des thèmes et du récit, l'artificialité revendiquée de la mise en scène et l'absence totale de frontière entre le rêve, l'imaginaire, l'hallucination et le monde de la réalité1.

Le 29 mars 1993, un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière, « en appréciation de l'un des maîtres-conteurs de l'écran », lui est attribué par la prestigieuse Académie des arts et sciences du cinéma à Los Angelès2. Issu d'une famille de la petite bourgeoisie de province italienne, Federico Fellini est né dans la station balnéaire de Rimini sur la côte adriatique. Durant sa jeunesse, il est marqué par le pouvoir, l'Église et le fascisme, ce qui se ressentira plus tard dans son œuvre (Amarcord, par exemple). Attiré par le journalisme et le dessin de presse, il s'installe en 1939 à Rome où il est engagé par un hebdomadaire humoristique à grand tirage, Marc'Aurelio où il fait la connaissance de Giulietta Masina3.

Il fait ses grands débuts au cinéma comme script et assistant-scénariste de Roberto Rossellini pour le film Rome, ville ouverte (Roma, città aperta) en 1945. Si cette collaboration dure plusieurs années, Fellini travaille également aux côtés de Pietro Germi (Au nom de la loi, In nome della legge en 1948) et Alberto Lattuada (Sans pitié, Senza pietà en 1948). C'est avec ce dernier qu'il signe sa première véritable réalisation pour le cinéma : Les Feux du music-hall (Luci del varietà) en 1951, une œuvre, certes, fortement influencée par le courant néoréaliste, notamment pour sa peinture de l'Italie d'après-guerre, mais qui s'avère déjà très personnelle tant par le style que les thèmes évoqués : les artistes itinérants, la vie de bohème, les spectacles fauchés, les querelles de personne ou de cœur ridicules et les préoccupations quotidiennes futiles3.
Un néor