271- TIR 33

Médaille en bronze, Belgique .
Frappée vers 1957 .
Bel exemplaire .

Graveur / Artiste / Sculpteur : monogrammes : " D F " (?).

Dimensions : 80 mm .
Poids : 204 g .
Métal : bronze .

Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Fisch Fonson .

Envoi rapide et soigné.

Le chevalet n'est pas à vendre .
The stand is not for sale.
271- TIR 33
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Edgard Tytgat est un peintre, graveur et illustrateur belge né à Bruxelles le 28 avril 1879 et mort à Woluwe-Saint-Lambert le 10 janvier 1957.
Biographie

Le père d'Edgard Tytgat est graveur en taille-douce et imprimeur.

D'abord apprenti chez un horloger de 1893 à 1895, Edgard Tytgat travaille ensuite chez son père. De 1897 à 1900, il suit les cours du soir à l’Académie royale des beaux-arts de Bruxelles. En 1901, il suit les cours à plein temps, notamment chez Constant Montald. C’est là qu’il noue des amitiés avec d’autres futurs peintres, dont Rik Wouters et Fernand Verhaegen. Il les représentera d’ailleurs tous deux, accompagnés de leur épouse, dans un dessin à l’encre de Chine La Ligue des peintres wallons, Doe stil voort vers 1907.

Il quitte la Belgique pour l’Angleterre pendant la Première Guerre mondiale et ne revient qu’en 1920, pour s’installer définitivement à Woluwe-Saint-Lambert en 1923.

Tytgat est à la fois peintre, graveur, dessinateur, aquafortiste, aquarelliste et graveur sur bois. Comme graveur et xylographe, il a illustré de nombreux ouvrages (Le petit chaperon rouge, La flûte enchantée, etc.). L’imagerie était son point fort. Son ami Verhaegen a gravé une eau-forte le représentant intitulée L’imagier.

Sa peinture, d'un style inspiré du postimpressionnisme, est souvent qualifiée de peinture naïve, avec des scènes de la vie quotidienne, des intérieurs, des kermesses, des amoureux, mais non dépourvues d’une douce poésie. À partir de 1950, il aborde la représentation de légendes mythologiques baignant parfois dans un certain érotisme.

Edgard Tytgat a participé à de nombreuses expositions, tant personnelles que collectives, en Belgique et à l'étranger.

D’une nature très retenue, il était cependant très attaché à ses amis jusqu’à réaliser des œuvres dans lesquelles ceux-ci sont repris. Le musée communal de Bruges conserve une de ses œuvres représentant Aline, l’épouse de son ami Fernand Verhaegen, au balcon, lors de la kermesse de Watermael-Boitsfort en 1911.

Son frère, Médard Tytgat (en) (1871-1948), et le petit-fils de ce dernier, Médard-Siegfried Tytgat (1916-1997), sont également peintres.
Œuvres dans les collections publiques

France

    Grenoble, musée de Grenoble :
        Bouquet de fleurs, 1920 (MG 2540) ;
        Tytgat et les figures de cire, 1927 (MG2539).

Belgique

    Anvers.
    Arlon, musée Gaspar, Collections de l'Institut archéologique du Luxembourg : lithographie.
    Bruges.
    Bruxelles.
    Gand.
    Ixelles.
    Liège.
    Mons.
D'abord apprenti chez un horloger de 1893 à 1895, Edgard Tytgat travaille ensuite chez son père. De 1897 à 1900, il suit les cours du soir à l’Académie royale des beaux-arts de Bruxelles. En 1901, il suit les cours à plein temps, notamment chez Constant Montald. C’est là qu’il noue des amitiés avec d’autres futurs peintres, dont Rik Wouters et Fernand Verhaegen. Il les représentera d’ailleurs tous deux, accompagnés de leur épouse, dans un dessin à l’encre de Chine La Ligue des peintres wallons, Doe stil voort vers 1907. Sa peinture, d'un style inspiré du postimpressionnisme, est souvent qualifiée de peinture naïve, avec des scènes de la vie quotidienne, des intérieurs, des kermesses, des amoureux, mais non dépourvues d’une douce poésie. À partir de 1950, il aborde la représentation de lége