226-tir15

Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (poinçon corne d'abondance à partir de 1880) .
Frappée vers 1955 .
Exemplaire montrant quelques traces minimes de manipulations . .

Graveur : A déterminer (initiales :" P M " ) .

Dimension : 68 mm .
Poids : 171 g .
Métal : bronze .

Poinçon sur la tranche (mark on the edge)  : corne d'abondance + bronze .

Envoi rapide et soigné.

Le support n'est pas à vendre .
The stand is not for sale .


Une infection sexuellement transmissible (IST) ou infection transmissible sexuellement (ITS) au Canada est une infection qui se transmet entre partenaires au cours des différentes formes de rapports sexuels. Cette infection peut donner lieu à une maladie infectieuse, autrefois appelée maladie vénérienneNote 1, le nom provenant de Vénus, déesse de l'amour.

Toutes les pratiques sexuelles qui comportent un contact génital mutuel ou oro-génital avec une autre personne, ou ses fluides génitaux, sont considérées comme un risque de transmission d'une IST. Chaque IST présente un risque et un degré de gravité différent. En considération des contaminations buco-fécales un simple contact oro-anal comporte un risque de transmission infectieuse parasitaire1.

L'infection peut être multiple (plusieurs agents infectieux à la fois). Elle est fréquemment récidivante à court terme2.

Selon le type d'infection le risque de contamination peut être réduit par la vaccination, la limitation du nombre de partenaires et l'utilisation de protections appropriées incluant surtout les préservatifs masculins et féminins.
Jusqu'au début des années 1980 on utilisait en français l'expression de « maladies vénériennes », ce qui faisait référence de façon poétique à la déesse de la mythologie antique Vénus. À partir des années 1990, les appellations MST (pour « maladies sexuellement transmissibles ») ou MTS (pour « maladies transmissibles sexuellement ») sont d'usage courant. Depuis 1999, le terme MST est peu à peu remplacé par celui d'IST et ITS3,4 (« infections transmissibles sexuellement »5 et « infections sexuellement transmissibles »), car le terme « infection » plutôt que « maladie » prend mieux en compte le fait que certaines infections sont asymptomatiques (sans symptôme apparent, elles peuvent passer inaperçues, ne répondant pas à l’acception du mot maladie dans le langage courant). Quelques IST peuvent être transmises par le sang (hépatite B) ou le lait maternel (sida). Maintenant, au Canada, on parle surtout de ITSS : « infection transmissible sexuellement et par le sang »6.

Dans les mêmes périodes temporelles, la langue anglaise utilise l'expression venereal diseases (VD), puis sexually transmitted diseases (STD) et sexually transmitted infections (STI)7.
Prévention

La probabilité de transmission des maladies par l'activité sexuelle varie grandement d'une pathologie à l'autre.

Les professionnels de la santé conseillent des rapports protégés par préservatifs lors de relations sexuelles avec des personnes possiblement atteintes, ce qui constitue une méthode efficace de prévention. Au niveau d'une population, l'utilisation de préservatifs est efficace de la même manière pour contrôler une épidémie.

La diffusion des IST est très majoritairement liée à l'activité hétérosexuelle (de par le poids de la « communauté ») même si, historiquement, les prostitués (ou travailleurs du sexe) et certains groupes homosexuels ont été les plus touchés. Une raison majeure expliquant la diffusion des IST est l'existence de porteurs sains : ces derniers ne ressentent pas de symptôme d'infection et ne consultent donc pas de médecin, risquant ainsi de transmettre leur(s) IST à leur
Jusqu'au début des années 1980 on utilisait en français l'expression de « maladies vénériennes », ce qui faisait référence de façon poétique à la déesse de la mythologie antique Vénus. À partir des années 1990, les appellations MST (pour « maladies sexuellement transmissibles ») ou MTS (pour « maladies transmissibles sexuellement ») sont d'usage courant. Depuis 1999, le terme MST est peu à peu remplacé par celui d'IST et ITS3,4 (« infections transmissibles sexuellement »5 et « infections sexuellement transmissibles »), car le terme « infection » plutôt que « maladie » prend mieux en compte le fait que certaines infections sont asymptomatiques (sans symptôme apparent, elles peuvent passer inaperçues, ne répondant pas à l’acception du mot maladie dans le langage courant). Quelques IST peuven