Tasse Souvenir du Goûter Matrimonial de Trazegnies mariage Porcelaine de Beau Dour 1976

Pour être heureux mariez-vous!
50 anniversaire! pièce rare

Mooie tas ter herinnering van een trouw!

Dimensions:
H. 7 x D. 7,5 cm

Trazegnies

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Trazegnies is een dorp in de Belgische provincie Henegouwen, en een deelgemeente van de Waalse gemeente Courcelles. Trazegnies was een zelfstandige gemeente, tot die bij de gemeentelijke herindeling van 1977 toegevoegd werd aan de gemeente Courcelles. Bij de plaats bevindt zich het kasteel van Trazegnies van het geslacht de Trazegnies.

Geschiedenis

Willem II van Vlaanderen werd hier in 1251 tijdens een toernooi door paarden vertrappeld, waardoor Gwijde van Dampierre de nieuwe bestuurder werd van het graafschap Vlaanderen.


Trazegnies est une ancienne commune belge. Fusionnée avec Courcelles en 1976, elle est située à mi-chemin entre Charleroi et La Louvière.

Cette localité a donné son nom à la maison de Trazegnies, issue des anciens seigneurs locaux. Sa devise est « tan que vive »

  • À l'origine, une vaste terre franche fut offerte par le Roi de France à l'un de ses chevaliers pour grands services rendus. Trazegnies devint alors le siège d'une puissante seigneurie indépendante à la limite du duché de Brabant, du comté de Hainaut et de la principauté de Liège, ainsi que le berceau d'une des plus illustres familles d'Europe : plusieurs seigneurs de Trazegniesparticipèrent aux croisades, l'un d'eux (Gilles le Brun) fut connétable de France sous saint Louis, un autre épousa par procuration au nom de Charles Quint l'infante Isabelle de Portugal; Jean III fut nommé chevalier de la Toison d'or et d'autres furent investis de hautes fonctions par les gouverneurs des Pays-Bas. Par la suite, il fut offert une parcelle de la terre à une congrégation religieuse qui y installa une abbaye au lieu dit "Herlaimont"; Un village se construisit autour et est devenu l'actuelle commune de Chapelle-lez-Herlaimont. À la suite d'un héritage au milieu du XIXe siècle, les marquis de Trazegnies ont quitté leur demeure ancestrale et se sont installés, avec leur famille, dans un autre château, celui de Corroy-le-Château, près de Gembloux, à quelques kilomètres de Namur. C'est là que vit encore aujourd'hui le marquis (Olivier) de Trazegnies d'Ittre. Ce château, particulièrement bien conservé, fait partie des demeures remarquables de Belgique et est le cadre de réjouissances médiévales tous les printemps. L'ancien château famillial de Trazegnies, lui, fut cédé à la société de charbonnage de Mariemont-Bascoup dont les galleries du site minier voisin menaçaient la vieille bâtisse. Certaines parties ont d'ailleurs fini par s'écrouler.

Depuis 1926, racheté pour le franc symbolique à l'Etat belge, le château de Trazegnies, véritable monument du patrimoine belge, est la propriété de l'asbl Les Amis du Château de Trazegnies qui s'occupe de sa préservation et de sa restauration et y organise différentes animations toute l'année; L'ancienne demeure seigneuriale a d'ailleurs été Classée aux Monuments et Sites de Belgique le 14 janvier 1950. Actuellement, une restauration du "porche" extérieur, qui menait anciennement vers les jardins du château, est en cours. Il faut également signaler le fait que, durant plus de 30 ans, un vin fut élevé dans les caves du château; Le vignoble dont était extrait le jus de raisin servant à la vinification se trouvait sur un ancien terril de charbonnage, dans la commune voisine de Chapelle-lez-Herlaimont (à côté de l'ancienne abbaye d'Herlaimont, rue de l'abbaye); Durant de nombreuses années, on y organisait d'ailleurs une grande fête annuelle au cours de laquelle les visiteurs avaient la possibilité de goûter le vin local accompagné d'un petit repas, et ce, durant 2 weekends, en septembre. Ce site a été revendu au début de l'année 2016.

On remarquera également l'église Saint-Martin, située à l'écart du château (en se dirigeant vers le village voisin de Gouy-Lez-Piéton), lieu de sépulture de certains marquis de Trazegnies. Le modeste édifice religieux, en cours de restauration, vaut à lui seul le détour!

A noter qu'une radio locale (Tan Que Vive - 87.7fm), émettant en stéréo 24h/24, a vu le jour dans les murs du château en 1981, à l'ombre d'un majestueux platane séculaire, lui-même élevé au rang des arbres remarquables de l'arrondissement de Charleroi. En octobre 2009, à la suite d'une réorientation de ses programmes, cette station, muée en une radio régionale commerciale destinée à un public adulte ciblé, a été rebaptisée Smile fm. Depuis le 1er décembre 2013, la station a fusionné avec une autre radio de harleroi s'appelant Ramdam Musique et dont elle diffuse les programmes en permanence. Ses studios ont, depuis disparus, n'en demeurant que l'émetteur, lequel devait être transféré ailleurs, dans les environs du château.



Royal Boch

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Royal Boch is een Waalse aardewerkmanufactuur, waarschijnlijk de bekendste op Belgische bodem.

Geschiedenis

Het bedrijf werd gesticht in 1841 door de familie Boch, afstammelingen van de familie Boch uit het Franse Audun-le-Tiche die daar in 1748 een keramiekbedrijf oprichtten dat later zou uitgroeien tot Villeroy & Boch.

Gedurende decennia ontfermde de familie Boch zich over de kwaliteit van de ontwerpen. Dankzij Anna Boch werden kunstenaars als Charles van der Stappen en Théo Van Rysselberghe betrokken bij de productie.

De familie onderhield contacten met verschillende kunstenaars. Zo was Eugène Boch een goede vriend van Vincent van Gogh.

Oude stukken in art decoart nouveau en Jugendstil zijn zeer begeerd bij verzamelaars door hun fijne kwaliteit.

In 2009 verschenen er berichten in de pers omtrent de sluiting van de bekende hofleverancier. Er werd een overnemer gevonden. Eind 2010 moest de overnemer echter verschijnen voor de handelsrechtbank van Bergen. Hij werd beschuldigd van gesjoemel en het niet nakomen van de engagementen die hij aanging tegenover het Waals Gewest.



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Royal Boch - Keramis

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Sur les conseils de Jean-Baptiste Nothomb, homme politique belge et gendre de Jean-François Boch, ils installent la première manufacture de faïence fine feldspathique (dite terre anglaise) en Belgique : la société Kéramis. Ils le font pour échapper aux droits de douanes du zollverein. Leur choix se porte sur un hameau de Saint-Vaast, La Louvière3 à proximité des charbonnages du centre et le long du canal de Charleroi sur le site d'une ancienne poterie. Ils construisent la manufacture, mais aussi des habitations pour héberger du personnel venu du Luxembourg, de France et plus tard de Hollande. Ils obtiennent de pouvoir fabriquer de la faïence le . La société Boch Frères S.N.C. est créée le .

La production, qui a démarré le  connaît une croissance rapide. Kéramis remportera même une médaille d'or à l'Exposition des produits de l'industrie belge de 18474. En 1855, ils participent à l'Exposition universelle de Paris aux côtés des autres usines du groupe ; à l'époque, Kéramis emploie déjà 300 ouvriers à La Louvière et 100 dans une fabrique à Tournai qu'ils ont achetée à Henri de Bettignies en 18515. On trouve également trois machines à vapeur totalisant 70 chevaux à Kéramis et une de 25 chevaux chez Boch Frères à Tournai. Ils mettent également sur pied des œuvres patronales, une caisse de secours, une école6... L'entreprise connaissant un grand succès, Victor Boch se fait construire un château. Il en confie la réalisation à Joseph Poelaert. Construite dans un parc, La Closière, sera achevée en 1862.

Après avoir connu des années fastes après la Seconde Guerre mondiale, les ennuis commencent dans les années 1970. L'activité se concentre sur la production de sanitaires. Après un dépôt de bilan en 1985, la société renaît sous le nom Novoboch (associé à Sphinx Sanitair) pour la partie sanitaire et MRL Boch pour la vaisselle avec le concours financier de la Région wallonne. Depuis 1993, une activité touristique tournant autour de la faïence s'est également développée sur le site.

En 2009, le ciel s'assombrit à nouveau sur l'entreprise ; en février 2011, les derniers bâtiments de la faïencerie sont démolis, à l'exception de celui qui abrite les fours-bouteilles, qui devient le cœur d'un musée, le Centre Keramis, inauguré en 2015. Deux salles y sont consacrées aux productions de Royal Boch et aux artistes qui ont œuvré pour la manufacture.

Les fours

La manufacture emploie des fours ronds où la production est discontinue. Ils utiliseront une technique à flamme inversée importée d'Angleterre après 1870. On comptera jusqu'à 26 fours à la veille de la Première Guerre mondiale. Ils font 6 mètres de diamètre, 12 foyers (alandiers) et peuvent contenir jusqu'à 20 tonnes de biscuit. Les pièces à cuire sont rangées dans des boîtes en pierre réfractaires qui sont ensuite empilée sur 4 à 5 mètres. Le four est ensuite muré. Il faut 48 heures pour atteindre la température de cuisson du biscuit (1 250 °C. Attendre quelques jours que l'ensemble se refroidisse, extraire la production, la peindre et recuire la peinture et le vernis (16 à 18 heures à 1 150 °C).

En 1904 fut mis en activité un des premiers fours tunnels à gaz. La production y est continue. Il fut suivi de la construction d'un second (1908) et d'un troisième (1933). En 1949, un four tunnel au mazout pour la production de faïence sanitaire (sous la marque Vitribo) est mis en service. Il y en aura plusieurs autres. En 1952, un four électrique sera utilisé pour la cuisson de l'émail.

Trois "fours bouteilles" ronds ont été préservés de la destruction et sont désormais intégrés à l'architecture du Centre Keramis.

Les artistes

Au cours du xixe siècle, des artisans hollandais sont engagés pour imiter la production de Delft.

Charles Catteau est engagé fin 1906 comme dessinateur (création et peinture de décors) et devient rapidement responsable du département décoration qu'il renommera plus tard Atelier de Fantaisie en 1920. Il deviendra également titulaire du cours de peinture décorative de l'école industrielle supérieure de La Louvière. Il restera chez Boch Frères jusqu'au . On lui doit une production importante de produits Art déco. Dans les enfants de la manufacture se trouvent deux artistes, Anna Boch et son jeune frère Eugène Boch. Les deux sont des peintres impressionnistes, Anna peint également sur des céramiques de la manufacture et Eugène dessine des logos. Les deux ont également été d'importants collectionneurs.


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