Indisponible en librairie dans cette édition et ce format.
Paris, Rivages, collection Rivages / Thriller, paru en 2003.
Broché, dos carré-collé.
15,2 x 22,5 cm, 246 pages.
Très bel état, quelques marques d'usage/stockage externes (frottements sur certains bords et coins, coin bas du 1er plat tendant à corner, tranches jaunies, rousseurs et salissures sur la gouttière -tranche médiane), intérieur frais et propre, vierge d'annotations.
Envoi protégé, monde entier / worldwide shipping.
(Autres Tony Hilerman proposés...)
Présentation éditeur :
Bernadette Manuelito a beau être officier de police, elle n'en est pas
moins navaja. Aussi, lorsqu'elle découvre un homme mort dans un pick-up
truck abandonné, son premier réflexe est de penser à la contamination
par le chindi, le deuxième d'observer les graminées et débris végétaux
visibles sur le cadavre. Influencée par sa culture, elle n'examine pas
le corps avec toute la minutie requise par son métier et se méprend sur
la cause du décès qu'elle juge, à tort, naturel. Cette erreur lui est
reprochée par le FBI et par son supérieur hiérarchique, le sergent Jim
Chee, qui va prendre les choses en main.
Dans le véhicule du mort, on
retrouve un dossier contenant des articles sur la mine du Veau d'Or. Ce
nom rappelle à Joe Leaphorn une vieille affaire, classée mais non
résolue. Une histoire d'arnaque, mais aussi de meurtre et de
disparition. Quel mystère plane sur cette mine fantôme et quelle est
cette étrange plainte entendue par des enfants dans un ancien dépôt de
munitions situé à proximité ? Bernadette Manuelito n'a pas dit son
dernier mot, Jim Chee suit ses méthodes habituelles et, chacun à sa
façon, ils apporteront des éclaircissements.
Le livre se referme en
laissant planer l'ombre de futurs bouleversements. Une fois encore, on
reste étonné par l'imagination inépuisable de Tony Hillerman qui bâtit
une intrigue passionnante, empreinte de tous les mystères du pays
navaja, tout en donnant à ses personnages une dimension toujours plus
humaine, toujours plus juste, qui touche en profondeur.
Avec Le Vent qui
gémit, Tony Hillerman signe son premier roman " féminin ".