De l'Exposition universelle de Paris en 1889 à la déclaration de guerre en 1914, l'Epoque se veut Belle malgré ses inégalités sociales. Un siècle s'achève, un autre commence...

Dans les rues d'Arlon circulent les dernières malles-postes. Fiacres et calèches cèdent le pas à des monstres d'acier pétaradants et fumants : les premières automobiles. La fée Electricité fait son apparition. La Garde Civique tire le canon pour célébrer l'inauguration de la distribution d'eau. Dans le nouveau quartier de la station, la fumée des locomotives noircit les arbres. Entre Londres et Calcutta, la "malle des Indes" s'arrête à Arlon. Les ouvriers s'activent dans les manufactures de cigares, de diamants et de chocolat tandis que les touristes découvrent le nouveau belvédère de Saint-Donat. Tragédie au Palais provincial : le gouverneur est assassiné dans son bureau. Au kiosque du parc Léopold, la foule applaudit les musiques militaires. Football, vélocipède ou natation, la mode est au sport et le cinématographe fait rêver.

Grâce aux premiers photographes qui fixent sur plaque cette étonnante société et aux plus belles cartes postales illustrées, l'historien Jean-Marie Triffaux nous fait revivre celle que nos grand-parents appelaient avec nostalgie la Belle Epoque.

Couverture cartonnée 250 x 305 coins un peu frottés, une petite éraflure sur le devant, éditions "La vie Arlonaise" 1997, haut de la tranche un peu corné, en bon état intérieur.

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