Indisponible en librairie.

   Trézélan / Paris, coéditions Filigranes / Hôtel Scribe / Maison Européenne de la Photographie, collection Visa, 2001.

   Introduction / Présentation par Eric Lapierre bilingue (français - anglais).

   Broché, dos cousu-collé, couverture à amples rabats pouvant former enveloppe d'expédition avec languette pour la refermer.
   12,3 x 16,5 cm, une 60aine de pages non-foliotées sur papier fort non-couché magnifiant les clichés en couleur.


   Excellent état, proche du neuf (quelques infimes pointes de salissure au 1er plat).


   Envoi protégé, monde entier / worldwide shipping.

   Présentation :
   « Les bâtiments de Niemeyer à Brasilia se veulent être des monuments. Mais l’élément réellement fondateur, permanent, et symbolique de l’essence de cette ville des savanes, c’est la terre sauvage de l’immense territoire brésilien. En photographiant cette présence de la terre, Emmanuel Pinard donne à voir l’essentiel de Brasilia : le fait qu’elle constitue une tentative de colonisation d’un territoire qui résiste. Comme si cette mer d’espace vierge qui environne Brasilia pénétrait de toutes parts, sous l’effet de sa pression, le territoire même de la ville, sous forme de criques, de lagons, de fjords et de mers intérieures.
Les images habituelles de Brasilia montrent les îlots construits de cet archipel ; Emmanuel Pinard préfère photographier les états changeants de cette mer d’espace.
» Eric Lapierre.