Indisponibles en librairie dans toutes leurs éditions, épuisées.
Éditions Originales pour les trois derniers.
Paris & Marseille, Pocket & éditions Jigal, série Les Quatre Saisons de Gilles Sebag, 2012, 2012, 2015 & 2019.
Livre de poche, bandeau éditeur, 475 pages & brochés, 14 x 21 cm, 342, 351 & 262 pages.
Tomes 1, 2 & 3 : tranches jaunissantes/jaunies.
Intérieurs frais et propres, vierges d'annotations.
Envoi depuis la Bretagne, France Métropolitaine, Union Européenne et Suisse.
Présentations éditeur :
L'été à Perpignan, le serial killer s'ennuie à mourir. Heureusement,
l'arrivée des jeunes touristes hollandaises apporte son lot d'activités.
Au programme cette année : agression, enlèvement et assassinat. Reste à
trouver un partenaire de jeu. Gilles Sebag, flic plus habitué aux
blagues vaseuses qu'aux affaires sordides, est missionné.
D'obscurs
indices en éclairs de génie, les adversaires se croisent, se toisent et
se rapprochent. Forcément, passer des vacances ensemble, ça crée des
liens...
"Philippe Georget a ferré, il ne nous laissera pas nous échapper."
Patrick Galmel – Polar noir
"Comme tout bon thriller, L'été tous les chats s'ennuient tient en haleine l'amateur de polar, mais son charme tient avant tout à ce flic attachant et hors normes."
Carole Vignaud – L'Indépendant
Prix SNCF du polar français
A Perpignan, l’automne est une saison tumultueuse. Le vent violent le
dispute à la pluie diluvienne. Un temps à ne pas mettre un flic dehors.
Pourtant un retraité pied-noir est retrouvé dans son appartement,
assassiné d’une balle dans la tête… Le sigle OAS laissé près du cadavre,
la destruction quelques jours plus tard d’une stèle controversée et la
découverte d’un autre ancien Français d’Algérie abattu au volant de sa
voiture sèment la panique dans la communauté.
Le lieutenant
Sebag, qui a par ailleurs promis à sa fille de faire toute la lumière
sur l’accident mortel survenu à un de ses amis, est officiellement
chargé de l’enquête. Flic réputé et intuitif, il va, en traquant le
tueur avec son équipe, faire ressurgir du passé un mystérieux commando
ayant sévi, il y a bien longtemps, du côté d’Alger.
C’est dans ce
contexte que les derniers mois de poudre et de sang de la guerre
d’Algérie, ses horreurs, ses espoirs, ses trahisons et ses errances vont
remonter à la surface jusqu’à la nausée… Cinquante ans plus tard, il
est temps de régler l’addition…
Après avoir surfé sur tous les prix
polars avec son premier roman, L’été tous les chats s’ennuient,
récompensé par le Prix du Premier Roman Policier et le Prix SNCF du
Polar 2011, après nous avoir assené une sacrée claque avec un incroyable
second roman, Le Paradoxe du cerf-volant, Philippe GEORGET nous propose
aujourd’hui de retrouver le héros fétiche de son premier polar.
L'hiver sera rude pour Gilles Sebag, lieutenant de police à Perpignan.
Après de longs mois de doute, il découvre la terrible vérité : Claire le
trompe, le monde s'écroule !
Alors qu'entre déprime, whiskies et
insomnies, il tente de surmonter cette douloureuse épreuve, ses enquêtes
le mènent inexorablement vers d'autres tragédies : une femme abattue
dans un hôtel, un dépressif qui se jette du haut de son immeuble, un
homme qui menace de faire exploser le quartier.
Hasard ou loi des
séries, une véritable épidémie d'adultères tournant à chaque fois au
drame semble en effet s'être abattue sur la ville.
Un Vendredi Saint à Perpignan. Comme chaque année depuis cinq siècles,
la procession de la Sanch se met en marche. Sept cents pénitents
défilent dissimulés sous leur traditionnelle caparutxe – longue robe de
bure et cagoule.
Soudain, quelques pétards brisent le silence et la
panique gagne la procession. Quand le calme revient, un pénitent
ensanglanté reste étendu à terre, poignardé.
Au même moment un violent
hold-up se produit, non loin de là, dans une bijouterie…
L'enquête
conduit très vite le lieutenant Sebag des ruelles encombrées du quartier
gitan de Saint-Jacques aux appartements feutrés de la bonne société
catholique catalane.
Mais y a-t-il un lien entre ces affaires
alors que plane ici l'ombre aussi poétique qu’ambiguë du Fou chantant,
qui, ado, arpentait déjà ces mêmes ruelles…