112- tir80

Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880) .
Frappée en 1976 .
Petite traces de frottements et d'oxydation au revers .

Graveur / Artiste / Sculpteur : à déterminer .

Dimensions : 80 mm .
Poids : 222 g .
Métal : bronze.
Poinçon sur la tranche (mark on the edge)  : corne d'abondance + bronze + 1976 .

Envoi rapide et soigné.

The stand is not for sale .
Le support n'est pas à vendre.




Raymond Gid, né le 25 novembre 1905 et mort le 12 novembre 2000 à Paris1, est un affichiste et typographe français.
Biographie

Raymond Gid naît le 25 novembre 1905 à Paris 16e. Il est le fils aîné de Léon Grünberg, ingénieur de l'École centrale, et de Lucie Léon, fille du financier Marc Léon. Ses parents divorcent lorsqu'il a 12 ans.

Il commence dès son adolescence à publier des dessins de caricature dans les journaux, et adopte rapidement le pseudonyme de Gid, nom qu'il adoptera officiellement par décret du 4 avril 1959.
Parcours

Raymond Gid fait des études d'architecture à l'École des Beaux-Arts, métier qu'il n'exercera jamais. Il se fait ensuite connaitre grâce à ses affiches, dont il en produit de nombreuses pour le cinéma.

Sa rencontre avec Guy Lévis Mano (éditions GLM), éditeur et typographe, lui ouvre un nouveau champ d'action : celui du livre. En 1935, il publie avec le photographe Pierre Jahan le Dévot Christ de Perpignan et, avec la photographe Ylla, Chats (avec une préface de Paul Léautaud) et Chiens. Durant cette période intense, il côtoie Raoul Dufy, Le Corbusier, Paul Colin, ou encore André Lurçat.

Avec le père Ambroise-Marie Carré, Gid aborde la mise en page de textes liturgiques. Une de ses œuvres majeures, Apocalypse Six, parait après la guerre. C'est un travail sur la lenteur et le découpage du texte composé en Peignot, caractère conçu par Cassandre en 1937.

Son nom apparaît dans un cahier édité pour le "Gala au profit des architectes prisonniers et déportés" (non daté mais une de ses illustrations porte celle du 17 août 1945 - arch. pers.) pour lequel il recueillit les Strophes de l'absence, de la captivité courts textes d'écrivains et poètes; Gid donna également un dessin pour illustrer d'un passage d'Oscar Wilde (« Mais jamais je n'avais vu un homme fixer aussi intensément le jour »), parmi d'autres artistes dont Marianne Clouzot, Paul Colin, Valentine Hugo, Jean Lambert-Rucki, Touchagues.
Distinctions

Raymond Gid reçoit la médaille d’or de l’affiche lors de l’Exposition internationale de Paris (1937).

Il reçoit également le Prix National de l'Affiche (1976 et 1979) ainsi que le Prix Maximilien Vox (1984)
Affiches

Affiches de films (classées suivant l'année de production des films) :

    1976 : La Ballade de Bruno (Stroszek), Werner Herzog ;
    1962 : Les Oiseaux (The Birds), Alfred Hitchcock (affiche hommage réalisée en 1979) ;
    1961 : Léon Morin prêtre, Jean-Pierre Melville ;
    1960 : La Fille aux yeux d'or, Jean-Gabriel Albicocco ;
    1959 : La Pyramide humaine, Jean Rouch ;
    1958 : Les Tripes au soleil, Claude Bernard-Aubert ;
    1955 : French Cancan, Jean Renoir ;
    1954 : Les Diaboliques, Henri-Georges Clouzot ;
    1949 : Le Silence de la mer, Jean-Pierre Melville ;
    1932 : Unheimliche Geschichten, Richard Oswald.

Affiches publicitaires :

    1977 : Monnaie de Paris ;
    1976 : Bally ;
    1966 : Peintures Valor ;
    1961 : Club Méditerranée ;
    1930 : Yoyo Duncan.

Autres réalisations :

    Affiche de manifestation : Raymond Gid ;
    Affiche de personnalité : Hommage à Chaplin.

Autres productions

Logos de marques :

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Sa rencontre avec Guy Lévis Mano (éditions GLM), éditeur et typographe, lui ouvre un nouveau champ d'action : celui du livre. En 1935, il publie avec le photographe Pierre Jahan le Dévot Christ de Perpignan et, avec la photographe Ylla, Chats (avec une préface de Paul Léautaud) et Chiens. Durant cette période intense, il côtoie Raoul Dufy, Le Corbusier, Paul Colin, ou encore André Lurçat. Son nom apparaît dans un cahier édité pour le "Gala au profit des architectes prisonniers et déportés" (non daté mais une de ses illustrations porte celle du 17 août 1945 - arch. pers.) pour lequel il recueillit les Strophes de l'absence, de la captivité courts textes d'écrivains et poètes; Gid donna également un dessin pour illustrer d'un passage d'Oscar Wilde (« Mais jamais je n'avais vu un homme fixer