188-tir35

Médaille en cuivre de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880) .
Frappée en 1974 .

Quelques petits chocs et usures minimes .
Bel exemplaire à patine chocolat, beaux volumes .

Exemplaire justifié, numéroté sur la tranche 6/100 :




Graveur / Artiste : Andrei .

Dimensions : 74 mm .
Poids : 272 g .
Métal : cuivre .
Poinçon sur la tranche (mark on the edge)  : Corne d'abondance + cuivre + 1974 + 6 / 100 .

Envoi rapide et soigné.

The stand is not for sale .
Le support n'est pas à vendre .


Honoré Gabriel Riqueti aussi orthographié Riquetti, comte de Mirabeau, plus communément appelé Mirabeau, né le 9 mars 1749 au Bignon1 et mort le 2 avril 1791 à Paris, est un écrivain, diplomate, journaliste et homme politique français, figure de la Révolution.

Surnommé « l'Orateur du peuple » et « la Torche de Provence », il reste le premier symbole de l’éloquence parlementaire en France. Bien que membre de la noblesse, il se distingue en tant que député du tiers état aux états généraux. Fort aimé par les révolutionnaires, son corps est transporté au Panthéon à sa mort, mais la découverte de ses relations secrètes avec la royauté retourne l'opinion, et sa dépouille est retirée du mausolée dont il était le premier occupant. Cinquième enfant et second fils de Victor Riquetti de Mirabeau, économiste de renom, et de Marie-Geneviève de Vassan, Mirabeau est issu d'une famille de la noblesse provençale2. Il est le frère ainé du vicomte de Mirabeau André Boniface Louis Riquetti de Mirabeau.

Selon Victor Hugo, né onze ans après la mort de Mirabeau, ce dernier était d'une « laideur grandiose et fulgurante3 ». Il est né avec un pied tordu, deux grandes dents et surtout une tête énorme (ce qui a fait dire qu’il était hydrocéphale). Il a également la langue enchaînée par le filet2. Avant de présenter l'enfant à son père, la nourrice le prévient : « Ne vous effrayez pas4 ». Et l'accoucheur d'ajouter : « Il aura beaucoup de peine à s'exprimer5 ». Mirabeau admettra sa difformité, mais voudra en tirer sa force : « On ne connaît pas toute la puissance de ma laideur », clamera-t-il6.

À l'âge de trois ans, il est défiguré par une petite vérole mal soignée ; son visage au teint livide en garde de profondes cicatrices. Son enfance est marquée par la sévérité de son père qui n'a pas d'affection pour lui. En 1754, son père écrit à son frère, le bailli de Mirabeau : « Ton neveu est laid comme le fils de Satan7 ». Il a également pour habitude de l'appel
Surnommé « l'Orateur du peuple » et « la Torche de Provence », il reste le premier symbole de l’éloquence parlementaire en France. Bien que membre de la noblesse, il se distingue en tant que député du tiers état aux états généraux. Fort aimé par les révolutionnaires, son corps est transporté au Panthéon à sa mort, mais la découverte de ses relations secrètes avec la royauté retourne l'opinion, et sa dépouille est retirée du mausolée dont il était le premier occupant. Cinquième enfant et second fils de Victor Riquetti de Mirabeau, économiste de renom, et de Marie-Geneviève de Vassan, Mirabeau est issu d'une famille de la noblesse provençale2. Il est le frère ainé du vicomte de Mirabeau André Boniface Louis Riquetti de Mirabeau. Selon Victor Hugo, né onze ans après la mort de Mirabeau, ce de