242- tir96

Médaille en cuivre, Belgique .
Frappée vers 1920 .

Rare exemplaire, belle patine ancienne .
Quelques traces légères de manipulation, quelques traces d'oxydation .

Artiste / graveur : Carlos VAN DIONANT (XIX-XX) .

Dimensions : 70 mm .
Poids : 143 g .
Métal : cuivre .
Poinçon sur la tranche (mark on the edge)  : Fisch & Cie .

Envoi rapide et soigné.

The stand is not for sale .
Le support n'est pas à vendre.


Au cœur du Parc Royal de Bruxelles, le Cercle Royal Gaulois, Artistique et Littéraire réunit des ambassadeurs, des représentants de professions libérales, des scientifiques, des magistrats et avocats, des professeurs d’Université et académiciens, des hommes politiques, des cadres ou chefs d’entreprises, des artistes et gens de Lettres : ils s’y retrouvent avec plaisir pour déjeuner, assister à une activité organisée par le Cercle ou profiter d’un bar bien fourni.

Les racines du Cercle sont anciennes. D’une part, le Cercle Artistique et Littéraire a été fondé à Bruxelles en 1847 par des personnalités de premier plan telles que l’astronome Adolphe Quételet. D’autre part, en 1911 le Cercle de la Toison d’Or était créé par un groupe d’intellectuels, dont l’avocat Edouard Huysmans. Il prit en 1919 le nom de Cercle Gaulois, puis devint « Royal » en 1937. Les deux Cercles ont uni leurs destins en 1951, pour devenir le Cercle Royal Gaulois Artistique et Littéraire que nous connaissons.

Ouvert à toute tendance politique, culturelle ou philosophique, celui-ci est un centre de réunions amicales, intellectuelles, artistiques, littéraires, humoristiques, gastronomiques, touristiques ou même sportives… Raffinement et convivialité sont les deux traits majeurs de ces manifestations, marquées par le cadre exceptionnel que constituent les salons du Cercle, dont les plus anciens furent édifiés en 1780.

En écho à la beauté des lieux, sous l’égide de la Section Artistique et Littéraire – qui est une spécificité exclusive du Gaulois – le Cercle organise nombre d’événements dédiés à l’art et à la culture : expositions, concerts, conférences et galas.

Au sein d’un vaste réseau, le Cercle Gaulois entretient également des rapports de réciprocité avec une centaine d’autres cercles en Belgique et à travers le monde.


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Sommaire

    Début
    Histoire
    Le bâtiment

        Salle de Lorraine
        Salle des Cariatides
        Le salon royal
        Le vestibule de marbre
        Autres pièces
    Faits marquants
    Membres notables
    Voir aussi
    Sources
    Notes et références
    Liens externes

Cercle Gaulois

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50° 50′ 43″ N, 4° 21′ 56″ E
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir CRG.
Cercle Gaulois
Image dans Infobox.
HistoireFondation   
1847
CadreType   
ASBL
Forme juridique   
Association sans but lucratif
Siège   
Bruxelles
Pays   
Flag of Belgium (civil).svg Belgique
Coordonnées   
50° 50′ 43″ N, 4° 21′ 56″ E
OrganisationMembres   
1 400
Président   
Geoffroy Generet
Site web   
www.cerclegaulois.be
Wikimedia | © OpenStreetMap

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Le Cercle Gaulois ou Cercle royal Gaulois artistique et littéraire (CRG1) est un des plus anciens clubs privés de Belgique. Sa vocation est de constituer un lieu de rencontres amical, intellectuel, artistique et littéraire libre de toutes tendances politiques, culturelles ou philosophiques. Il résulte de la fusion du Cercle royal Gaulois et du Cercle artistique et littéraire. L'actuel président du Cercle Gaulois est Geoffroy Generet.

Le club2 est situé à Bruxelles, 5 rue de la Loi, derrière le théâtre royal du Parc.

Il entretient des rapports de réciprocité avec de nombreux autres cercles en Belgique et à travers le monde.
Histoire

Avant de s’installer en ce lieu, le Cercle artistique et littéraire, qui existait depuis 1847, avait occupé auparavant plusieurs locaux dans les Galeries royales Saint-Hubert et à la Maison du Roi.

Il avait pour membres tout ce qui comptait à Bruxelles de notables, d’hommes de lettres et d’artistes. Ses premiers présidents furent Adolphe Quetelet, directeur de l’Observatoire royal de Belgique et savant renommé, suivi de Louis-Eugène Simonis, sculpteur néo-classique à qui nous devons la statue équestre de Godefroid de Bouillon qui orne la place Royale à Bruxelles.
Le bâtiment

L’édifice actuel, construit en deux phases, comporte deux grandes salles, un vestibule, un salon royal et une bibliothèque.
Salle de Lorraine

La Salle de Lorraine est la plus ancienne du complexe. Elle est l’œuvre de l’architecte Louis Montoyer et fut construite en 1782, sous la période autrichienne en même temps que le théâtre se trouvant dans le parc de Bruxelles situé en face du Palais royal de Bruxelles.

Cette ancienne salle de bal fut appelée ainsi en souvenir de Charles-Alexandre de Lorraine, gouverneur des Pays-Bas autrichiens, décédé en 1780, deux ans avant la fin des travaux.

Elle fut inaugurée par Marie-Christine de Saxe-Teschen pour y recevoir le Comte d’Artois, le futur roi Charles X, frère de Louis XVI.

Le 11 juillet 1782, le tsarevitch Paul Petrovitch, prince héritier de Russie qui deviendra l’empereur Paul Ier de Russie, vint admirer les illuminations du Waux-Hall du Parc de Bruxelles — appelé également Vauxhall — au milieu d’un grand concours d’invités. Un waux-hall était un lieu d’agrément comportant généralement un théâtre, un kiosque à musique, des boutiques, des attractions et une salle de danse.

En 1803, cette même salle accueillit un autre hôte de marque, en la personne de Napoléon Bonaparte, Premier Consul de France, accompagnée de son épouse Joséphine de Beauharnais.

Quatre tableaux d’académie de la fin du XIXe siècle exécutés par des membres du Cercle artistique décorent la Salle de Lorraine. Ces quatre toiles représentent des personnages illustres issus du milieu de la littérature, de la sculpture (Benvenuto Cellini), de la peinture et de la musique (Wolfgang Amadeus Mozart).

La salle abrite aussi plusieurs sculptures dont :

    une terre cuite du belge Gilles-Lambert Godecharle, représentant Angélique D'Hannetaire, actrice française qui fut l’égérie de Charles de Lorraine ;
    trois bustes représentant :
        Clotilde Kleeberg-Samuel,
        Louis Lagasse, président du Cercle Gaulois en 1924,
        Paul Parent, président du Cercle royal Gaulois artistique et littéraire de 1946 à 1971.

Salle des Cariatides
Salles des Cariatides.

En 1820, une nouvelle salle est bâtie. Œuvre de l’architecte Charles Vander Straeten, elle est de style néo-classique et décorée d'éléments d’ordre ionique et corinthien. Sa voûte est soutenue par quatre cariatides de François Rude.

La salle fut occupée pendant une cinquantaine d’années par une académie de musique appelée ensuite Concert Noble. C’est en 1871 que le Cercle artistique se substitua au Concert Noble, émigré en son hôtel actuel de la rue d’Arlon. À cette époque, le tout Bruxelles mélomane avait pris l’habitude de s’y retrouver pour assister aux plus remarquables concerts et aux nombreuses activités culturelles organisée par le Cercle artistique et littéraire faites d’expositions et de conférences prestigieuses et ceci, jusqu’à l’édification du Palais des beaux-arts de Bruxelles, plus grand et plus moderne, conçu par Victor Horta et inauguré en 1928.

Trois grands lustres de Venise polychromes, à trente bras, issus des ateliers de Murano éclairent la Salle des Cariatides et l’impressionnante tapisserie de Bruxelles du XVIe siècle, représentant une scène historique, La prise de Tunis par les Espagnols. Une autre tapisserie de Bruxelles ayant appartenu au comte de Beaufort[Lequel ?], conservateur en chef des Musées royaux sous Léopold II, représente la fête du Meiboom, ancienne et joyeuse tradition bruxelloise.
Le salon royal

Construit en même temps que la salle des Cariatides en 1820, le salon est qualifié de royal parce que, en de rares circonstances, le roi Baudouin y reçut des chefs d’États en visite officielle.

Il est orné de portraits royaux dont :

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Les racines du Cercle sont anciennes. D’une part, le Cercle Artistique et Littéraire a été fondé à Bruxelles en 1847 par des personnalités de premier plan telles que l’astronome Adolphe Quételet. D’autre part, en 1911 le Cercle de la Toison d’Or était créé par un groupe d’intellectuels, dont l’avocat Edouard Huysmans. Il prit en 1919 le nom de Cercle Gaulois, puis devint « Royal » en 1937. Les deux Cercles ont uni leurs destins en 1951, pour devenir le Cercle Royal Gaulois Artistique et Littéraire que nous connaissons. La salle fut occupée pendant une cinquantaine d’années par une académie de musique appelée ensuite Concert Noble. C’est en 1871 que le Cercle artistique se substitua au Concert Noble, émigré en son hôtel actuel de la rue d’Arlon. À cette époque, le tout Bruxelles mélomane av