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Saint Cybard, Eparchius en latin, né en 504 et mort en 581, est un moine qui est resté reclus pendant 44 ans dans une grotte située sous les remparts d'Angoulême au vie siècle. On trouve parfois le nom sous la forme Éparche, et de multiples déformations : la commune de Saint-Ybars, dans l'Ariège, lui doit son nom.

Origine de son nom
Eparchius formé du préfixe grec epi- « sur » + verbe archein « commander, veiller », d'où éparchios « protecteur ». Sanctus Eparchius va évoluer en Saint-Ybar et en Cybard, provenant de S. Epar lu sans interruption, le p >b1.

Histoire
Éparche était d'origine périgourdine, probablement né à Trémolat.

Après avoir habité Périgueux où il était devenu clerc, et passé par le monastère de Sessac (Sedaciacum, peut-être Issigeac)3, il se retira à Angoulême où il fut ordonné prêtre par Aptone II, évêque d'Angoulême, en 542.

Il construisit une cellule avec quelques moines dans une grotte située sous le rempart nord d'Angoulême, en prolongement de l'actuel Jardin vert, que lui avait donnée l'évêque en 542. Il priait constamment et vivait avec les offrandes de ses fidèles. Lorsqu'il recevait de l'argent ou or, il le distribuait aux pauvres. En 558, il a par exemple racheté en une seule fois 175 esclaves. Il vécut 39 ans dans cette grotte6, où d'après Grégoire de Tours, il soignait les pauvres et accomplit aussi quelques miracles.

Au-dessous de la grotte fut édifiée l'abbaye Saint-Cybard.

Plusieurs églises de Charente sont dédiées à saint Cybard : à La Rochefoucauld, une autre dans le quartier d'Angoulême qui porte son nom, à Roullet, Magnac-sur-Touvre, Plassac, Pranzac, Dignac, etc.

Il est le saint patron du diocèse d'Angoulême et est fêté le 1er juillet.

Il a donné son nom aux communes françaises, dans l'ancienne Aquitaine, de Saint-Cybard (Charente), Saint-Cybard (Dordogne), Saint-Cibard (Gironde), Saint-Ybard (Corrèze), Saint-Ybars (Ariège), Saint-Cybardeaux (Charente).

Angoulême est une commune française, préfecture du département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine.

Établie sur un éperon dominant un méandre de la Charente et les confluents de celle-ci avec la Touvre et l'Anguienne, la ville est surnommée le balcon du Sud-Ouest. La commune compte moins de 50 000 habitants (41 970 en 2013), mais elle est le centre d'une agglomération rassemblant près de 110 000 habitants (107 652 en 2012, au 60e rang des plus grandes agglomérations en France) au sein d'une conurbation urbaine qui s'étend sur une quinzaine de kilomètres d'est en ouest1. Angoulême fait aussi partie d'une communauté d'agglomération appelée GrandAngoulême comportant plus de 140 000 habitants en 2017.

Ancienne capitale de l'Angoumois sous l'Ancien Régime, Angoulême a longtemps été une place forte convoitée en raison de sa position de carrefour de voies de communication importantes, et a subi de nombreux sièges. De son passé tumultueux, la cité, juchée sur son éperon rocheux et reconnue ville d'art et d'histoire, a hérité d'un remarquable patrimoine historique, religieux et urbain qui attire de nombreux visiteurs et touristes de passage.

Aujourd'hui, Angoulême occupe le centre d'une agglomération demeurant parmi les plus industrialisées entre Loire et Garonne (industrie papetière établie au xvie siècle, fonderie et électromécanique développées à une période plus récente). C'est également une ville commerciale et administrative, dotée d'un centre universitaire, et d'une vie culturelle remarquablement animée. Celle-ci est dominée par le célèbre Festival international de la bande dessinée qui contribue largement au renom international de la cité, ainsi que par le Festival du film francophone.


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Une lavandière désigne toute femme qui lavait autrefois le linge essentiellement avec des cendres et de l'eau chaude, puis à la main ou au battoir, dans un cours d'eau ou un lavoir. Une lavandière peut donc représenter aussi bien une ménagère active, maîtresse de maison ou employée préposée au service de nettoyage du linge de toutes sortes, qu'une femme exerçant cette profession, reconnue unanimement pour sa dureté, à plein ou mi-temps. Lavandière est un terme provençal et du pourtour méditerranéen, et a été plus largement utilisé pour désigner toute femme lavant le linge au lavoir grâce à la chanson Les Lavandières du Portugal à la fin des années 1950.

Il ne faut pas la confondre avec la laveuse, simple ouvrière qui pouvait être employée à façon par une lavandière ou entreprise de lavage en gros, ou bien faisait profession autonome. Sa fonction consistait à laver le linge grossier ou peu délicat, de clients, le plus souvent les torchons, les grands draps, les robes et habits communs. Une appellation voisine était buandière lorsque l'ouvrière travaillait en buanderie et non en plein air ou sous un toit de lavoir. Dans le midi de France, en Languedoc et Provence, la bugadière est essentiellement l'employée laveuse ou l'entrepreneuse lavandière chargée de la lessive ou buée, pour le compte d'une maison bourgeoise ou de clients occasionnels.

La blanchisseuse, une autre ouvrière agissant comme employée ou pour son compte, s'occupait du linge fin, soit des habits du dimanche, des beaux costumes ou des robes ou habits à dentelles. Les blanchisseuses travaillaient de concert avec une repasseuse, car il fallait avec minutie remettre en forme, en pli, voire empeser, rigidifier ces habits si délicats et si fins de la confection d'autrefois, que seule la haute couture a préservé jusqu'à nous. Dans le monde paysan, il existait deux grandes buées, grandes bugades ou grandes lessives collectives par an, au printemps et à l'automne.

Avant la première opération de trempage, indispensable et préalable est le tri, entre linges fins et grossiers, entre les parties sales et très sales. Les linges fins, objets d'un contrôle de tâches encore plus minutieux, seront parfois prélavés, lavés et chauffés, relavés à part, selon l'estimation de leur résistance aux agressions du lavage commun. Les parties salies ou colorées peuvent être traitées par des techniques spécifiques, par des savonnages méticuleux ou l'addition de certaines substances facilement saponifiables, voire de détachants sélectifs.

Le trempage à l'eau des grands draps de lin ou des habits résistants est la première étape. Parfois, la lavandière transporte sur un bard ou une brouette le linge, pré-trempé par ses soins vers le lavoir, s'il est équipé d'une chaufferie annexe avec du bois. De même, certains travaux de finissage du lavage pouvaient être effectués à la fontaine dont elle préfère la qualité de l'eau. Enfin, certaines maisons importantes possèdent la jouissance d'une fontaine, voire d'eau courante intérieure au xixe siècle, et des équipements lourds et en conséquence fixes, par exemple de cuveau à buée dit parfois bugadière, de chaudron chauffe-eau pour accomplir la lessive sans dépendre des lieux publics.

La seconde opération est le chargement du cuvier : les différents linges sont entassés, à commencer par le linge fin, accepté préalablement dans le cuvier commun3. La laveuse ou lavandière contrôle à la main la pression de chargement des textiles mouillés. Les derniers linges, placés au sommet, sont des textiles résistants, souvent à base de lin. L'ensemble est recouvert d'une grosse toile, nommée cendrier ou charrier, sur laquelle est étalée une couche de cendres froides.

La troisième opération, dite autrefois précisément buées, consiste à verser de l'eau bouillante sur les cendres. Celles-ci libèrent leurs alcalis, soudes et/ou potasses, solubles dans l'eau chaude qui va descendre et percoler lentement jusqu'au bas du cuvier. Remarquez le gradient thermique le long du cuvier, nullement ignoré par la lavandière, qui contrôle au toucher ou à l'œil, l'avancée de sa lessive, qui doit être suffisamment chaude même au point le plus bas. Il faut attendre que la lessive s'écoule par un trou ménagé à la partie inférieure du cuvier4. L'opératrice récupère cette eau de percolation, ou première lessive plus ou moins chaude, la réchauffe sur la chaudière, puis la verse une nouvelle fois. elle attend à nouveau la fin de cette seconde percolation ou lessive.


Bugadier ou jarre, cuvier immobile à lessive des bonnes maisons

seau verseur d'eau (chaude)
La quatrième opération consiste au lavage des linges retirés du cuvier, à l'eau courante et propre de la fontaine ou du simple ruisseau, de la rivière ou mieux au lavoir à eau courante équipé par la collectivité et souvent couvert au xixe siècle. Avec une brosse, la lavandière frotte le linge sur sa planche à laver, long support plat en bois munis de rainures5. Elle le frappe avec son battoir6. Il s'agit de mouvoir et utiliser la moindre parcelle de savons, solubilisant les graisses et les poussières, produits in situ de la saponification qu'elle vient de conduire avec succès au cours de la précédente étape. Ainsi le lin écru, à force de lavages répétés, devient blanc.

Autrefois souvent protégée et accroupie dans une caisse garnie de paille, appelée aussi « garde-genoux »7 ou sur le bord incliné du lavoir ou encore sur une pierre plate, elle se saisit du linge placé dans le bac à linge à son côté et le plonge dans la rivière, dans la source ou la fontaine en contrebas, les plus modestes lavandières paysannes les genoux protégé par des houseaux à même le sol dans la mare éloignée après un transport parfois long. À la Belle Époque, les lavandières ou les ménagères plus fortunées ont la possibilité d'ajouter des paillettes de savons ou de sur-frotter avec du gros savon de Marseille.

L'étape décrite comporte un rinçage sommaire et une vérification de propreté ou de blancheur. Elle jette le linge dans l'eau, le rince, l'examine, puis le frotte à nouveau avec des tampons mouillés contenant de la cendre8, le rince et le tordait en le pliant plusieurs fois. Elles utilisent également d'autres techniques de lavage, impliquant l'usage de baquets et lessive9.

La cinquième opération est l'essorage du linge, notamment en le tordant (drap ou linge grossier) ou le comprimant de diverses manières10. Elles le battent parfois avec un battoir en bois afin de l'essorer le plus possible.


Bac à lessive ou cuveau (cerclage supérieur défectueux)
Finalement elles placent le linge essoré, mais encore humide dans un panier ou une brouette pour l'amener vers le lieu de séchage.


Séchage : deux lavandières d'Antibes en causette
Le séchage correspond à la sixième étape, il nécessite des espaces appropriées. La septième phase est le pliage et l'arrangement ou pose dans les paniers ou ballots pour le livrer.


Deux emblèmes de lavandière en pays ligérien : un char ou cabasson, un battoir
Les lavandières disposent de différentes brouettes pour le transport et la collecte du lourd linge humide. Elles peuvent utiliser des bards à deux porteuses ou alors apporter le linge sec en ballot et paniers d'osiers, le rapporter avec plus de difficulté une fois essoré. Elle doit parfois apporter son bois de chauffe ou ses fagots, voire plus rarement son charbon si le lavoir collectif n'en dispose pas ou n'en fournit pas à titre gratuit ou onéreux. Ses ustensiles de base sont, outre le cuvier à lessive et d'autres cuveaux mobiles de taille plus modestes selon l'ampleur de la lessive à accomplir, des gammes de seaux et/ou de cuve ou cuveaux de chauffage, différents bacs ou baquets à linge fabriqués par le tonnelier. Il faut ajouter des ustensiles verseurs d'eau chaude parfois en métal ou fer blanc au xixe siècle. S'il n'y a pas de lavoir aménagé, elle emmène sa caisse à laver ou garde-genoux, encore nommée de façon dérisoire le char de lavandière, le « carrosse » dans le nord de la France jusqu'aux confins bourguignons et vosgiens, la charrette à laver, le cabasson en pays de Loire… car cet équipement en bois était conçu selon les besoins de la lavandière par le charron.

Ainsi, en toutes saisons, une lavandière ou blanchisseuse de ville devait d'abord apporter et rapporter le linge au bord d'un cours d'eau ou dans un lavoir ou un bateau-lavoir public ou privé. Après la lessive, elle devait ramener le linge sec à ses propriétaires.


Blanchisseuse emportant le linge à laver, par Jean-Louis Forain en 1898.
Travail et conditions de vie des blanchisseuses à Paris

Chardin : La Blanchisseuse et son cuvier peinte par Chardin vers 1730.
Durant très longtemps la corporation des blanchisseuses est très importante. À Paris, elles travaillent dans des dizaines de lavoirs et bateaux-lavoirs, appelés également bateaux lessives. Ces bateaux sont amarrés sur la Seine ou le canal Saint-Martin12.

Un rapport de la chambre syndicale des blanchisseurs adressé vers 1880 au ministère de l'intérieur évalue à 104 000 personnes la population que le blanchissage fait vivre à Paris. Il y a parmi elles 94 000 femmes et 10 000 hommes, soit presque 10 femmes pour un homme13.

En 1885, E. Robichon écrit que14 : « La blanchisseuse parisienne est soigneuse de sa personne et c'est une exception d'avoir à signaler chez elle des négligences de costumes et de propreté. Elle est gaie, babillarde ».

En 1890, Auguste Vitu décrivant un lavoir à Paris, souligne le caractère joyeux et vivant des blanchisseuses :

À l'angle nord-ouest de la rue de l'Hôtel-Colbert et de la rue de la Bûcherie, on voit s'élever au-dessus des maisons une monumentale rotonde terminée en coupole. Plongeant notre regard par la porte cochère de la maison qui porte le numéro 13 sur la rue de la Bûcherie, un spectacle curieux nous attend. Devant nous une sorte de cloître à arcades ogivales renferme le bruyant et joyeux personnel d'un lavoir, qui s'intitule le lavoir Colbert15.
Les blanchisseuses sont très importantes par leur nombre et aussi par leur présence quotidienne dans la rue. Car elles lavent mais aussi cherchent le linge sale et livrent le linge propre. Le linge transporté et leur habit permet de les identifier. Voir ainsi passer de nombreuses femmes et jeunes filles seules transportant du linge fait rêver, voire fantasmer, plus d'un homme sur leur passage. Qui leur attribue des exploits sexuels et une réputation de filles faciles qui relève très probablement de l'imaginaire.

En témoigne le jadis célèbre poème de Charles Monselet Les Petites Blanchisseuses souvent évoqué par les journalistes dans leurs articles parlant de la Fête des Blanchisseuses. De ce poème grivois, ils ne citent jamais que le premier quatrain16, qui ne laisse pas entrevoir la suite. Dès le deuxième quatrain, le ton devient plus érotique, voire explicite à la fin17.


Voiture de blanchisseuse photographiée en 1896 au pont de Sèvres à Paris18.
En 1868, Adrien Marx, pour Le Petit Journal parle des blanchisseuses :

Vous avez certainement remarqué comme moi les voitures de blanchisseuses que la banlieue nous expédie tous les jours et qu'on voit stationner à Paris devant la porte des maisons.
Ce sont, pour la plupart, d'énormes carrioles à deux roues recouvertes d'une bâche qui protège les paquets de linge contre les intempéries de l'air.
Le cheval qui traîne cette cargaison immaculée est généralement dirigé dans les rues par une grosse femme dont les façons sont légèrement brusques… Observez la commère, lorsqu'elle ravive par un coup de fouet l'énergie défaillante de son vieux bidet. Ses traits se contractent, son visage prend une physionomie virile, et sa bouche lâche un Hue ! qui fait trembler les vitres d'alentour.
Eh bien ! ne vous y trompez pas : ces luronnes sont presque toutes d'excellentes mères de famille cachant sous la rudesse de leur allure des sentiments exquis, un cœur d'or et de précieuses qualités, dont beaucoup de belles dames sont dépourvues,
Elles ne craignent pas, j'en conviens, de laisser voir leurs chevilles empâtées quand elles quittent ou gravissent le haut marchepied de leurs carrosses19. La peau de leurs bras hâlée par le grand air et les vagues du fleuve n'a aucune analogie avec le satin, et leurs doigts macérés dans l'eau de savon manquent de la distinction et de la grâce inhérentes aux mains des duchesses. Mais les blanchisseuses de la campagne ont d'autres avantages20…
Les artistes, peintres et poètes, ont souvent embelli l'image de ces femmes du peuple, en les présentant dans un cadre romantique et des paysages magnifiés. En fait, leur condition sociale et matérielle était dans la plupart des cas difficile : les femmes devaient, tout en lavant, s'occuper de leurs plus jeunes enfants. Certaines exerçaient parallèlement l'activité de nourrice. Leurs mains étaient très souvent abîmées pour avoir trempé trop longtemps et trop fréquemment dans l'eau très chaude ou au contraire dans l'eau parfois glacée des lavoirs.

Les blanchisseries ont pris la relève de cette activité, et la généralisation de l'eau courante dans les habitations, puis la généralisation de l'emploi des machines à laver, ont définitivement fait disparaître ce métier pénible au milieu du xxe siècle.

La Fête des Blanchisseuses
À la Mi-Carême jadis, les blanchisseuses de Paris élisaient des Reines, se costumaient, faisaient la fête et défilaient dans la rue.

On appelait cette fête la Fête des Blanchisseuses, le cortège des lavoirs, ou encore la Fête des grenouilles, en référence à l'eau omniprésente au lavoir.

C'était, avec la Promenade du Bœuf Gras un des deux grands moments du Carnaval de Paris.

Après une éclipse d'une soixantaine d'années, cette fête créée par les blanchisseuses est reparue depuis 2009.


Lavandières célèbres:
Catherine Ségurane est une « bugadiera » du xvie siècle, qui s'illustra en montant aux créneaux du bastion Sincaïre, à Nice, pour assommer avec son battoir à linge un porte-étendard ottoman avant de lui arracher son drapeau.
La Mère Denis, de son vrai nom Jeanne Marie Le Calvé, née en 1893 était, dans les années 1970, une des dernières lavandières authentiques ayant exercé de 1944 à 1963. Au cours des années 1970, elle devint célèbre en étant l'emblème des publicités pour la marque de machines à laver Vedette.