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André BRETON - Nadja


Paris, Gallimard, (25 mai) 1928




1 vol. (120 x 190 mm) de 218 p. et [1] f. Broché.


Édition originale, illustrée de 44 planches photographiques.

Exemplaire imprimé du service de presse.

Envoi signé : « À J. Ernest-Charles, hommage d’André Breton ».


Dans ce célèbre récit autobiographique, Breton rapporte de manière clinique les faits qui se sont déroulés neuf jours durant, du lundi 4 au mercredi 13 octobre 1926, avec Léona Delcourt, alias Nadja selon le surnom qu'elle se donne à elle-même : Nadja « parce qu'en russe c'est le commencement du mot espérance, et parce que ce n'en est que le commencement ». La jeune femme (1902-1941), « quelque chose comme un de ces esprits de l'air que certaines pratiques de magie permettent momentanément de s'attacher, mais qu'il ne saurait être question de se soumettre », sera internée en février de l'année suivante.


Un texte en quête extrême de vérité au risque d'une certaine froideur.


Jean Ernest-Charles, pseudonyme de Paul Renaison (1875-1953), est un journaliste, qui fut de, 1918 à 1919, le premier président du Syndicat national des journalistes, auquel succéda Lucien Descaves. Docteur en droit et avocat, spécialiste des procès littéraires, il est aussi critique dramatique, auteur des Samedis littéraires (1903-1907), publiés en cinq volumes chez Perrin puis Sansot. Paul Léautaud l'évoque dans son Journal à la date du 12 mai 1908 à propos de l'agression dont il fut victime, en tant que critique au Gil Blas, du fait de René Émery à la deuxième représentation de La Conquête des fleurs de Gustave Grillet. Auteur de Le Théâtre des poètes, 1850-1910 et d'Essais critiques, parus tous deux chez Ollendorff en 1910 et 1914, il publie La Passion criminelle chez Flammarion en 1923.






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