· Titre : les rapins
L'âge d'or de Montmartre
Of paupers and painters
Studios of Montmartre masters.
· Auteur/ author : François Pédron (1944- ), journaliste, écrivain, historien.
· Photographe/ photographer : Stéphane Pons
· Editeur /editor : La Belle Gabrielle
· Date : octobre 2008, première édition, first edition.
· Description : In-folio, (32,5cm x 24cm ; 1330gr.), 237 pages, couverture souple illustrée, belle iconographie.
· Langues / langages : Français - English
Traduction de Jack Russel. Countains a complete english version.
· Sujet : 4e de couverture :
Un rapin, c'est l'équivalent d'un
carabin en médecine, un futur (grand) peintre. Donc un jeune homme qui désole
sa famille, qui porte l'uniforme du rapin, le béret galette appelé faluche, la
cape à l'espagnole, la moustache conquérante, la bourse plate, le verbe haut et
le verre toujours à moitié vide. Bref il pullule dans les ateliers qui vont se
multiplier sur la Butte. Ils ne rêvent plus de prix de Rome, mais de conquérir
le monde.
Du rire et des larmes. Et du génie que tous les musées de la planète
se sont arraché, une histoire des peintres, pas un topo étouffant sur la
peinture.
Pour découvrir le mystère des ateliers de la Butte, il faut suivre le
sillage parfumé de la belle Léa, modèle préféré de ces génies.
Léa et Léa sont
deux sœurs jumelles. Elles n'ont qu'un prénom pour deux. On ne voit la
différence que quand elles sont nues, ce qui est normal et fréquent
puisqu'elles posent pour les peintres.
Montmartre's golden years saw the birth of modern art when a cluster of future great masters gathered in search of affordable working conditions in which to exercise their talents. They were all here, working in these studios, scrounging a meager living, sometimes selling their last masterpiece for a meal.
The models, like sisters Léa-Léa, were also here, one exposing the top half of her anatomy the other the lower half, flitting from one studio to the other.
The painters, dreaming of fame rarely achieved in their lifetime, now hanging in the great museums of the world and in private collections.
The models, superb in their nakedness, wondering who they could persuade to buy them dinner, now of the walls of the same museums, or looking down at a bunch of rich snobs hogging it at the host's dinner table.
This is where they worked, often lived and loved.
The scene of their everyday lives.