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Attention, il ne s'agit pas d'enchères, 
le premier amateur remportera l’ouvrage…

Exemplaire de travail
Rarissime édition originale (?) parue avant (?) l’édition en deux parties de 1856
(dont le texte est identique)

53 superbes planches en chromolithographies, qui valent à la découpe plus que notre prix de vente… (mais ce qui serait dommage vu la rareté de l’ouvrage)

Nouveau traité
Historique et Archéologique
de la vraie et parfaite
Science des armoiries

Paris, Secrétariat Collège Héraldique (1845 ?) 

Grand in-4º (25 x 32 cm) de cviii-401 p. 

Titre-frontispice doré et 53 planches chromolithographiées, rehaussées d’or et d’argent (dont une dépliante),  la plupart d’armoiries tirées par P.-H. Sauniée, Engelmann et Graf. Lettrines et illustrations dans le texte.

Exemplaire de travail, d’un ouvrage, sans doute en version “luxe”, dans la reliure éditeur plein chagrin noir armoriée, dentelle intérieure, gardes moirées, tranches dorées. Malheuresement l’ouvrage a pris l’eau ce qui a conduit à l’écalement du dos (la plupart des morceaux de cuir sont présents).  Traces de mouillures sombres sur les gardes. Sinon pour l’intérieur peu de pages ont une mouillure marginale. L’intérieur est donc globalement bon, quelques cahiers sont un peu déboîté (sans doute lorsque le dos à éclaté…) Voir les photos… Attention la barre noire sur certaines photos proviennent d’une ombre d’un lampe…




Rarissime édition originale   


Saffroy I – 2342


Saffroy I-2341 pour une édition, 1844, ne donne que xxxvi-32 p. 4 pl. h. t. 


Édition originale ou tirage réservé aux membres du Collège Héraldique. Les plaques décorants les plats sont les même que celles ornant les plats de la reliure éditeur (tirage de luxe… ?) de La librairie ancienne et héraldique Aug. Aubry, Paris, 1856 (en cuir marron, pour l’exemplaire que j’ai pu voir). En deux parties comprenant chacune une page de titre… Texte et collation identique



Quoiqu’il en soit toutes les éditions, ou les tirages… ne comprenent les termes du blason que de « ‘’abaissé’’ à ‘’cigogne’’. Ainsi que les même planches…


« Ouvrage publié avec un grand luxe typographique [...]. Les planches donnent plus de 2000 blasons, le texte, plus de 20000 blasonnements. Contient en tête une introduction concernant la Noblesse en général et à l’origine et le développement de la noblesse française en particulier »  Saffroy I – 2342.


Claude Drigon (1797-1879), Marquis de Magny, Marquis du Saint-Empire romain. Chambellan intime (Cameriere segreto) du feu pape Gregoire XVI et de S. S. le pape Pie IX; Chambellan de S. A. I. et R. le grand duc de Toscane; Chevalier, par justice, des ordres de Saint-Etienne, de Malte; Chevalier du Nombre extraordinaire (Commandeur avec plaque) de l’Ordre de Charles III d’Espagne; Commandeur des Ordres de Christ du Portugal, de Saint-Georges-Constantinien-de-Naples; de Stanislas, de la couronne de Chéne des Pays-Bas, de Saint-Sylvestre-de-Rome, des Guelfes de Hanovre, de Henri le lion de Brunswick, de François Ier de Naples, du Sauveur de Gréce; Chevalier des ordres pontificaux de St-Gregoire le grand et du St-Sepulcre; décoré des grandes medailles d’or accordés aux sciences par LL. MM la reine Victoria, le roi Charles-Albert et l’Empereur d’Autriche, Membre titulaire de l'Academie des sciences de Turin, Fondateur du collége héraldique de France, Auteur des quatre premiers volumes du Livre d'Or de la Noblesse européene…



« Le Collège héraldique de France est créé en 1841 par Claude Drigon, marquis de Magny (1796-1879), auteur desArchives nobiliaires universelles (bulletin du Collège archéologique et héraldique de France)et duLivre d’or de la noblesse de France, qui en devient le secrétaire général. Les deux fils de celui-ci, Édouard (1823-1895) et Ludovic (1826-1914), sont également généalogistes et héraldistes. À côté du cabinet d’Hozier et du Cabinet héraldique, le Collège héraldique de France constitue l’un des principaux acteurs des études de généalogie nobiliaire qui connaissent dans les années 1840 une « ferveur subite ». « Fondé dans l’intérêt particulier des anciennes familles, il s’occupe d’archéologie nobiliaire, de paléographie, de travaux et de recherches historiques et généalogiques ». Le cabinet a son siège successivement : 42, rue Saint-Dominique (1841…) ; 10, rue des Moulins (…1844…) ; 6, rue Monsigny (…1861-1864…) ; 9, rue Buffaut-Lafayette (…1871 ?...) ; 46, rue Lafitte ; 51, rue Taitbout (…1892…) ; 101, rue de Miromesnil (…1909…). Il réunit des collections colossales estimées, en 1843, à 350 000 pièces (dont 60 000 chartes des XIe-XIVe siècles) décrites dans 6 gros volumes in-folio d’inventaire ; en 1862, le cabinet compte 600 000 titres répartis en deux sections : les pièces originales (400 boîtes, avec table) ; les dossiers de famille (40 000 environ, soit 552 boîtes). Ces collections, mêlant documents originaux, notes de recherche et correspondance commerciale (surtout pour la période allant de 1860 à la première guerre mondiale) proviennent en bonne partie des fonds d’Hozier, des généalogistes de l’ordre de Malte et du Tribunal des maréchaux. Pour les constituer, Claude de Magny réalise ses acquisitions auprès de plusieurs cabinets de généalogistes, notamment Saint-Pont, Fabre, Waroquier, La Chesnaye-Desbois, transmis pour la plupart par Saint-Allais et Courcelles ou acquis directement par Magny (collection Joursanvault, archives de diverses familles). C’est à Claude de Magny que semble se rapporter l’estampille appliquée sur les documents et représentant une étoile à cinq branches (à l’encre bleue). Le Collège héraldique est un temps dirigé par le comte de Givodan (…1861…). Passé aux mains de Jacques Techener (1802-1873) et de son fils Léon Techener (1832-1888), le Collège héraldique de France est réorganisé selon de nouveaux statuts en 1864. D’importantes ventes de documents ont lieu en 1866-1867, sur la base des catalogues précédemment diffusés. Dirigé ensuite par Ludovic de Magny (…1875-1881…), le Collège héraldique de France rebaptise ses collections « Archives de la noblesse ». Cette provenance est repérable aux chemises pré-imprimées, dont les chemises portent des étiquettes caractéristiques en forme de marguerites rappelant le numéro de boîte, aux prospectus utilisés comme chemises et au cachet « Archives de la noblesse, Collège héraldique de France » (à l’encre rose-rouge, à partir des années 1870 ?). Le Collège héraldique de France connaît une nouvelle réorganisation en 1894 sous la direction de Joseph Moreau de Pravieux. Il est ensuite la propriété des frères Jules et Paul Martinon (…1907-1909…) et paraît cesser ses activités à l’époque de la première guerre mondiale. Le fonds du Collège héraldique de France est dispersé dans les années 1930, les « Archives de la noblesse » étant, au moins en partie, mises en vente à l’hôtel Drouot en 1935-1937.»  Site des Archives  Nationales




Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire (autres destinations, modes d’affranchissement, etc.)

Je ne réponds pas aux offres ridicules

Remise en main propre possible (75002…)

Envoi Colissimo assuré. Faisant les envois en général le jour même (si règlement avant 10 heures) nous ne sommes pas responsable des délais d’acheminement.

TVA non apparente ni récupérable, régime particulier biens d’occasion.


 _gsrx_vers_1266 (GS 8.3.3 (1266))