VIEUX PAPIERS RARES - CARTES DE VISITE RARES

 

THÈME : ART DESSINS MODERNES ET ANCIENS - ILLUSTRATEUR - HISTOIRE - RELIGION -



Cartes de visite rares ancienne pour collection
Faire-part de mariage
Papier de correspondance illustré et monogramme
Enveloppes monogramme vierges


 


Documents provenant du célèbre imprimeur STERN 47, passage des Panorama, 75009 Paris



État : Bon collection muséale sur certains traces du temps, épinglage, points de colle, plis, jaunissement du temps sans gravité, etc..


Maison Stern ou Stern Graveur est une entreprise française d’imprimerie et de gravure fondée à Paris en 1834 et disparue en 2015. Elle fait partie des plus anciennes sociétés françaises. Possédant longtemps son siège passage des Panoramas, elle doit sa notoriété à ses gravures appréciées par une clientèle appartenant à la noblesse, à la haute bourgeoisie et au monde des affaires. Son savoir-faire s'est perpétué. Elle proposait tout un éventail de prestations de luxe utilisant les techniques de la gravure sur métal et l’impression émaillé. Offrant ainsi un large choix à sa clientèle :  du menu de repas, aux boutons de manchettes, médailles, cartes de visites3, héraldique, papeterie, et documents officiels sont comparable à des œuvres d’art. Spécialiste de la calligraphie et des monogrammes les établissements STERN étaient appréciés pour leur innovation et leur modernité dans chaque époque, surtout celui de l’art  déco. Depuis le XIXe siècle les têtes couronnées de l’Europe entière et certains chefs d’État, comme Lénine, Staline et le général de Gaulle, firent graver sur des bristols les étapes importantes de leurs vies chez Stern.

Avis à l’acheteur

Il n’y a pas de vieux papiers, il n’y a que des histoires humaines qui survivent

Le terme vieux-papier m’a toujours ennuyé sans doute parce qu’il fait référence à vieux. Dans l’esprit commun il renvoie aux archivistes grisonnants, maniaques et austères entourés d’archives poussiéreuses au fond d’une salle aveugle, au syndrome de Diogène, à l’entassement inutile des choses.

Le vieux-papiers reste toujours jeune. Il survit au temps qui passe  quand la qualité du papier le lui permet. Il laisse vivant ce qui a été la gloire, les espoirs, l’ambition, les joies, mais aussi les déceptions et les douleurs du passé qui n’est que le présent aux technologies prés.

Le vieux papier donne le plaisir à celui qui le découvre au fonds d’un tiroir, d’une vielle malle au grenier ou à la cave, sur une  table de brocante.

Initiales, exlibris, cartes de vœux, faire-part de mariage ou de décès, attribut, emblème, estampille, insigne, sigle, signature autographe, monogramme, signet ou timbre à sec ramène le curieux à ses origines, à son nom, à ses ancêtres dont les lignées sont effacées par les transhumances humaines.

Pour les collectionneurs, il s’agit de reconstruire un ensemble homogène selon l’axe qu’il a défini :  les personnages célèbres de la société politique, civile ou militaire, l’art de la calligraphie, l’époque, l’intérêt historique ou autres.

Pour moi, j’ai gardé ces vieux papiers pour qu’ils me parlent et ressentir encore vivant le temps qui s’égrène trop vite.

Voir, toucher, comprendre, découvrir, redonner de l’âme à ces vieux papiers qui n’ont pas été détruits ou brulés.

Ils ont encore un message à transmettre, il suffit de trouver leur destinataire collectionneur ou héritier.