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AUTHENTICITY : The advertising JUDAICA HEBREW FRENCH SILENT FILM Movie THEATRE POSTER is fully guaranteed ORIGINAL from 1930 ( Fully dated ) , NOT a reproduction or a recent reprint , It holds a life long GUARANTEE for its AUTHENTICITY and ORIGINALITY.

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Léonce Perret est un comédien, metteur en scène de théâtre, scénariste, réalisateur et producteur de cinémafrançais né le 14 mars 1880 à Niort (Deux-Sèvres)1, et mort le 12 août 1935 dans le 7e arrondissement de Paris2. Léonce Perret débute comme comédien au théâtre, puis au cinéma, il devient ensuite réalisateur de nombreux courts-métrages, et obtient peu à peu une forte notoriété dans le paysage cinématographique français. Souvent décrit comme un avant-gardiste pour sa manière de réaliser ses films, Léonce Perret a su apporter au cinéma français de nouvelles techniques de cadrage, d’utilisation de la lumière et d’accompagnement musical. Il est une figure emblématique de la société Gaumont jusqu’en 1917. Il s'expatrie ensuite aux États-Unis où il apporte ses connaissances et y acquiert en même temps une forte expérience. C’est sur le sol américain qu’il commence à produire certains de ses films notamment son fameux N'oublions jamais en 1918, une œuvre de propagande française donnant au monde le spectacle d’une France héroïque et blessée. Plus tard de retour en France, il réalise en 1923 Kœnigsmark, œuvre lui permettant d'acquérir une certaine notoriété dans le milieu cinématographique. En 1925, son film Madame Sans-Gêne, adaptation de la pièce de théâtre éponyme, est la première coproduction franco-américaine. Découvreur de nouveaux talents, Léonce Perret fait participer de nombreuses idoles françaises et américaines de son époque telles que Abel Gance, Gloria Swanson, Gaby Morlay, Arletty, Suzanne Grandais, Mae Murray ou Huguette Duflos. Sommaire  [masquer]  1 Biographie 1.1 Débuts dans le monde du théâtre 1.2 Carrière dans le cinéma : l’acteur puis le metteur en scène 1.3 Expérience américaine : le producteur de films 1.4 Retour en France : la reconnaissance internationale 1.5 Fin de carrière : les prémisses du cinéma parlant 2 Citations 3 Filmographie 3.1 Acteur 3.1.1 1909 3.1.2 1910 3.1.3 1911 3.1.4 1912 3.1.5 1913 3.1.6 1914 3.1.7 1915 3.1.8 1916 3.2 Réalisateur 3.2.1 Période 1909-1920 3.2.2 Période 1921-1935 3.3 Scénariste 3.4 Producteur 4 Théâtre 5 Notes et références 6 Voir aussi 6.1 Bibliographie 6.2 Articles connexes 6.3 Liens externes Biographie[modifier | modifier le code] Débuts dans le monde du théâtre[modifier | modifier le code] Famille de Léonce Perret. Léonce Perret naît en 1880 d’Eliès Ferdinand Perret et de Marie Collinet après sa sœur Lucie (1870-1963) et son frère Ernest (1873-1949). Ses parents possèdent un atelier de menuiserie dans la rue Yver à Niort. Dès son enfance, Léonce prend goût pour tout ce qui touche à l’art, en particulier la comédie puis la poésie. Pendant son adolescence, Léonce tombe gravement malade et doit consulter des spécialistes à Paris, où il reste quelques mois le temps d’être soigné. C’est durant cette brève période vécue dans la capitale qu’il commence à rêver à une vie d’artiste. De retour à Niort, après maintes discussions avec ses parents, il obtient leur accord pour tenter sa chance. Il regagne alors la capitale et loue une petite chambre sur le boulevard Saint-Michel, non loin du Jardin du Luxembourg, où il peut se plonger dans ses lectures favorites. Ses ennuis de santé reviennent puis il s’en remet petit à petit et, plus tard, le 21 mars 1901, il est exempté du service militaire. Portrait de jeunesse de Léonce Perret. Il s’inscrit à la nouvelle école musicale Schola Cantorum dans le quartier du Montparnasse. Il se révèle un bon chanteur et un excellent joueur de flûte : c’est le début de sa très prolifique carrière d’artiste. Il aime beaucoup aller voir des pièces de théâtrependant son temps libre et se sent de plus en plus attiré par la scène. Il participe à des petites représentations afin d’apprendre le métier ; il doit accepter toutes les propositions qui s’offrent afin d’obtenir ses premiers cachets, souvent dérisoires. Parallèlement il prend des cours de musique puis de théâtre. En 1899, Léonce est appelé pour une première tournée de six mois qui le fait voyager en Europe et même jusqu’en Russie. Il est finalement remarqué par le dramaturge Eugène Brieux pour un premier rôle important dans La Robe rouge qu’il joue au printemps 1900. Puis la chance lui sourit en juin 1900 car il obtient son premier contrat comme jeune premier au théâtre de l’Athénée, l’un de ses rêves. En 1902, il effectue une nouvelle tournée européenne passant par l’Italie, la Suisse, l’Allemagne, la Russie, etc., jouant des pièces d'Alexandre Dumas fils, d’Alfred Capus, de Marcel Prévost ou d’Émile Augier. Il acquiert une forte expérience théâtrale durant ces années-là. Le comédien commence à se faire remarquer par ses prestations, surtout lorsqu’il intègre le théâtre du Vaudeville au début 1903, jouant notamment le rôle principal de la pièce Ruy Blas. Léonce Perret faisant la lecture à ses parents, à la fin des années 1910 En 1905, Léonce signe un nouveau contrat pour le théâtre de l'Odéon ; son directeur de scène est alors Abel Tarride, puis André Antoine. Il continue à écumer les scènes de Paris, de province et parfois d’Europe. Cependant, n’obtenant que rarement le premier rôle, il rencontre de grosses difficultés financières pendant cette période. Il fait un nouveau passage en Russie et est engagé pour quelques mois dans un théâtre de Saint-Pétersbourg en 1909. Sur le chemin du retour en France, il s’arrête à Berlin pour y jouer Cyrano de Bergerac : c’est alors que M. Grassi, directeur de GaumontAllemagne, le sollicite pour une nouvelle occupation : le cinématographe… Carrière dans le cinéma : l’acteur puis le metteur en scène[modifier | modifier le code] Plutôt renié par le milieu du théâtre, le cinéma paraît à Léonce Perret une prolongation de son activité théâtrale derrière les caméras. La mise en scène d’une pièce par Léonce est envisagée par Grassi, puis celui-là va mettre en scène ses trois premiers courts métrages à Berlin dont Pourquoi la guerre ?, un film à l’expression pacifiste en 1909. Il met ensuite en scène ses propres scénarios, des courts métrages de 4-5 minutes comme Le Bon Juge ou Fan-Fan le petit grenadier. Il revient ensuite à Paris et se fait enrôler par la maison Gaumont sous la direction artistique de Louis Feuillade. Il y débute comme acteur dans bon nombre de films tournés dans les studios Gaumont au 53, rue de la Villette. Il évolue très vite grâce à son expérience allemande à la mise en scène. Il rencontre Valentine Petit (1873-1951)3, une danseuse et chanteuse belge travaillant notamment aux Folies Bergère qui devient sa femme quelques années plus tard. Valentine joue dans quelques films de Léonce et l'aide grandement dans ses affaires. Léonce Perret en compagnie de sa mère. Petit à petit, Léonce Perret et la troupe Gaumont travaillent avec de nombreux acteurs comme Suzy Prim, Yvette Andréyor, Suzanne Grandais, etc. Léonce joue beaucoup dans les films qu’il met en scène. Le Feu à la mine est l’un de ses premiers films à avoir un relatif succès. En 1913 débute la série des « Léonce », où il se met en scène jouant des personnages dramatiques, comiques voire burlesques ; il tourne une quarantaine d’épisodes de cette série. Il met en scène la même année Le Mariage de minuit, une comédie dramatique dans laquelle joue Suzanne Grandais, une actrice découverte par Léonce au Moulin Rouge et qui devient très populaire par la suite. portrait de Léonce Perret datant des années 1920. Le nom de Léonce Perret est toujours inconnu du grand public, son visage commence néanmoins à être très familier. En effet, jusqu’en 1913, le nom du metteur en scène et des acteurs n’apparaissait pas sur les bandes de films : c’était une pratique interdite par les maisons de production. C’est lui-même qui, un jour, imposa à Gaumont et Louis Feuillade la présence de son nom ainsi que ceux des acteurs principaux dans le générique du film. Les autres réalisateurs suivirent cette idée à partir de ce jour-là. Léonce Perret tourne de plus en plus de films en province, en plein air, testant de nouvelles techniques. De plus, il s’essaie au feuilleton policier avec Main de fer, un film en trois épisodes. C’est cette même année que Léonce réalise L'Enfant de Paris, le film qui le propulse définitivement au rang des meilleurs réalisateurs français de l’époque. C’est aussi pour Léonce Perret la fin des années d’instabilité financière. L'Enfant de Paris est repris et projeté plusieurs fois par la suite. Dans ce film, Léonce démontre qu’à l’époque la technique française rivalisait la technique américaine, notamment l’éminent D.W. Griffith. D'ailleurs, lors d'une reprojection du film à la Cinémathèque française en 1951, Georges Sadoul déclare : "Perret usa avec brio de toutes les ressources du montage, des différenciations de plans, des contre-jours, de la très belle photographie de son opérateur Specht… Sur un scénario banal qui démarque des Deux orphelines. Le mélodrame d'Ennery, et en y mêlant quelques épisodes chauvins, Léonce Perret a su conduire un récit souple et vif en employant un vocabulaire cinématographique extrêmement raffiné : contre-jours, gros plans, contre-plongées, mouvements d'appareils, et mille autres innovations sont utilisées par lui avec un brio qui contraste avec le classique dépouillement de Louis Feuillade et un certain primitivisme alors latent chez David W. Griffith... Perret démontre qu'alors la technique française surpassait la technique américaine..."4. À partir de 1914, il réalise plusieurs films patriotiques, comme la plupart des cinéastes durant la Première Guerre mondiale dont La Voie de la Patrie. Ce film est accompagné de musique durant sa projection, une idée novatrice. Léonce Perret est à cette époque le numéro 2 de la Gaumont derrière Louis Feuillade. C’est aussi l’époque de l’apogée pour le cinéma français dont les films sont projetés dans de nombreux pays. Cependant, en août 1914, la guerre éclate et les activités cinématographiques sont suspendues : tout le monde est mobilisé. Léonce est mobilisé un temps comme aide-infirmier à Niort mais ne peut combattre à cause de ses ennuis de santé. Il reprend ses activités début 1915 à la demande de Léon Gaumont afin de tourner quelques bobines patriotiques comme Françaises, veillez !, un court métrage prévenant les femmes restées à l’arrière-garde de se méfier des possibles traîtres. Debout les morts est un film s’inspirant d’un des romans de Victor Hugo. Il alterne ses créations entre œuvres sentimentales et œuvres patriotiques jusqu’en 1916. Mais, peu à peu, même si Léonce a été nommé directeur artistique depuis 1915 à la place de Louis Feuillade, parti au front, il se plaint du manque de moyens proposés par Gaumont. Léonce Perret aspire à réaliser des films à plus gros budget. De plus, son contrat le liant à Gaumont expire fin 1916. Expérience américaine : le producteur de films[modifier | modifier le code] Léonce Perret en 1918, devant sa maison de production en Virginie. Les drapeaux français et américain emmêlés l'un dans l'autre montre l'esprit avec lequel Léonce est parti en Amérique: dans un esprit patriotique et amical… En février 1917, quelques semaines avant que les États-Unis rejoignent les forces alliées, Léonce Perret débarque sur le sol américain. Il s’installe à Richmond en Virginie, région alors en plein développement cinématographique qui concurrence Hollywood. Léonce signe un contrat avantageux avec la World Film Corporation, une production indépendante créée par Jules Brulatour et Lewis J. Selznick. Léonce rejoint de cette manière toute une colonie de réalisateurs français exilés au Nouveau Monde curieux de connaître l’industrie cinématographique américaine en pleine expansion. Son premier film tourné en Amérique s’intitule The Silent Master, mise en scène d’un roman de Phillips Oppenheim. Puis il enchaîne rapidement avec A Modern Othello d’après une nouvelle du Français Ernest M. Laumann. Léonce Perret en compagnie de sa femme, Valentine Perret et de deux membres de sa famille. C’est un peu plus tard qu’il s’attelle à la création de son premier gros succès américain : N'oublions jamais en 1918, une œuvre de propagande française donnant au monde le spectacle d’une France héroïque et blessée. Cette œuvre eut un énorme succès en France, juste avant la signature de l’armistice. Cette même année, après plusieurs films à succès, ayant acquis une situation financière très satisfaisante, Léonce crée sa propre maison de production : Perret Pictures Inc., affiliée à Pathé Exchange pour la distribution. Il produit et réalise une série de films dont La Treizième chaise d’après une pièce de Bayard Veiller, puis Twin Pawns, film où apparaît Mae Murray, nouvelle gloire hollywoodienne de l’époque. En 1920, L’Étreinte du passé montre le parti pris de Léonce Perret contre le bolchévisme car ce film est une forte critique du nouveau pouvoir en Russie. Il réalise ensuite plusieurs films à succès jusqu’en 1921, où l’économie des États-Unissubit une récession, et le cinéma n’est pas épargné. Léonce commence à songer à son retour en France… Retour en France : la reconnaissance internationale[modifier | modifier le code] Lettre reçu par Léonce Perret de sa femme Valentine Perret, alors qu'il se trouve à Saint-Pétersbourg, dans le cadre de son travail. À la fin de l’été 1921, Léonce Perret renonce définitivement à poursuivre son travail sur le sol américain et va tenter de reconquérir les studios français. Ayant bénéficié des recherches et de tous les progrès du cinéma américain, il entend bien les adapter en France. À son retour en France, il fait partie des grands réformateurs quant à la réalisation d’un film. Il réalise et produit dès septembre son premier film : L’Écuyère. C’est Pathé-Consortium-Cinéma qui s’occupe de la distribution. Il commence alors à envisager l’adaptation de Kœnigsmark, le roman de Pierre Benoit. La nouvelle œuvre sort en mars 1924dans les cinémas français. Kœnigsmark, dont Huguette Duflos est l’actrice principale, conquiert peu à peu tous les cinéphileset reste une œuvre majeure du cinéma des années 1920 (ce film est d’ailleurs restauré en 2002 par la Cinémathèque française). En 1925 sort le premier film franco-américain Madame Sans-Gêne, où joue en particulier la star américaine Gloria Swanson. Ce film, retraçant la révolution contre Louis XVI de France en 1792, génère des recettes historiques en France comme aux États-Unis. Aujourd’hui, Madame Sans-Gêne est invisible sur nos écrans pour la simple raison qu’aucune cinémathèque, de par le monde, n’a pu sauvegarder une copie de ce film. Léonce Perret est, à cette époque, l'une des références du cinéma français, il reçoit régulièrement les éloges des critiques de cinéma pour chacun de ses films5. En 1926, Léonce tourne La Femme nue d’après l’œuvre d’Henry Bataille, puis en 1927 Morgane la sirène d’après un roman de Charles Le Goffic. Fin mars 1927, une nouvelle société de production et de distribution voit le jour dans le paysage cinématographique français : la Franco-Film. Perret est nommé directeur artistique et membre du conseil d'administration de cette société opérant dans les studios Rex Ingram de Nice. L’objectif que se fixe cette nouvelle entreprise est de faire triompher la production nationale sur les écrans mondiaux. Siègent aux côtés de Perret : le directeur de production Edgard Costil, le réalisateur Camille de Morlhon et plusieurs metteurs en scène pionniers comme Raymond Bernard, Jean Durand, Léon Mathot, etc. Léonce Perret chez lui, à la fin des années 1920. Morgane la sirène est le premier film de Perret distribué par Franco-Film, qui rencontre un grand succès en France, en Angleterre ainsi qu’au Canada, ce qui confirme les ambitions internationales de cette jeune société. La même année voit le jour du premier film français entièrement en couleurs selon la technique américaine Technicolor. Dans Printemps d’amour, Perret emploie les services de Louise Lagrange et de l’américaine Hope Hampton. Léonce produit ensuite ses deux derniers films muets : La Danseuse Orchidée (avec l'américain Ricardo Cortez) et La Possession (avec l’italienne Francesca Bertini), une nouvelle adaptation d’Henry Bataille. Léonce Perret a marqué le cinéma des années 1920 de son empreinte. Souvent qualifié de « magicien de l’image » par ses pairs, il rentre définitivement dans le panthéon du cinéma muet. Fin de carrière : les prémisses du cinéma parlant[modifier | modifier le code] Convaincu de l'avenir du cinéma parlant, Léonce Perret réalise en 1929 Quand nous étions deux, une adaptation du célèbre roman d’Huguette Garnier. Son premier film parlant a pourtant un succès mitigé comparé aux autres films concurrents de la même époque. D’une manière générale, la société Franco-Film a beaucoup de difficultés dans sa transition vers le cinéma parlant. Léonce Perret la quitte d'ailleurs après Quand nous étions deux. Ne renonçant pourtant pas au cinéma, Perret collabore en 1930 avec Adolphe Osso, créateur de la nouvelle Société des films Osso pour tourner Arthur (avec Louis-Jacques Boucot), son premier film réellement en « son direct ». Il enchaîne ensuite en 1931 avec Après l’amour (avec Gaby Morlay) adapté d’une pièce de Pierre Wolff et Henri Duvernois. Ce film a un succès particulier en Belgique. Vient ensuite en 1932 Enlevez-moi, film qui fait découvrir la toute jeune Arletty, ainsi que le déjà expérimenté Roger Tréville. L’année suivante, Léonce Perret, qui travaille désormais avec la maison Pathé-Nathan, rappelle la reine du cinéma et du théâtre Gaby Morlay et son ancien collègue André Luguet afin de tourner son nouveau film Il était une fois, d’après la pièce de Francis de Croisset. Ce film remporte le prix de « meilleur film français de l’année » décerné par l’hebdomadaire des cinéphiles Pour Vous. Ensuite, Léonce adapte au cinéma le roman d’Alphonse Daudet Sapho, qu’il connaît bien puisqu’il l’avait déjà joué alors qu’il était comédien. Mary Marquet est l’actrice principale de cette nouvelle adaptation. En 1934, Léonce Perret tente une nouvelle expérience avec la Comédie-Française, une sorte de théâtre-documentaire sur l’œuvre de Molière qui a un succès mitigé mais qui permet à des artistes comme Sacha Guitry de s’en inspirer pour réaliser d'autres œuvres dans ce domaine par la suite. Léonce Perret, sur le tournage de Arthur en 1930. Alors que Léonce Perret entame un nouveau projet, une nouvelle version de Kœnisgmark, parlante et bilingue (franco-anglaise), il tombe malade et doit être hospitalisé à la clinique Saint Jean de Dieu située dans le 7e arrondissement de Paris. Il y meurt le 12 août 19356 et est enterré à Niort. Il a finalement réalisé sept films parlants. Léonce Perret est considéré comme un autodidacte ayant gravi un à un les échelons de la réussite, revendiquant une certaine indépendance, une liberté de création et plusieurs innovations ainsi qu'une faculté à découvrir de nouveaux talents. Cependant Léonce Perret est étonnamment oublié par les cinéphiles des générations suivantes, les historiens du cinéma ne lui accordant que très peu de place dans leurs études. Il faut attendre 2003 pour découvrir la première étude – partielle – intitulée Léonce Perret7,8, publiée par l'Association française de recherche sur l'histoire du cinéma en collaboration avec la cinémathèque de Bologne. Quelque temps après, en novembre 2004 pendant une quinzaine, des dizaines de films de Léonce Perret sont projetés à la Cinémathèque française à Paris, à l'initiative de l'équipe de Bernard Bastide9. Une œuvre plus complète écrite par Daniel Taillé paraît en 2006, Léonce Perret cinématographiste10, rendant hommage à cet artiste pionnier. Citations[modifier | modifier le code] portrait de Léonce Perret datant des années 1930. « L’impatience artistique, économique, scientifique et sociale du cinéma est si grande que son développement n’a pas de limites. Aussi, l’une de nos premières industries nationales devrait-elle être celle du film. Mais pour replacer le film français au premier rang, qu’il n’aurait jamais dû perdre, et pour assurer son expansion sur le marché mondial, il faut que ce film, national par sa production, soit international par sa situation dramatique, sa facture, son interprétation. Tous les faits marquants de notre histoire, la vie de nos grands hommes et femmes célèbres, peuvent servir à la réalisation du film international. Nos concurrents étrangers ne l’ignorent point, car pour réaliser leurs derniers films internationaux, ils en ont pris tous leurs éléments dans l’histoire de France, telle qu’elle a été racontée par nos romanciers et nos dramaturges les plus réputés… » — Léonce Perret à Comœdia, le 31 mars 1922. « Le cinéma a conquis droit de cité dans le monde entier, et a pris un caractère universel qui en fait un objet de libre échange artistique et commercial. » — Léonce Perret à Comœdia, le 29 août 1924. « Le cinéma doit à Léonce Perret des découvertes plastiques et des recherches sans prix. » — Henri Langlois. A contrario... « Bien d'autres de nos compatriotes travaillèrent en Amérique : Léonce Perret entre autres, dont la production, qu'elle soit française d'avant guerre (...) ou d'après-guerre (...) est d'une égale médiocrité. » — Georges Charensol, Panorama du cinéma, Kra, Paris, 1930, p.91. « On ne s'étonnera pas, je pense, de l'omission volontaire faite ici de certains noms fort appréciés par les commerçants du cinéma : Léonce Perret, (...) » — Georges Charensol, op. cit., p.187. Filmographie[modifier | modifier le code] Une filmographie complète de Léonce Perret est pratiquement impossible car il a écrit, joué, réalisé ou produit plus de 400 films11 dont environ le tiers sont encore disponibles à l'heure actuelle. Les copies se trouvent principalement à la Cinémathèque Gaumont, à la Cinémathèque française, aux Archives du Film du Centre national de la cinématographie ou dans quelques cinémathèques européennes comme le Nederlands Filmmuseum d'Amsterdam. Acteur[modifier | modifier le code] 1909[modifier | modifier le code] Judith et Holopherne de Louis Feuillade (89 m) Le Miroir magique de Louis Feuillade (85 m) Le Voile des nymphes de Louis Feuillade (101 m) La Fiancée du batelier de Louis Feuillade (269 m) Au temps de la chouannerie de Louis Feuillade (287 m) Le Bon Samaritain (109 m) André Chenier d’Étienne Arnaud (349 m) La Légende de Daphné de Louis Feuillade (104 m) Le Festin de Balthazar de Louis Feuillade (290 m) - Le roi de Babylone Molière (1909) de Léonce Perret (280 m) Monsieur Prud'homme fait faire sa statue de Léonce Perret Le Portrait de Mireille de Léonce Perret (164 m) Robert le diable de Étienne Arnaud 1910[modifier | modifier le code] Amphitrion d'Étienne Arnaud (207 m) L'An Mil de Louis Feuillade (279 m) Monsieur Prud'homme s'émancipe : Monsieur Prud’homme (rôle interprété par Léonce Perret) Jour d’échéance (314 m) : Le peintre Duvaldy Esther (film de Louis Feuillade) (436 m) - Assuérus"" Les douze travaux d'Hercule d'[Émile Cohl] (164m) Etienne Marcel d'Étienne Arnaud (317m) Lysistrata ou la Grève des baisers de Louis Feuillade (260m) La mort de Camons d'Étienne Arnaud (207m) Pâques florentines de Louis Feuillade (337m) Le roi de Thule d'Étienne Arnaud (220m) La Vie de Pouchkine de Louis Feuillade La Fille de Jephté (266m) Le Vertige (300m) : Docteur Ménart Benvenuto Cellini d'Étienne Arnaud (329m) Les Carbonari de Louis Feuillade (310m) Christophe Colomb d'Étienne Arnaud (333m) Le demi solde d'Étienne Arnaud (293m) L'Exode de Louis Feuillade (430m) 1814 de Louis Feuillade (247m) La Nativité de Louis Feuillade (302m) Le Pater de Louis Feuillade (144m) Roland à Roncevaux de Louis Feuillade Les Sept Péchés capitaux I : l'orgueil de Louis Feuillade (120m) Les Sept Péchés capitaux II : l'avarice de Louis Feuillade (162m) Les Sept Péchés capitaux III : la luxure de Louis Feuillade (126m) Les Sept Péchés capitaux IV : l'envie de Louis Feuillade (384m) Les Sept Péchés capitaux V : la gourmandise de Louis Feuillade (103m) Les Sept Péchés capitaux VI : la colère de Louis Feuillade (40m) Les Sept Péchés capitaux VII : la paresse de Louis Feuillade (86m) 1911[modifier | modifier le code] La Peau de l'ours (276m) : Henry Dorlandy Fidèle de Léonce Perret (291m) L'Orgie romaine (A Roman Orgy) Le Mariage de Zanetto (204m) : Monseigneur Le Duc Le Fils de la Salamite de Louis Feuillade (250m) L'Étendard (252m) L'Automne du cœur (235m) : Vanesco Mariage par le cinématographe ou Un mariage par le cinéma (261m): Harry Bull Eugène amoureux (148m) Le Tyran de Syracuse de Louis Feuillade Titine et Totor (157m) : Totor, le plombier Dans la vie (194m) Monsieur Prud'homme joue la comédie : Monsieur Prud’homme L'Âme du violon André Chénier Les Béquilles (262m) : Le directeur La Cure de solitude (207m) : Louis de Beauchamp Le Haleur (214m) : Le haleur Le Moïse du moulin (285m) : Julien Flore et Zéphir de Louis Feuillade (87m) Heliogabale de Louis Feuillade L'Héritage du demi-solde de Louis Feuillade 1912[modifier | modifier le code] Plus fort que la haine Le Chrysanthème rouge : Un prétendant La Dette d'honneur Marget et Benedict Le Mystère des roches de Kador12 : Comte Fernand de Kéranic Nanine, femme d'artiste : Pierre Voisel Le Mariage de minuit Main de fer contre la bande aux gants blancs : Le baron de Croze Main de fer : Rizzio l'espion et le duc de Loze Le retour au foyer : Georges Clarens L'Express matrimonial : Gontran Un nuage Léonce fait des gaffes : Léonce Graziella la gitane : André Darnel La Lumière et l'Amour : Roger Darbois L'Espalier de la marquise : Le marquis Roger de Cérigny Un coq en pâte (361 m : Baron de Barsac La Rançon du bonheur : Lieutenant Jacques Mareuil 1913[modifier | modifier le code] Léonce voyage Léonce et la bouillotte Léonce à la campagne Main de fer et l’évasion du forçat de Croze : Le forçat de Croze Léonce en voyage de noces Léonce en ménage Les Épingles : Léonce Un cœur de poupée : Léonce Léonce et les écrevisses Léonce flirte Léonce veut divorcer Léonce pot-au-feu Léonce célibataire Léonce fait du reportage Léonce et Toto Léonce veut maigrir Léonce et sa tante Léonce et son conseil judiciaire Léonce papillonne Léonce et Poupette L'Apollon des roches noires Le Homard : Léonce L'Enfant de Paris : Léonce Les Bretelles : Léonce Léonce cinématographiste Le Collier de Nini Pinson : Ferryboat Les Fiancés de l'air : Jacques Mareuil La Belle-mère de Léonce Léonce aime les moules Léonce au château d'If L'Ange de la maison : Léonce Léonce a des rhumatismes 1914[modifier | modifier le code] Léonce n'est pas frileux Léonce aux bains de mer Léonce et les poissons rouges Léonce a le mal de mer Léonce a le mal d’amour Léonce aime les petits pieds Léonce l'est-il ? Son Excellence Léonce veut se suicider La Voix de la patrie : capitaine Paul d’Airvault 1915[modifier | modifier le code] Léonce et le bain du préfet Léonce flûtiste L'Autre devoir : Léonce Léonce papa Léonce jardinier Léonce aime les Belges 1916[modifier | modifier le code] Léonce s'émancipe Léonce poète Je le suis : Léonce C'est pour les orphelins ! Léonce en vacances Les Deux mille blondes du Père Dubreuil Réalisateur[modifier | modifier le code] Période 1909-1920[modifier | modifier le code] 1909 Molière (réalisé à Berlin) Pourquoi la guerre ? (réalisé à Berlin) Le Bon juge (réalisé à Berlin) (150 m) Le Berceau (réalisé à Berlin) Le Béret (167 m) Vers l'immortalité (réalisé à Berlin) (183 m) Fanfan, le petit grenadier (réalisé à Berlin) Noël d'artiste Le Lys d'or coréalisé avec Louis Feuillade (214 m) Le Truc de l'antiquaire (151 m) L'Échafaudage (185 m) La Lettre au petit Jésus (227 m) Monsieur Prud'homme fait faire sa statue Le Portrait de Mireille Le Mystère du château des roches noires La Tournée des grands ducs 1910 Monsieur Prud'homme s’émancipe La Fille de Jephté Le Vertige Les Lettres (210 m) Mam'zelle Figaro (160 m) Ménages parisiens (135 m) L'Alibi Le Bon exemple (252 m) Le Noël de grand-mère Le Soupçon (304 m) Le Cœur n'a pas d’âge L'Absente (259 m) Cendrillon (224 m) Le collier des Martigues Les Martigues Les Deux douleurs (216 m) Les Deux hommes (268 m) L'Escapade de Bob (277 m) L'Amour vainqueur (191 m) Le Baiser du pâtre (213 m) Le ballon Les Lacs italiens Le Rendez-vous (234 m) Le Sacrifice d'Yvonne Lorsque l'enfant paraît (194 m) Le Bon juge L'Ambition d'Agénor le Chauve (160 m) Bonne année Le Bon Samaritain Le Cheveu blanc (211 m) Le Crime du grand-père (236 m) L'Emmurée des Balkans (273 m) La Garde-barrière Le Gardian de Camargue ou Gardian de la Camargue (270 m) Le Jeu des amoureux Jeunesse Mimosa, la dernière grisette (223 m) Petite mère (213 m) Le Portrait ovale La Sacrifiée (180 m) La Visite du pasteur 1911 La Peau de l'ours Fidèle L'Étendard L'Automne du cœur Mariage par le cinématographe ou Un mariage par le cinéma Eugène amoureux Titine et Totor Dans la vie Monsieur Prud'homme joue la comédie L'Âme du violon Les Béquilles La Cure de solitude Le Haleur Le Moïse du moulin Le Mauvais berger (268 m) L'Amour qui tue (234 m) Les Bords de la Meuse Les Cascatelles du Houyoux ou Rives et cascatelles du Houyoux Bacchus et Cupidon (255 m) La Petite Béarnaise (300 m) Le premier pas (170 m) Tu t'en iras, jeunesse (304 m) La Mine en feu ou Le Feu à la mine (255 m) L'innocent (272 m) La Lettre de Zézette (260 m) La Rose bleue (231 m) Nuit tragique (161 m) Jeux d'amour (132 m) Kirouan la sainte (118 m) Cupidon aux manœuvres (245 m) Le Trafiquant L'Ermite ou La Paix du vieil ermite (258 m) Comment on les prend (262 m) La Pensée de l’enfant (262 m) On ne joue pas avec le cœur (307 m) Cœur de mère (303 m) Comment on les garde (254 m) Amour et science (303 m) Le Bon jardinier (199 m) L'Oiseau blessé (308 m) Le Galant notaire (160 m) Ces bons cousins (142 m) L'Amour et l'argent (286 m) Les Deux huissiers (105 m) Le Galant commissaire (151 m) Gisèle part en pension (144 m) Papa printemps (195 m) Voyage en Saxe Le lys brisé (224 m) Dans la vie La Paix du foyer (161 m) Séance de spiritisme (131 m) L'Attentat (193 m) Maternité ou Cœur de mère Gisèle, enfant terrible (203 m) Le Rival de Chérubin (174 m) Piège à loups (147 m) Un drame du rail 1912 Plus fort que la haine (306 m) Le Chrysanthème rouge (273 m) La Dette d'honneur (678 m) Marget et Benedict Le Mystère des roches de Kador (948 m) - Fernand de Keranic Marquisette et le troubadour Nanine, femme d'artiste Le Mariage de minuit Main de fer contre la bande aux gants blancs Main de fer L'Express matrimonial (285 m) Un nuage Léonce fait des gaffes Graziella la gitane (480 m) La Lumière et l'Amour L'Espalier de la marquise (303 m) Un coq en pâte (361 m) La Rançon du bonheur La Rochelle Les Blouses blanches (620 m) La Fille du margrave (379 m) La grève des domestiques (301 m) Le Cœur et l'Argent Le Tourment Cœur d'enfant (180 m) Manœuvres à bord d'un cuirassé Manœuvres d'escadre Le Mariage de Suzie Le Mariage de Ketty La Bonne hôtesse (373 m) Les Chandeliers (283 m) Une perle Laquelle? (492 m) La Visite du pasteur (262 m) La Lumière et l'amour Les Lys Le Lien La Petite duchesse La Conquête d'Aurélia La Vie à bord d'un cuirassé Le Béret Une leçon d'amour Petite rosse (924 m) 1913 Léonce voyage Léonce et la bouillotte Léonce à la campagne Main de fer et l’évasion du forçat de Croze (1,050 m) Léonce en voyage de noces Léonce en ménage Les Épingles (279 m) Un cœur de poupée Léonce et les écrevisses Léonce flirte Léonce veut divorcer Léonce pot-au-feu Léonce célibataire Léonce fait du reportage Léonce et Toto Léonce veut maigrir Léonce et sa tante Léonce et son conseil judiciaire Léonce papillonne Léonce et Poupette L'Apollon des roches noires (303 m) Le Homard (210 m) L'Enfant de Paris Les Bretelles Léonce cinématographiste Le Collier de Nini Pinson (320 m) - J. Ferryboat Les Fiancés de l'air La Belle-mère Léonce aime les moules Léonce au château d'If L'Ange de la maison Léonce a des rhumatismes Quatre me suffiront Au fond du gouffre Les Audaces de cœur Sur la voie Par l'amour La Force de l'argent Le Champion du trombone (238 m) Les Dents de fer La Dentellière (417 m) 1914 Léonce n'est pas frileux Léonce aux bains de mer Léonce et les poissons rouges Léonce a le mal de mer Léonce a le mal d'amour Léonce aime les petits pieds Léonce l'est-il? Son Excellence Léonce veut se suicider La Voix de la patrie La Tourmente Le Rachat du passé Les Roses de la vie La Bretagne pittoresque Sur la côte d'argent L'Aventure de Monsieur Smith Le Roman d'un mousse Film en 4 parties (1,865 m) Fauves et bandits Mort au champ d'honneur 1915 Léonce et le bain du préfet Léonce flûtiste L'Autre devoir Léonce papa Léonce jardinier Léonce aime les Belges Leur kultur L'Heure du rêve Françaises, veillez ! France et Angleterre, for ever Le Héros de l'Yser Une page de gloire Aimer, pleurer, mourir L'Énigme de la Riviera Tante Lolotte 1916 Léonce s'émancipe Léonce poète Je le suis Léonce en vacances Printemps du cœur L'X noir L'Empreinte du passé Les Deux mille blondes du Père Dubreuil Debout les morts ! Dernier amour Notre pauvre cœur Les Mystères de l'ombre Les Poilus de la revanche Le Roi de la montagne Qui? La Fiancée du diable Un mariage de raison Marraines de France Le Retour du passé Les Bobines d'or L'Angélus de la victoire Les Armes de la femme La Belle aux cheveux d'or 1917 L'Esclave de Phidias, coréalisation Louis Feuillade Le Devoir L'Imprévu La main du maître (The Silent Master, réalisé aux États-Unis) Folie d'amour (The Mad Lover, réalisé aux États-Unis) 1918 réalisés aux États-Unis Lune de miel imprévue (The Accidental Honeymoon) N'oublions jamais (Lest We Forget) Princesse voilée (La Fayette, We Come) Le million des sœurs jumelles (The Million Dollar Dollies) 1919 réalisés aux États-Unis L'ABC de l’amour (A.B.C. Of Love) L'Avidité (Twin pawns) Etoiles de gloire (The Unknown Love) La Treizième chaise (The Thirteen Chair) 1920 réalisés aux États-Unis Une Salomé moderne (A Modern Salomé) L'Empire des diamants (Empire Of Diamonds) La Flétrissure (Tarnished Reputations) L'Étreinte du passé (Lifting Shadows) Période 1921-1935[modifier | modifier le code] 1921 : Le Démon de la haine (The Money Maniac) réalisé aux États-Unis 1922 : L'Écuyère 1923 : Kœnigsmark 1924 : Madame Sans-Gêne 1926 : La Femme nue 1927 : Printemps d'amour 1928 : La Danseuse Orchidée 1928 : Morgane la sirène 1929 : La Possession 1929 : Poliche (Der Narr seiner Liebe) d'Olga Tchekhova (superviseur et scénariste) 1930 : Arthur 1930 : Quand nous étions deux 1931 : Après l'amour 1931 : Grains de beauté (seulement scénario et supervision) 1932 : Enlevez-moi 1933 : Il était une fois 1934 : Sapho 1934 : Un soir à la Comédie-Française 1934 : Les Précieuses ridicules 1935 : Deux couverts Scénariste[modifier | modifier le code] Léonce Perret écrit les scénarios d'une grande majorité de ses films. Seuls certains films datant d'avant 1913, c’est-à-dire sa période d'apprentissage, n'ont pas été écrits par Léonce Perret. La plupart sont écrits alors par Louis Feuillade, son directeur artistique de cette époque, quelques scénarios sont aussi écrits durant cette période par Abel Gance, Étienne Arnaud et Marcel Lévesque, ses collègues de la société Gaumont. C'est d'une manière progressive, à partir de 1911, que Léonce Perret a obtenu la confiance de la maison Gaumont pour mettre en scène ses propres scénarios. Plus tard, à partir de 1917, il écrit beaucoup de scénarios d'après des romans, comme Folie d'Amour (1917), La treizième chaise (1919) ou Koenigsmark (1923). Il écrit aussi certains scénarios en collaborations avec d'autres cinéastes comme Koenigsmark écrit avec René Champigny ou Madame Sans-Gêne avec l'américain Forrest Halsey. En 1928, La Danseuse Orchidée est le fruit d'un scénario de Jean-Joseph Renaud. C'est l'un des rares films d'après-guerre où Léonce Perret n'est pas intervenu dans l'écriture du scénario. Producteur[modifier | modifier le code] Léonce Perret a produit beaucoup de ses films à partir de sa période américaine, c'est-à-dire à partir de 1917, en fondant sa maison de production Perret Picture Inc. La Fayette, we come et The unknown love en 1918 ainsi que Twin Pawns ou A.B.C. of love en 1919 sont certains des films produits par Léonce Perret aux États-Unis. Ensuite lors de son retour en France, il a l'occasion de produire plusieurs films avec la société Franco-Film (Morgane la Sirène et Printemps d'Amour en 1927, La Danseuse Orchidée, Poliche et La Possession en 1928, Quand nous étions deux en 1930, etc.). Théâtre[modifier | modifier le code] 1909 : Le Scandale de Henry Bataille, Théâtre de la Renaissance ****Iván Petrovich (Serbian: Иван Петровић/Ivan Petrović; 1 January 1894 – 18 October 1962) was a Serbian[1] film actor and singer. He was the first actor of Yugoslav origin to have a successful international movie career,[2] preceding Ita Rina and Zvonimir Rogoz. Petrovich mainly worked in German cinema, but also collaborated with established directors in some 100 Hungarian, French, Spanish, Czechoslovakian and Hollywood movies. Contents  [hide]  1 Early life 2 Career 2.1 Early career 2.2 France 2.3 Hollywood 2.4 Transition to sound 2.5 Germany 2.6 World War II 2.7 Later career 3 Serbia 4 Personal life 5 Filmography 6 References 7 External links Early life[edit] He was born Svetislav Petrović (Serbian Cyrillic: Светислав Петровић) on 1 January 1894 in Újvidék, Austria-Hungary, today Novi Sad in the Serbian province of Vojvodina. His father Mladen was a tailor.[3] After finishing the primary education in his hometown, he moved to Budapest, where he graduated from the Polytechnic academy. He was a talented singer and violinist and was an accomplished athlete, who participated as a swimmer at the 1912 Summer Olympics in Stockholm, Sweden.[4] During the World War I he was drafted into the Austro-Hungarian army and after the war ended, he moved to Vienna to pursue a film career.[2] Career[edit] Early career[edit] In Vienna he met a film director Mihály Kertész, who fled Hungary after the war, and who will later make a major Hollywood career as Michael Curtiz. Kertész directed Petrovich in three movies: The Sunflower Woman in 1918 on the play by Ivo Vojnović, The Lady with the Black Gloves in 1919 and, the most successful, The Star of Damascus in 1920.[4] Kertész thought that Petrovich’s name Svetislav is too hard to remember, so he chose Iván for him.[3] He later worked with a prominent Hungarian directors Paul Czinner (Homo immanis, 1918) and Béla Balogh (Under the Mountains, 1920), before moving to France. France[edit] In the mid 1920s he became an international star with a string of French movies, styled “the most cherished lover of the French cinema”.[3] He marked the period, mostly being typecast as a latin lover, in the movies of Léonce Perret (Koenigsmark, 1923; The Nude Woman, 1926; Morgane, the Enchantress, 1928), Germaine Dulac (Heart of an Actress, 1924) or Marco de Gastyne (The Lady of Lebanon, 1926). He was partnered on screen with the most popular French actresses of the day like Louise Lagrange, Nita Naldi and Arlette Marchal. Hollywood[edit] Petrovich was noticed by Hollywood director Rex Ingram who at the time lived and worked in Southern France, where he established a studio in Nice. Ingram directed Petrovich in three films, all co-starring Ingram’s wife, Alice Terry: The Magician in 1926, and The Garden of Allah and The Three Passions, both in 1927. At one point, Petrovich was considered as one of the potential successors of Rudolf Valentino, who died prematurely in 1926.[4] Transition to sound[edit] With the advent of sound, Petrovich’s career didn’t seem to be hampered. Tall, handsome and good looking, with a sonorous voice, he even prospered, expanding his acting range to the more character roles, like the aristocrats, noblemen, officers and priests, in the “Slavic charm” manner. However, even though multilingual, his bad English accent turned out to be an insurmountable obstacle, so he had to scrap his Hollywood plans.[4] Germany[edit] He made some 40 films in Germany before the outbreak of the war, under the direction of the best German directors and co-starring with the most popular actors of the period. As a good singer, he was frequently cast in filmed operettas. He worked often with directorial couple Jacob and Luise Fleck (The Orlov in 1927, Doctor Schäfer in 1928, The Tsarevich in 1929) and Richard Oswald (Victoria and Her Hussar in 1931, The Flower of Hawaii in 1933, co-starring Marta Eggerth). Other movies from this period include 1928 Alraune by Henrik Galeen, co-starring Brigitte Helm and Paul Wegener, 1929 Latin Quarter by Augusto Genina, 1931 The Opera Ball by Max Neufeld, co-starring Liane Haid and Die Fledermaus by Karel Lamač, 1932 Grandstand for General Staff by Eugen Thiele, 1934 Paganini, in title role, by E. W. Emo, co-starring Theo Lingen, and The Last Waltz by Georg Jacoby, 1935 The Cossack and the Nightingale by Phil Jutzi, 1937 Unter Ausschluß der Öffentlichkeit by Paul Wegener and 1939 Zentrale Rio by Erich Engels, co-starring Ita Rina. World War II[edit] After the World War II began, Petrovich continued to act in mostly lightweight, fun movies. He stayed in touch with Serbian issues by visiting his friends, captured Serbian officers, in Nazi camps, which caused him problems with the Nazi Security Service.[3] After being pressured to participate in propaganda flick Enemies, directed by Viktor Tourjansky, which tried to justify German occupation of Poland, Petrovich migrated to Hungary. He spent there the remainder of the war, acting in several movies along popular stars like Pál Jávor and Katalin Karády. Most notable was 1941 Géza von Radványi’s antimilitary Europe does not respond.[4] Later career[edit] After the war ended and Communist government was set in Hungary, Petrovich moved back to Germany. In the next 15 years he continued mostly in the supporting roles, but was still sought actor in the German-speaking countries. His notable roles from this period include films The Trial by G.W. Pabst, Beethoven’s biopic Eroica by Walter Kolm-Veltée and Sissi – The Young Empress by Ernst Marischka. Among Petrovich’s last movies were Louis Malle’s first feature film Elevator to the Gallows in 1958 and Anatole Litvak’s The Journey in 1959. Apart from acting, in this period he also worked as a radio announcer on Radio Free Europe,[4] which was headquartered in Munich at the time. Serbia[edit] Petrovich made no Yugoslav movies, but did act in German-Yugoslav coproductions, The Coral Princess in 1937 directed by Victor Janson, co-starring Ita Rina, and Dalmatian Wedding in 1953, directed by Géza von Bolváry. That wasn’t an obstacle for the exceptional popularity in his homeland and legions of fans, though. In 1928 he visited Belgrade, causing unprecedented hysteria. Filmmaker Marko Babac in his 2009 book Boško Tokin – novinar i pisac, prvi srpski estetičar, publicista i kritičar filma published an excerpt from the Novostinewspapers’ account on Petrovich’s visit:[4] “From all corners of Belgrade, like torrents, girls of Belgrade rushed to see Svetislav Petrović with a secret hope in their souls that at least one of his fiery glances will fall on them, their lipsticked lips and loving eyes. Journalists, waiting in a lounge, waited for Svetislav Petrović to step out of his quarters, where he spent time in the bathroom doing swimming, massaging and gymnastics. Upon seeing him, the crowd swung and stirred, the girls’ hearts stroke hard and throaths turned dry because of the souls’ sensations. They all commented how gorgeous and perfect he is. Delighted mass almost smothered him as they advanced towards him. It seemed as if, in an effort to show him love, they wanted to lynch him.“ In contrast to that period, Petrovich is largely forgotten in Serbia today. One of the reasons is thought to be his work in Radio Free Europe, which was strongly disliked by the post-war Communist authorities of Yugoslavia. In an effort to change that, Serbian national film library, Jugoslovenska kinoteka, dedicated year 2017 to him, with prepared programs for showing his movies throughout the whole year.[4] Even though he spoke fluently Hungarian, German, French and English language, he signed autographs only in Serbian Cyrillic alphabet.[3] Personal life[edit] Petrovich married German singer and actress Friedel Schuster. He died of stomach cancer[3] on 18 October 1962 in Munich, West Germany and was interred in city’s Nordfriedhof cemetery. Filmography[edit] The Sunflower Woman (1918) The Lady with the Black Gloves (1919) Homo immanis (1919) The Star of Damascus (1920) Under the Mountains (1920) Veszélyben a pokol (1921) Galathea (1921) Navarro the Dancer (1922) Certificates of Death (1923) Koenigsmark (1923) Un coquin (1923) Heart of an Actress (1924) The Magician (1926) The Nude Woman (1926) Milady of Liban (1926) The Lady of Lebanon (1926) The Garden of Allah (1927) The Orlov (1927) Prince or Clown (1928) Alraune (1928) Morgane, the Enchantress (1928) Doctor Schäfer (1928) Secrets of the Orient (1928) The Three Passions (1928) The Favourite of Schonbrunn (1929) Latin Quarter (1929) The Tsarevich (1929) His Majesty's Lieutenant (1929) There Is a Woman Who Never Forgets You (1930) Love and Champagne (1930) The King of Paris (1930, German) The King of Paris (1930, French) Boudoir diplomatique (1931) The Opera Ball (1931) Victoria and Her Hussar (1931) Die Fledermaus (1931) La Chauve-souris (1931) Holzapfel Knows Everything (1932) Der Feldherrnhügel (1932) Der Diamant des Zaren (1932) Manolescu, der Fürst der Diebe (1933) The Flower of Hawaii (1933) Must We Get Divorced? (1933) Das Glück von Grinzing (1933) Paganini (1934) Polish Blood (1934) The Last Waltz (1934) Der Rote Reiter (1935) The Cossack and the Nightingale (1935) Königstiger (1935) Ungeküsst soll man nicht schlafen gehn (1936) Three Girls Around Schubert (1936) Mädchen in Weiß (1936) Women's Paradise (1936) Woman's Love—Woman's Suffering (1937) Die Kronzeugin (1937) Unter Ausschluß der Öffentlichkeit (1937) The Coral Princess (1937) Monika (1938) Stronger Than Love (1938) Die Nacht der Entscheidung (1938) Parkstrasse 13 (1939) Zentrale Rio (1939) Dein Leben gehört mir (1939) Enemies (1940) Életre ítéltek! (1941) Einmal der liebe Herrgott sein (1942) Magyar kívánsághangverseny (1944) The Trial (1948) Arlberg-Express (1948) Verlorenes Rennen (1948) Eroica (1949) Who Is This That I Love? (1950) Bonus on Death (1950) Maharadscha wider Willen (1950) Czardas der Herzen (1951) Vienna as It Was (1951) Desires (1952) The Forester's Daughter (1952) The Devil Makes Three (1952) Fritz and Friederike (1952) They Call It Love (1953) Once I Will Return (1953) The Little Czar (1954) Sissi – The Young Empress (1956) Widower with 5 Daughters (1957) Frühling in Berlin (1957) Elevator to the Gallows (Ascenseur pour l'échafaud) (1958) The Journey (1959) Forever my love (1962) (uncredited)     EBAY2919