Puzzle d'art en bois de 250 pièces, découpé à la main en France respectant l'environnement.

Vendu en boîte luxueuse.

L’aventure Puzzle Michèle Wilson commence en 1975 dans un petit village de Bourgogne. Dans un atelier de création, Michèle Wilson développe avec passion des puzzles originaux (appelés casse-têtes par nos amis québecois !). Grâce à des scies à chantourner, les artisans découpent à la main chaque pièce, leur donnant des formes différentes et les rendant ainsi uniques. Ils suivent le mouvement de la main de chaque artiste et s’inspirent des lignes de couleurs pour un jeu adapté à chaque tableau... La peinture est mise en valeur pour faire ressortir tous les détails ! Les ciels sont alors découpés en forme de nuage et les bâtiments sont travaillés de manière à créer une impression de relief et de perspective. La reconstitution du puzzle devient un jeu à deux, ou l’on cherche à déjouer les pièges créés par la découpeuse.

Georges Perec dans la Vie Mode d’emploi (Hachette 1978) montre l’intérêt du puzzle artisanal :

« Seules les pièces rassemblées prendront un caractère lisible, un sens considéré isolement une pièce de puzzle ne veut rien dire ; elle est seulement question impossible, défi opaque ; les deux pièces miraculeusement réunies n’en font plus qu’une, à son tour source d’erreur d’hésitation, de désarroi et d’attente. Le rôle du faiseur de puzzle est difficile à définir. Ce n’est pas le sujet du tableau ni la technique du peintre qui fait la difficulté du puzzle, mais la subtilité de la découpe, et une découpe aléatoire produira nécessairement une difficulté aléatoire. Ce n’est pas un jeu solitaire (en dépit des apparences). Chaque geste que fait le poseur de puzzles, le faiseur de puzzles l’a fait avant lui, chaque pièce, chaque espoir, chaque découragement, chaque tâtonnement, chaque intuition, ont été décidées, calculés, étudiés par l’autre. »