Livre Rare - TABULA IMPERII ROMANI. Lutetia, Atuatuca, Ulpia, Noviomagus
Villesréseaux routier et sites archéologiques sous l'Empire Romain sur la base de la carte internationale du monde à l'échelle de 1/1.000.000 M 31 Paris.
La Tabula Imperii Romani est un ouvrage réalisé par un certain nombre de spécialistes, sous la direction de R. Chevallier, ouvrage reflétant un certain état de la recherche. Le présent volume est une carte et un répertoire des principaux sites de la région de Lutetia (Paris), Atuatuca (Tongres), et Ulpia Noviomagus (Nimègue), dans des limites chronologiques allant de -50 à 450 après J.C. Cette carte couvre plus précisément le nord de la Gaule et la région parisienne, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg et le sud-est de la Grande-Bretagne. La région qui nous intéresse particulièrement est la Haute-Normandie (Seine-Maritime et Eure) et une partie de la Basse-Normandie (moitié est du Calvados et de l'Orne). La carte est limitée à l'ouest par Lisieux, Sées et Le Mans. Parmi les peuplades antiques étudiées, on retiendra seulement les Aulerci Eburovices de l'Eure, les Calètes du nord- ouest de la Seine-Maritime, les Veliocasses du Vexin (une partie de la Seine-Maritime, une partie de l'Eure), les Lexovii de l'est du Calvados, les Sagii de l'Orne. Tous les sites gallo-romains repérés n'ont pu être retenus sur une carte à cette échelle (1/1000 000), en particulier les très nombreux sites à tuiles et à céramique repérés seulement en surface. Les deux principales critiques que l'on peut porter sur cette carte sont, d'une part, une échelle insuffisante au moins pour certains secteurs, d'autre part, le fait de réunir sur une même carte des éléments non contemporains.


Auteur: CHEVALIER Raymond & Collectif.
Langue: Français.
Caractéristiques: Paris, 1975, broché, (16x24cm), 225 pages, 12 cartes dont une dépliante en couleurs.
Une bonne raison de respecter la loi N° 89-900 du 18 décembre 1989 en matière de prospection et d'utilisation de détecteur de métaux 
"Avoir connaissance de tous les sites archéologiques de toutes les communes de son département pour éviter d'y mettre les pieds".