DESCRIPTIONHere for sale is an EXCEPTIONALY RARE and ORIGINAL over 40 years old Hebrew-Israeli SMALL lobby - theatre POSTER for the 1982 ISRAELI premiere of the successful CULT FILM , The French ACTION COMEDY - " L'AS DES AS - THE ACE OF ACES" .  Starring JEAN PAUL BELMONDO and MARIE FRANCE PISIER . The Hebrew poster was created ESPECIALLY for the Israeli premiere of the film . Please note : This is Made in Israel authentic THEATRE POSTER , Which was published by the Israeli distributors for the Israeli projection of the film in ca 1982 . Quite archaic Hebrew you can be certain that this surviving copy is ONE OF ITS KIND. Size around 7" x 12" . The poster is in very good condition.   ( Pls look at scan for accurate AS IS images ). Poster will be sent in a special protective rigid sealed package.

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L'as des as (The Ace of Aces; alternate English title: The Super Ace) is a 1982 French-German action comedy film starring Jean-Paul Belmondo and directed by Gérard Oury. The Ace of Aces was a huge public success, reaching five and a half million spectators in France, which was the second best box office (after The Brain) for Jean-Paul Belmondo. Plot In 1916, during World War I, a German and a French fighter ace by the names of Gunther von Beckman (Hoffman) and Jo Cavalier (Belmondo) manage to drag each other out of the sky. An argument and subsequent fistfight about who is to be whose prisoner is interrupted by an artillery barrage on their position, forcing both to work together in order to survive. In a humorous side scene, Corporal Adolf Hitler (Meisner) is berated by his frustrated First Lieutenant Rosenblum for his clumsiness. In 1936, 20 years later, Jo and his team of boxers travel to Germany to participate in the Olympic Games in Berlin. On the train Jo meets young Simon Rosenblum (Ferrache), the grandson of aforementioned First Lieutenant Rosenblum and a Jew, and a beautiful reporter named Gaby Delcourt (Pisier), who is to interview Hitler. When his grandfather doesn't show up at the station, Simon asks Jo, whom he idolizes for his World War I days, to accompany him to his grandfather's bookstore. Arriving there, Jo gets into a fight with Gestapo agents who are demolishing the place, and subsequently he is asked by the whole Rosenblum family to hide them. Knowing no other place, he takes them to his team's hotel, which also happens to be Gaby's domicile. Jo begins to flamboyantly flirt with Gaby, who seems to return his affections. The next morning, just before they depart for the stadium for the opening ceremony, Jo re-encounters his old friend Gunther, now a general of the Luftwaffe. He fast-talks Gunther into borrowing his car, which he gives to the Rosenblums for their escape to Austria. Due to a critical blunder on the Rosenblums' part, however, the whole family is caught before they reach the border, and only Simon escapes. The boy phones Gaby, who informs Jo. Torn between his affection for Gaby, his sense of duty for Simon, and the need to see his team in the games (though not in that order), Jo decides to settle the matter as quickly as possible and goes off to fetch Simon. However, things do not go as planned. The Gestapo is hot on Jo's heels, a bear drives him and Simon from their forest camp, and they temporarily pick up its cub, whom they spontaneously name Beethoven. Finally they are captured and taken to the next police station, where the rest of the Rosenblums are also held. Gunther arrives to secure the release of his friend, but Jo won't abandon the Rosenblums and takes Gunther for all appearances hostage. As they drive to the Austrian border, Gunther advises Jo to go with the Rosenblums since he is now considered a fugitive criminal, and Jo reluctantly agrees. However, due to circumstances the group misses the way and ends up right in Hitler's Berghof residence on the Obersalzberg. Mistaking it for a simple hotel, they are taken in by the grounds' caretaker, Hitler's sister Angela (again played by Meisner). As it so happens, Gunther has been invited by Hitler to the Berghof for a staff conference, along with Gaby, to whom Gunther has also taken a fancy. Jo is quick to find out about the residence's true nature, however, when he comes face to face with Hitler himself while following the Olympic boxing finals on the radio in the latter's personal office. He procures an officer's uniform, reveals himself to Gunther and Gaby, and devises a plan to rescue the Rosenblums by stealing Hitler's personal car, while a very reluctant Gunther is to create a diversion by eloping with Angela Hitler. The film ends with a furious car chase between Jo, the Rosenblums and Gaby in one car, and Hitler and his adjutants in another, during the course of which the elderly Rosenblum reveals himself to his old subordinate. Startled by the unexpected encounter with his former commanding officer, Hitler is sent crashing into a duck pond, while Jo and company successfully escape to Austria (a humorous hint on the Anschluss which would follow two years later), where they also encounter Beethoven again. ****** L’As des as est une comédie franco-allemande coécrite et réalisée par Gérard Oury, sortie en 1982. Synopsis En 1916, durant la Première Guerre mondiale, deux pilotes d’avion, le Français Jo Cavalier et l’Allemand Günther von Beckmann s’affrontent. Après s’être posés en catastrophe, les deux hommes se battent, mais se sauvent mutuellement la vie. Vingt ans plus tard, en 1936, Jo est devenu l’entraîneur de l’équipe française de boxe, équipe qui doit se rendre à Berlin pour participer aux Jeux olympiques, dans une Allemagne vivant sous le régime nazi d’Adolf Hitler. Après un combat de boxe gagné par le boxeur poulain de Cavalier, l’équipe se retrouve dans le restaurant L’as des as, appartenant à Jo, où débute un débat sur la question « Faut-il aller ou non aux Jeux olympiques ? ». Jo répond qu’il y va un peu à contre-cœur (l'idée de défiler devant Hitler le bras tendu le dégoûtant). Cependant, Gabrielle Belcourt, une journaliste que Jo a malencontreusement bousculée et qu’il a provoquée, le piège en écrivant un article, paru le lendemain, sur cette déclaration. Cette dernière part également pour Berlin afin d’interviewer le Führer. Jo et la journaliste se retrouvent dans le train pour la capitale, où il tente de lui faire une cour assidue, sans savoir que c’est elle qui a écrit l’article. Dans le train, Cavalier rencontre un enfant juif de dix ans, Simon Rosenblum qui lui demande un autographe. Alors qu’il se fait mener par le bout du nez par Gabrielle, il décide de ramener le gamin chez ses grands-parents, gérants d’une librairie, qui devaient initialement venir le chercher à la descente du train. Mais des membres de la Gestapo se trouvent à la librairie qu'ils saccagent. Il décide de les affronter au cours d’une bagarre et parvient à leur échapper en se faisant passer pour le porteur du flambeau olympique. De retour à l’hôtel, il retrouve Simon revenu avec toute sa famille, poursuivie par les autorités nazies. Il décide de les prendre sous sa protection et les fait dormir dans les chambres d’hôtel de la délégation française. Alors qu’il se rend dans la chambre de Gabrielle, il apprend que c’est elle la journaliste répondant aux initiales G.B. dont elle avait signé l’article. Le lendemain, son ami Günther von Beckmann, général de la Luftwaffe, mais farouche anti-nazi, lui prête sa voiture pour permettre aux Rosenblum de quitter Berlin et se réfugier en Autriche. Mais toute la famille est arrêtée dans un restaurant, sauf Simon. Mis au courant, Cavalier part à son secours avec l'avion de Günther. Après avoir rejoint Simon en parachute, ils tentent de semer les Allemands à leurs trousses, mais les routes étant barrées, ils se font arrêter et sont conduits au commissariat de Munich. Sur place, ils retrouvent les autres membres de la famille Rosenblum. De leur côté, Gabrielle et Günther von Beckmann apprennent, à leur arrivée à Munich, l'arrestation de Jo. Bien que l'officier se soit porté garant de Jo, ce dernier s’échappe, emmenant avec lui la famille Rosenblum et Günther en direction de l'Autriche. Ils se séparent de ce dernier, près de la frontière autrichienne. Mais, à la suite d'un incident avec le poteau indicateur, ceux-ci prennent la route pour Berchtesgaden, exactement au Berghof d'Hitler, où se trouvent également l’officier et la journaliste. S’étant rendu compte qu’ils se trouvent dans la résidence du dictateur, Jo use de stratagèmes pour fuir, comme se déguiser en officier nazi et faire partir son ami avec la sœur d'Hitler, Angela (qui déteste Eva Braun, invitée par son frère, et menaçant celui-ci de partir), avec un faux mot doux, afin qu’il puisse quitter le Berghof avec les Rosenblum et Gabrielle en utilisant la voiture du Führer. Ils se retrouvent néanmoins poursuivis par Hitler, accompagné de soldats, qui croit d'abord poursuivre la voiture de sa sœur. Le dictateur reconnait le grand-père Rosenblum, qui avait été son supérieur durant la Première Guerre mondiale et l'origine de son antisémitisme. Cavalier parvient à faire sortir de la route la voiture d’Hitler, projetant ce dernier dans une mare aux canards. Les fugitifs parviennent à rejoindre l’Autriche, ayant sauvé toute la famille de la persécution. Fiche technique Icône signalant une information Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données d'Unifrance. Titre original : L’As des as Réalisation : Gérard Oury Scénario : Gérard Oury et Danièle Thompson Musique : Vladimir Cosma Décors : Rolf Zehetbauer Costumes : Jacques Fonteray Photographie : Xaver Schwarzenberger Son : Alain Sempé Montage : Albert Jurgenson Production : Alain Poiré Bagarres réglées par Claude Carliez et son équipe Coproduction : Horst Wendlandt Production déléguée : Thomas Schühly (de) Sociétés de production : Gaumont, Soprofilms et Cerito Films (France) ; Rialto Films (Allemagne) Société de distribution : Gaumont Pays d'origine : Drapeau de la France France / Allemagne de l'Ouest Allemagne de l'Ouest Format : couleur (Eastmancolor) - 1.66:1, 35 mm - Son Mono Genre : comédie, action Durée : 96 minutes Dates de sortie en salles : France : 27 octobre 1982 Allemagne de l'Ouest : 14 janvier 1983 Distribution Jean-Paul Belmondo : Georges « Jo » Cavalier Marie-France Pisier : Gabrielle Belcourt Rachid Ferrache : Simon Rosenblum Frank Hoffmann : Günther von Beckmann Günter Meisner : Adolf Hitler / Angela Hitler Benno Sterzenbach : un commissaire de la Gestapo Florent Pagny : un boxeur Stéphane Ferrara : Raymond, un boxeur Yves Pignot : Lucien Jean-Roger Milo : Émile Maurice Auzel : l'entraîneur de boxe Michael Gahr (de) : Brückner, l'adjudant d'Hitler Martin Umbach : Lazare Rosenblum Sonja Tuchmann : Sarah Rosenblum Hans Wyprächtiger : Oberleutnant Rosenblum Dominique Nato : un boxeur Production Développement En 1980, Gérard Oury soumet à Jean-Paul Belmondo l'idée d'une comédie autour de la boxe au temps du nazisme. L'histoire n'est pas encore écrite, mais l'idée plaît à l'acteur, qui donne son accord. Quelques mois plus tard, Jean-Paul Belmondo est emballé par le scénario coécrit par Gérard Oury et sa fille Danièle Thompson : « Si l'on ne déteste pas le paradoxe, on peut affirmer que l'As des as raconte une histoire vraie, à ce détail près que tout a été inventé1 ! » Il coproduit le film et renonce intégralement à son cachet parce qu'il a « le désir de stigmatiser sous le ton léger de la comédie, l'antisémitisme et l'intolérance »2. Tournage Le tournage débute au printemps 1982. Les scènes aériennes sont réalisées à l'aérodrome de La Ferté-Alais en France3. Toutefois, l'essentiel est filmé en Autriche et surtout dans le studio de la Bavaria à Munich. Le chalet utilisé pour représenter celui d'Hitler n'est pas réalisé en carton-pâte et a une certaine ressemblance avec l'original. Meubles, escalier et taille sont ainsi reproduits à l'identique. Cependant la grande baie vitrée de l'original était plus haute et on ne pouvait pas, contrairement au film, regarder à l'intérieur depuis l'extérieur, comme le fait Belmondo. Celui-ci, très impliqué depuis toujours dans le monde de la boxe, a absolument tenu à ce que la plupart des boxeurs de l'équipe olympique soient interprétés par de véritables jeunes boxeurs. Le tournage se termine ensuite à Berlin4,1. La scène finale dans la mare aux canards est un clin d'œil au film de Lubitsch : To be or not to be (1942)[réf. nécessaire]. La scène de l'arrivée du train en gare de Berlin est extraite du film Julia de Fred Zinnemann (1977). Des scènes du film documentaire nazi Les Dieux du stade, tourné par Leni Riefenstahl lors des Jeux olympiques de Berlin en 1936, sont réutilisées, avec l'accord de la réalisatrice de réutiliser le 100 mètres de Jesse Owens5,6. Dans une interview de 2000 pour les bonus du DVD du film, Gérard Oury confie, entre autres, que les figurants jouant la garde rapprochée SS au Berchtesgaden étaient américains, car les Allemands prévus au départ ont refusé de se couper les cheveux pour le film. RAF SE.5 de Jo Cavalier[7] RAF SE.5 de Jo Cavalier7 Fokker Dr.I de Günther von Beckmann Fokker Dr.I de Günther von Beckmann Accueil Sorties Le film sort le 27 octobre 1982 en France et le 14 janvier 1983 en Allemagne de l'Ouest. C'est un succès8. Critiques L’accueil critique est moins enthousiaste que celui du public, Belmondo n’ayant pas souhaité montrer le film aux journalistes avant sa sortie en salles. Il recueille néanmoins d'excellentes critiques de la part de François Chalais dans le Figaro Magazine et de Marc Esposito dans Première. Le film suscite une forme de polémique du fait de sa sortie quasi simultanée avec Une chambre en ville, de Jacques Demy. Ce dernier long-métrage, auquel la critique française avait fait un triomphe unanime, s’avère un échec commercial, alors que le film de Gérard Oury remporte un grand succès. Dans le Télérama du 10 novembre 1982, vingt-trois critiques de cinéma signent un texte comparant les résultats des deux films et déplorant que le « public potentiel » du film de Demy soit détourné par « l’écrasement informatif et publicitaire des films préconçus pour le succès ». La polémique ne touche pas le grand public, mais suscite l’agacement de Jean-Paul Belmondo, qui répond par un texte intitulé Lettre ouverte aux coupeurs de têtes : « Gérard Oury doit rougir de honte d’avoir « préconçu son film pour le succès ». Jacques Demy a-t-il préconçu le sien pour l’échec ? Lorsqu’en 1974 j’ai produit Stavisky d’Alain Resnais et que le film n’a fait que 375 000 entrées, je n’ai pas pleurniché en accusant James Bond de m’avoir volé mes spectateurs. […] Oublions donc cette agitation stérile et gardons seulement en mémoire cette phrase de Bernanos : « Attention, les ratés ne vous rateront pas ! » — Jean-Paul Belmondo9 Jacques Demy est le premier surpris de cette polémique et ne met pas l'échec de son propre film sur le compte du succès de celui de Gérard Oury8,10,11. Box-office L'As des as est un très gros succès public, atteignant les cinq millions et demi de spectateurs en France, ce qui constituera le second meilleur box office (après Le Cerveau) pour Jean-Paul Belmondo. Pays Box-office Durée Classement TLT12 Box-office Drapeau de la France France13 5 452 593 entrées 26 semaines 2e de 1982 Box-office Paris13 1 223 205 entrées 49 semaines 2e de 1982 Box-office Drapeau de la Suisse Suisse14 364 351 entrées - - Sa première semaine au box-office à Paris est un record à l'époque avec 463 028 entrées, battant l'ancien record établi trois semaines plus tôt par Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ15,2. Diffusions télévisuelles L'As des as est le premier film diffusé par la nouvelle chaîne payante Canal+, le 4 novembre 198416, à 11 h du matin. Mais des problèmes techniques liés à l'incompatibilité du décodeur avec certaines télévisions et magnétoscopes contrecarrent cette diffusion. Après avoir reçu de nombreux appels d'abonnés mécontents, la chaîne décide de lever le cryptage17. *******       ebay6021/208