Rarissime et Exceptionnelle gravures sur bois datant de 1614 sur une famille de suricates , cette gravure est tirée d’un ouvrage d’Ambroise Paré, cet extraordinaire médecin pionnier de la Chirurgie Réparatrice et des Prothèses.

Ces quatre pages proviennent de l’ouvrage d’Ambroise Paré, elle décrit pour la première fois au grand public la vie des abeilles, des éléphants, des fourmis.... Magnifique texte.

Ces pages avec ces extraordinaires gravures sur bois ont été publiée en 1614 dans l’ouvrage célèbre d’Ambroise Paré, chirurgien du roi, originaire de Laval « Les oeuvres d’Ambroise Paré avec les figures et portraicts tant de l’anatomie que des instruments de chirurgie et de plusieurs monstres» Ces pages sont tirées du 2ème livre de l’ouvrage, « de l’excellence des hommes »

Ce sont sans nul doute les premières représentations graphiques de ces animaux. Extraordinaire document historique et scientifique. Magnifique gravure sur bois.

Ce document est au Format de 20/34 cm bon état voir photos, très bien conservé pour un document qui a plus de 440 ans.

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Source Wikipedia


Ambroise Paré, né vers 1510 (ou 1509 selon les sources) au Bourg-Hersent, près de Laval (Mayenne), et mort le 20 décembre 1590 à Paris, est un chirurgien et anatomiste français.


Chirurgien du roi et des champs de bataille, Ambroise Paré est souvent considéré comme le père de la chirurgie moderne1. Inventeur de nombreux instruments, il participe à l’amélioration et à la diffusion d’une technique de cautérisation d’un nouveau genre. L'utilisation généralisée des armes à feu confronte les chirurgiens à des plaies d'une sorte nouvelle, que l’on cautérise au fer rouge ou à l’huile bouillante au risque de tuer le blessé. Paré met au point la ligature des artères2, qu'il substitue à la cautérisation, dans les amputations.


« Je le pansay, Dieu le guarist » : cette phrase modeste de Paré est souvent citée pour résumer sa philosophie (citation en moyen français signifiant : « Je le pansai, Dieu le guérit. »)...


En 1553, il est prisonnier au siège de Hesdin25 (Vieil Hesdin26 actuellement avant sa destruction par Charles Quint).


À cette époque, la Confrérie de Saint-Côme, qui regroupait les barbiers-chirurgiens depuis le xiiie siècle, avait été transformée depuis peu en collège de chirurgie. Cependant, les chirurgiens restaient sous la tutelle des médecins et cherchaient à s'en affranchir, ou au moins à la limiter. Par exemple, les dissections et autopsies étaient effectuées par les chirurgiens, mais, en théorie, en présence d'un médecin, seul autorisé à en rédiger le compte-rendu. Paré ayant une grande réputation et le soutien du roi, le collège de Saint-Côme décida de s'adjoindre Paré. C'est ainsi qu'il reçut le bonnet de maître27 le 8 décembre 155428, malgré l'opposition de la faculté de médecine et sa piètre connaissance du latin, pourtant obligatoire. L'appui du roi a été le plus fort29.


En 1561 et 1562, il publie deux autres ouvrages dont son Anatomie universelle du corps humain. Le 1er janvier 1562, Catherine de Médicis le nomme premier chirurgien du roi Charles IX. Paré est ensuite renvoyé au secours des armées, d'abord à Rouen, puis à Dreux et au Havre. Les guerres de religion opposant catholiques et protestants (huguenots) ont repris de plus belle, ensanglantant le pays pour les trente années à venir. De 1564 à 1566, Paré accompagne Charles IX en visite à travers la France et en profite pour débusquer de nouvelles pistes de recherches. En 1564, il publie Dix livres de la chirurgie : avec le magasin des instrumens nécessaires à icelle, où se trouve le premier usage connu du mot bistouri (en fait bistorie, féminin) dans le sens chirurgical30.


La plus grande innovation est, pour les amputations, de ligaturer les artères et de panser la plaie avec un mélange de jaune d'œuf, d'huile rosate et de térébenthine plutôt que de cautériser avec de l'huile bouillante. Il jure de ne plus brûler aussi cruellement les pauvres blessés. La légende raconte qu'eut lieu entre Charles IX et Ambroise Paré cet échange verbal :


« — J'espère bien que tu vas mieux soigner les rois que les pauvres ?


— Non Sire, c'est impossible.


— Et pourquoi ?


— Parce que je soigne les pauvres comme des rois...