Victor HUGO (1802-1885) En janvier 1837, il se dit
« stupéfait de la conduite de l’Académie », qui a « fait toutes
ses preuves en fait de stupidité », « vous valez mieux tout seul que
les quarante enfermés dans ce bouge littéraire immortalisé par leur
bêtise », et après avoir continué à fustiger l’Académie française,
cependant, il exhorte Hugo à continuer à se présenter, car « ce n’est
point l’habit, l’épée, le fauteuil et la gloire que je vois dans l’académie,
j’y vois pour vous l’aurore d’une carrière politique », « quand vous
y serez vous galvaniserez ce corps éteint », et si il y a des Viennet,
Dupty et Etienne de Jouy (hostiles à Hugo), il y a aussi des amis en
Chateaubriand et Lamartine –