Sie bieten auf einen eigenhändigen, signierten Brief des Schriftstellers, Dichters und Journalisten Louis Piéchaud (1888-1965).

Auf Briefpapier der konservativen Tageszeitung "L'Écho de Paris", bei der Piéchaud angestellt war.

Datiert Paris, 14. Oktober 1929.

Gerichtet an eine ungenannte "Chére Madame".

Es geht u.a. um alte Möbelstücke.

Umfang: 4 S. (21,3 x 13,2 cm).

Zustand: Papier gebräunt, fleckig und etwas knittrig. Bitte beachten Sie auch die Bilder!

Parallel biete ich weitere französische Autographe an!


Über Louis Piéchaud und die konservativen Tageszeitung "L'Écho de Paris" (Quelle: wikipedia):

Louis Piéchaud, dit Norpois, né le 11 avril 1888 à Bordeaux et mort le 27 mars 1965, est un écrivain, journaliste et poète français.

Il fut membre de la Génération Perdue, et ami d'enfance de François Mauriac, André Lafon, Jean de La Ville de Mirmont et Jean Balde. C'est le frère cadet du romancier Martial Piéchaud.

Biographie: Louis Piéchaud est issu d'une famille de la grande bourgeoisie bordelaise. Son père, Timothée Piéchaud, était professeur à la faculté de Médecine de Bordeaux et éminent chirurgien. Sa mère, Marie Cardez, était la fille du comte romain Ferdinand Cardez, et descendait d'une vieille famille du négoce bordelais, sa famille possédant les châteaux Jourdan, Carsin et Deylet (Rions). Il fit ses études au Lycée Saint-Joseph-de-Tivoli à Bordeaux et obtint sa licence de droit et de lettres à Bordeaux. Il fit lui aussi la Grande Guerre et en sortit très marqué par l'horreur des tranchées d'une part, et la mort de ses amis André Lafon et Jean de La Ville de Mirmont d'autre part. Il fréquentait les milieux littéraires de Bordeaux. Après un long séjour au Canada, il entra comme secrétaire de Rédaction à L'Écho de Paris. Il collabora avec La Petite Gironde, la Vie Bordelaise, L'Écho de Paris, l’Epoque (critique littéraire), où il donna de très appréciées critiques littéraires sous le pseudonyme de Norpois, et au Figaro, où Louis Piéchaud publiait sa rubrique hebdomadaire Questions de language, très suivie des lecteurs. Il se maria avec Louise Maunoury, d'où un fils, Claude Piéchaud. Frère de Martial, Ferdinand Piéchaud et Pierre Piéchaud (médecin, peintre et poète) il est l'oncle des artistes Dominique et Bertrand Piéchaud. Il fut fait Chevalier de la Légion d'honneur en octobre 1955, et mourut le 27 mars 1965.

Œuvres

Recueils

1920 : Jeux pour se consoler, Paris, Éditions Au Cousin Pons.

1930 : Rubis : lumière de joie, Paris, G. Mauboussin.

1952 : Questions de language, Paris, Éditions du Lys.

Articles

1930 : Rubis lumière de joie, Paris, en collaboration avec Jean Léon, à l'occasion de l'exposition de Rubis par Kapp pour Mauboussin.


L’Écho de Paris war eine Tageszeitung in Paris von 1884 bis 1944.

Die Ausrichtung der Redaktion war konservativ und nationalistisch. Für sie tätige Schreiber waren u. a. Octave Mirbeau, Henri de Kérillis, Georges Clemenceau, Henry Bordeaux, François Mitterrand, Jérôme Tharaud und Jean Tharaud, Camille Saint saëns. Redakteur dort war u. a. Franc-Nohain, Illustrator u. a. Abel Faivre. Die Zeitung fusionierte 1933 mit Le Jour und nannte sich fortan Jour-Écho de Paris.


L'Écho de Paris est un quotidien français créé sous la Troisième République, publié entre 1884 et 1944, avec une orientation plutôt conservatrice et patriotique. Il a eu comme propriétaire le richissime Edmond Blanc (1856-1920).

Histoire: L'Écho de Paris a été fondé le 12 mars 1884 par Valentin Simond. D'abord journal du matin, il devint journal du soir en 1885, et redevint quotidien du matin en 18881. Aurélien Scholl en est le principal rédacteur dès ses débuts et forme avec Simond le duo qui fit le succès du journal.

Octave Mirbeau y a collaboré pendant les années 1880 et y a publié en feuilleton ses romans Sébastien Roch (1890), Le Journal d'une femme de chambre (1891) et Dans le ciel (1892-1893). Le radical Georges Clemenceau y rédigea quelques articles en 1897, juste avant de prendre part à l'Affaire Dreyfus. Dans ces mêmes années le rédacteur pour la politique étrangère du quotidien est le journaliste américain Henry Vignaud

Après la catastrophe de Courrières (1906), la grève faisant tache d'huile, L'Écho de Paris, affolé, titre « Vers la Révolution ».

À la fin de la Première Guerre mondiale, à l'automne 1918, comme d'autres journaux de droite (Le Matin, L'Action française…), L'Écho de Paris fait preuve de jusqu'au-boutisme, préconisant de marcher sur Berlin pour y signer l'armistice. L'année suivante, il soutient cependant le président du Conseil Clemenceau lors de la conférence de paix, espérant mettre à genoux l'Allemagne pour de bon.

Dans les années 1930, ce journal littéraire et politique conservateur (du soir puis du matin), fut proche de la Ligue des patriotes de Paul Déroulède, puis plus tard du Parti social français à partir de 1936. Son rédacteur en chef [Quand ?] était Henri de Kérillis. Le chef de la rubrique Affaires Étrangères [Quand ?] était André Géraud (Pertinax), et le chef de la rubrique des spectacles[Quand ?] était Paul Gordeaux, secondé par Pierre Lazareff. On y trouvait d'autres plumes[Quand ?], comme Raymond Cartier, Henry Bordeaux, ou encore Jérôme et Jean Tharaud.

Intitulé Écho de Paris jusqu'au 28 mars 1938, il prit le nom de Jour-Écho de Paris du fait de sa fusion avec le journal Le Jour dont le premier numéro datait du 4 octobre 1933. À partir du 12 juin 1940, le journal est publié en Zone Sud (Poitiers, Clermont-Ferrand, Marseille, puis, à nouveau Clermont-Ferrand), puis se saborde en 1942.

Directeurs et dirigeants

Valentin Simond

Edmond Blanc (Député-maire)

Paul Simond

François Edmond-Blanc (fils d'Edmond)

Henry Simond (1863-1937)

Collaborateurs notoires

Maurice Barrès

Édouard de Curières de Castelnau

Jean Delage

Louis Madelin

Étienne Mairesse

Guy de Maupassant

Catulle Mendès

Octave Mirbeau

François Mitterrand, responsable de la rubrique « La Vie des étudiants » de juillet 1936 à juillet 19372.

Abel Peyrouton

Louis Piéchaud

Jules Poignand (Montjoyeux)

Adolphe Possien

Fernand Sarnette

Armand Silvestre

Laurent Tailhade

Adolphe Tavernier

Henry Vignaud

Fernand Xau