Entré au service actif le 31 juillet 1935, au 3e régiment de lanciers, Gustave Rens passe successivement au 1er chasseurs à cheval, régiment avec lequel il fait la campagne des Dix-Huit Jours. Fait prisonnier après la capitulation, il s’évade de la Belgique occupée, le 1er mars 1942 ; il transporte en territoire libre, avec l’actuel ministre d’État Pierre Descamps, l’étendard de son régiment. Arrivé en Angleterre...

Caractéristiques

Format 11 x 18 x 1,5 cm
Nbr. de pages 172
Finition Broché collé
Aviation belge Oui
Année d’édition 1988
Langue Français
Auteur Colonel Gustave RENS
Collection / Série VECU PAR DES BELGES
Éditeur Éditions J. M. COLLET


Description

Entré au service actif le 31 juillet 1935, au 3e régiment de lanciers, Gustave Rens passe successivement au 1er chasseurs à cheval, régiment avec lequel il fait la campagne des Dix-Huit Jours. Fait prisonnier après la capitulation, il s’évade de la Belgique occupée, le 1er mars 1942 ; il transporte en territoire libre, avec l’actuel ministre d’État Pierre Descamps, l’étendard de son régiment. Arrivé en Angleterre par les Pyrénées, l’Espagne, le Portugal et Gibraltar, il rejoint la R.A.F. et suit l’entraînement comme pilote de chasseur-bombardier en Angleterre et au Canada, après quoi il est affecté à une escadrille britannique équipée de Tempest-V de la 2nd Tactical Air Force, au sein de laquelle il participe aux opérations sur le continent. Après 1946, au fil de sa brillante carrière, il est promu successivement à diverses fonctions. Le 1er octobre 1965, il est nommé attaché de presse - conseiller à l’information au cabinet du ministre de la défense nationale. Il occupe ces fonctions jusqu’au 1er avril 1973.

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Les Belges dans la Bataille d’Angleterre

Après la guerre éclair de mai-juin 1940, le désastre de Dunkerque et la capitulation de la France, le monde entier était convaincu que l’Angleterre, seule, ne tiendrait pas longtemps devant les armées victorieuses de Hitler.
On attendait, mais avec beaucoup de scepticisme, une riposte britannique.
Dans la journée de 17 juin, Churchill avait reçu de Gaulle, partit de Bordeaux le matin même en avion et sans attendre, il mit la B.B.C. à sa disposition ce qui nous valut le célèbre appel du 18 juin, réponse en quelque sorte à l’appel dramatique du Maréchal Pétain prononcé la veille sur les ondes.
Au lendemain du 22 juin 1940, l’Angleterre se trouvait dans une situation extrêmement tragique. Hors de l’Empire ce fut l’absence complète d’appui.
Après la Pologne, la France avait été mis hors combat; la Belgique, les Pays-Bas, le Danemark et la Norvège occupés par l’Allemagne et l’Italie de son côté; le Japon en guerre avec la Chine ne dissimulait pas ses sympathies pour le IIIème Reich; l’Espagne pas très bienveillante et on pouvait se demander si Franco n’allait pas permettre aux troupes du Reich de traverser son territoire en direction de Gibraltar, et les pays balkaniques terrorisés et dociles, Grèce exceptée, aux signes de Berlin.
Aux Etats-Unis, le Président Roosevelt, antinazi convaincu devait compter avec le Congrès et une opinion publique résolument en faveur de la paix.


Ils étaient une poignée...

Les Belges rentraient chez eux après leur pénible exode, l’armée était prisonnière et l’aéronautique militaire avait cessé d’exister. C’est dans ce contexte qu’une poignée d’aviateurs refusa d’accepter cette situation et préférant le combat aux camps de prisonniers ou à l’inactivité, ils s’échappèrent, malgré les ordres qui le leur interdisaient, de France ou du Maroc pour rejoindre la Grande-Bretagne.
Certains parmi eux furent portés déserteurs et condamnés pour détournement de matériel militaire à des peines de prison, des amendes e à la destitution.
Cent vingt-quatre aviateurs et candidats furent ainsi groupés en Angleterre avant le mois d’août 1940. Vingt-neuf parmi eux étaient utilisables immédiatement dans les escadrilles du Fighter Command. Les autres devaient d’abord passer par un ré-entraînement réduit ou un entraînement complet avant de pouvoir penser au combat.
Comme il n’y avait aucune possibilité de constituer à cette époque des unités belges et la situation de guerre ne permettant pas le moindre délai, quinze pilotes belges furent immédiatement répartis entre les escadrilles de Hurricane du Fighter Command n° 87, 213, 32, 43, 145, 46 et 229.
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Dans la même collection :

 

LE DERNIER RAID

LES BELGES DE LA BATAILLE D’ANGLETERRE 1940

LES BELGES DE LA R.A.F

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V1

 






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