Biographie :
MICHEL-HENRY est né en 1928 à Langres dans l'Est de la
France. Il
montra très tôt des dispositions enthousiastes pour la
peinture et
s'inscrivit à l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts
où il devint
élève «massier» (chef d'atelier) à l'Atelier du Maître
Chapelain-Midy.
Appartenant
à l'école de Paris, comme Bernard Buffet ou Jean
Carzou, il s'en
distingue par la joie et la gaité qui habite ses
toiles, tandis que ses
contemporains et codisciples sont plus sombres et
plus misérabilistes.
Car il y a de la joie, de l'énergie, du bonheur
chez MICHEL-HENRY ! Un
plaisir à vivre, à peindre, à aimer, qui en en
fera un artiste adulé
dans le monde entier.
Il
expose dans de très nombreuses galeries sur les
quatre continents et sa
signature est un label recherché et admiré. En
1967, il rassemble de
précieuses lettres de noblesse en exposant à
New-York, Palm-Beach,
Beverly-Hill et Paris. Sa «pérode fleurie» lui
garantit un succès à
l’allure programmée aussi bien pour la
présentation de ses
réalisations, toujours attendues que par les
récompenses qu’elles
reçoivent. Après une percée rapide et
spectaculaire sur le marché
américain, c’est en Polynésie française qu’il
découvre un décor que la
nature semble avoir installlé spécialement pour
lui. Puis c’est en
Afrique qu’il réussit une nouvelle expérience en
participant à une
exposition à Abidjan. A partir de 1990, de
nombreux voyages se
succèdent en Asie et au Moyen-Orient. A
l’exposition des peintres
contemporains français de 1990 au Japon, il vend
des huiles de grandes
dimensions particulièrement remarquées et, à Tokyo
en 1994, il jouira
également d’une audience admirative. D’ailleurs,
au Japon, un musée lui
est personnellement consacré près de la ville de
Sapporo, chose
extrêment rare pour un artiste de son vivant. Il a
pu suivre son
installation confortable dans plus de quinze
musées répartis dans le
monde entier dont le Musée d’Art Moderne à Paris.
C’est le couronnement
d’une carrière marquée également par de nombreux
prix, dont entre
autres, celui de la Maison Descartes d’Amsterdam,
de la Casa Velasquez
en Espagne et la Médaille d’Argent de la Ville de
Paris.
La France, reconnaissant en lui l’ambassadeur
incontesté de ses beautés
et de son bon goût, lui a décerné la Légion
d’honneur en 1981.
« Lorsque
MICHEL-HENRY prétend se
limiter à jouer “le flûte” dans le concert de la
peinture (...), il est
néanmoins un instrumentiste de premier ordre,
capable de jouer comme
personne puisque la musique qu’il fait si bien
avec ses brosses n’a pas
sa pareille de par son originalité et la
maîtrise technique qu’il
apporte à son exécution qui enchante, sous tous
les ciels, une élite
cosmopolite à même d’établir le départ entre la
vraie musique fort bien
faite et le bastringue mal fichu. »,
Michel CIRY
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« Le
goût et la technique ici montent la garde sans
marchander le plaisir.
Aucun doute: pour MICHEL-HENRY l'œil est la glande qui
jouit le plus. », Hervé BAZIN
« Voici que MICHEL-HENRY eut le
courage d'être heureux, et de le dire. Il réapprit aux
Français et aux
Américains qu'il y a des fleurs dans les champs
inventées par le Bon
Dieu, et bonnes à cueillir, comme de jeunes paysannes
sont bonnes à
embrasser. », Edouard MAC-AVOY
Biography:
MICHEL-HENRY was born in 1928 in Langres in eastern
France. He showed an enthusiastic disposition for painting
very early on and enrolled at the École Nationale
Supérieure des Beaux-Arts where he became a “massier”
student (head of workshop) at the Atelier du Maître
Chapelain-Midy.
Belonging to the school of
Paris, like Bernard Buffet or Jean Carzou, he is
distinguished by the joy and gaiety that inhabits
his paintings, while his contemporaries and
co-disciples are darker and more miserable.
Because there is joy, energy, happiness at
MICHEL-HENRY! A pleasure to live, to paint, to
love, which will make him an artist adored around
the world.
He exhibits in many galleries on four continents
and his signature is a sought-after and admired
label. In 1967, he gathered precious letters of
nobility by exhibiting in New-York, Palm-Beach,
Beverly-Hill and Paris. Its "flowering period"
guarantees it success at the scheduled pace both
for the presentation of its achievements, always
expected, and for the rewards they receive. After
a rapid and spectacular breakthrough in the
American market, it was in French Polynesia that
he discovered a setting that nature seemed to have
installed especially for him. Then it was in
Africa that he succeeded in a new experience by
participating in an exhibition in Abidjan. From
1990, many trips followed one another in Asia and
the Middle East. At the 1990 Exhibition of
Contemporary French Painters in Japan, he sold
large-scale oils that were particularly notable,
and in Tokyo in 1994 he also enjoyed an admiring
audience. Moreover, in Japan, a museum is
personally dedicated to him near the city of
Sapporo, an extremely rare thing for an artist
during his lifetime. He was able to follow his
comfortable installation in more than fifteen
museums around the world including the Museum of
Modern Art in Paris. It is the crowning of a
career also marked by numerous awards, including,
among others, that of the Maison Descartes in
Amsterdam, the Casa Velasquez in Spain and the
Silver Medal of the City of Paris.
France, recognizing in him the undisputed
ambassador of his beauty and good taste, awarded
him the Legion of Honor in 1981.
“When MICHEL-HENRY claims to limit himself to
playing 'the flute' in the concert of the
painting (...), he is nevertheless a first-rate
instrumentalist, capable of playing like no one
else since the music he does so well with his
brushes have no equal for their originality and
the technical mastery that they bring to their
performance which enchants, under all skies, a
cosmopolitan elite able to establish the
departure between real music, very well done and
the bastringue badly done." Michel CIRY
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“Taste and technique here stand guard
without compromising on pleasure. No doubt: for
MICHEL-HENRY the eye is the gland that enjoys the most."
Hervé BAZIN
“Here is that MICHEL-HENRY had the courage to be happy,
and to say it. He reminded the French and Americans that
there are flowers in the fields invented by God, and
good to pick, just as young peasant women are good to
kiss." Edouard MAC-AVOY
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Années
1950, L’Alternative
figurative ou la
Jeune peinture :
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, les
années 1950 en France sont
caractérisées par l’expression
d’interrogations existentielles, reflets
de l’angoisse et des incertitudes d’une
humanité qui découvre l’étendue
de l’horreur nazie, puis les désillusions de
la guerre froide. Cette
période révèle une nouvelle génération de
peintres mûris précocement
par les souffrances et les privations des
années noires. Ils proposent
une vision du monde où l’Homme, et non l’Idée,
occupe une place
centrale. Un demi-siècle a passé. Le temps est
venu de rendre hommage à
ces artistes, à ces collectionneurs, publics
et privés, qui ont eu à
cœur de défendre une alternative figurative
face à l’abstraction
conquérante.
www.jeune-peinture.com
Françoise
Adnet, Paul Aïzpiri, Jean-Pierre Alaux, Guy
Bardone, Richard
Bellias, André Brasilier, Bernard Buffet,
Jacques Busse, Jean-Marie
Calmettes, Jean Chevolleau, Paul Collomb, Jean
Commère, Jean Cortot,
Daniel Dalmbert, Michel de Gallard, René
Genis, Raymond Guerrier,
Vincent Guignebert, Paul Guiramand, Camille
Hilaire, Jean Jansem,
Jacques Lagrange, Bernard Lorjou, Jean
Marzelle, André Minaux, Marcel
Mouly, Michel Patrix, Pierre-Henry ,Jean
Pollet, Raoul Pradier, Daniel
Ravel, Paul Rebeyrolle, Claude Schürr, Michel
Thompson, Maurice
Verdier, Claude Weisbuch, Nouvelle Ecole de
Paris. |
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