Introduction et adaptation par Willy Coppens de Houthulst. Le 19 août 1940, Léon Divoy et plusieurs de ses frères d’arme se ressaisissent et reprennent la lutte sous les cocardes anglaises...

Exemplaire dédicacé par l’auteur et par Willy Coppens de Houthulst

Exemplaire numéroté 73

Sergent-pilote à la 3è escadrille d’Aviation belge, le 10 mai 1940, candidat sous-lieutenant, Léon Divoy, après huit jours de campagne, suivit son escadrille dont tous les avions étaient détruits ou endommagés — jusque dans le Midi de la France, où treize escadrilles belges hors de combat se trouvaient au moment de l’armistice du 25 juin. Le 19 août, par ordre du Gouvernement Pierlot, général en tête, le personnel de ces escadrilles (sauf quelques « déserteurs » partis pour rallier les unités de la R.A.F.) rentrait en Belgique occupée. C’est alors que Léon Divoy et plusieurs de ses frères d’arme, s’étant ressaisis, voulurent également reprendre la lutte sous les cocardes anglaises. Tandis que d’autres tentaient le passage des Pyrénées et la traversée de l’Espagne, Léon Divoy, entraînant un de ses camarades, entreprit de s’évader par la voie des airs. Il y réussit à bord d’un avion de tourisme subtilisé dans son hangar. C’est l’aventure qu’il a contée dans « Cap 300 », ainsi que la suite qui devait le mener jusqu’au Stalag Luft III, dans la forêt de Sagan.

 

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Exemplaire vendu lors de la conférence du 16 novembre 1969 organisée par Le Cercle des Officiers de Réserve de Bruxelles.

Willy Coppens de Houthulst y présentait le sujet ’ Le vol historique réussi par les deux aviateurs belges en Essex dans la nuit du 4 au 5 juillet 1941 ’

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