Un ouvrage exceptionnel sur les combats aériens au-dessus de l’Australie, de 1942 à 1945, entre aviations alliées et japonaise. L’auteur a minutieusement effectué ses recherches dans les archives des deux camps.

Un ouvrage exceptionnel sur les combats aériens au-dessus de l’Australie, de 1942 à 1945, entre aviations alliées et japonaise. L’auteur a minutieusement effectué ses recherches dans les archives des deux camps. Nombreuses photos et profils couleur.

(Source : avions-bateaux.com)

 

 

 

L’HISTOIRE 

Lorsque le coup de tonnerre de l’attaque japonaise contre Pearl Harbor éclate fin 1941, l’Australie se trouve soudain dans une situation pour le moins délicate. Depuis 1939, se croyant protégée par l’Eastern Fleet de la Royal Navy et les garnisons anglaises de Malaisie et de Singapour, elle a expédié le gros de son armée outre-mer pour aider l’effort de guerre britannique.

Pour sa défense aérienne et la couverture de ses 20 000 km de côtes, la RAAF ne dispose que de peu d’appareils. Mais sa détermination farouche, aidée en cela par quelques maigres forces néerlandaises, britanniques et étasuniennes, va lui permettre de repousser, après de durs combats, la tentative d’invasion nippone.

 

 

 

 

À PROPOS DE L’AUTEUR 

Bernard Baëza tombe dans l’histoire en général et dans l’histoire de l’aviation en particulier à l’âge de 11 ans, le jour où, par le plus grand des hasards, lui passe entre les mains Dieu est mon copilote de Robert L. Scott. Une passion dévorante naît à cette occasion... Les années suivantes, Bernard Baëza les passe à rechercher, dévorer et collectionner tous les ouvrages se rapportant à ce volet historique assez peu connu des Français que constitue la guerre aérienne en Asie et dans le Pacifique et ses à acteurs, hommes et avions.

À l’âge adulte, après un passage dans l’armée de Terre, c’est vers la Police nationale qu’il se tourne, corps dans lequel il exerce aujourd’hui le commandement de l’unité de voie publique du commissariat de La Seyne-sur-Mer dans le Var. Guidé par sa passion qui le pousse parallèlement à devenir pilote d’ULM, il voyage et contacte plusieurs historiens et auteurs étrangers que séduisent son entrain, son sérieux et ses connaissances. Ces amitiés lui permettent, récompense suprême, d’avoir accès aux archives américaines, australiennes et... japonaises. Dès lors, il met au service du travail d’historien son expérience de l’enquête pour nous apporter par le biais d’une dizaine d’articles parus dans Avions et Le Fana de l’Aviation un regard aussi nouveau que précis sur des combats aériens généralement ignorés du public français où racontés du seul point de vue des Alliés.

Pour son premier livre, Bernard Baëza a longuement et méticuleusement enquêté sur des faits que les historiens anglo-saxons eux-mêmes n’ont jamais abordés dans leur intégralité. Il nous livre un travail d’orfèvre appelé à faire référence.

 

 

 

 

 

REMERCIEMENTS 

Ce livre est le fruit de huit années de recherches qui m’ont amené à contacter de nombreux auteurs et historiens sans l’aide desquels il n’aurait jamais pu voir le jour. Tous m’ont amicalement fourni assistance et encouragements. À ce titre, je leur adresse mes plus sincères remerciements. Je pense en tout premier lieu à mon ami le professeur Kyoichi Tachikawa du Boeï Kenkyû Jô de Tokyo que j’ai sollicité des centaines de fois, souvent pour des détails, et qui s’est toujours montré disponible et bienveillant. En plus de m’avoir ouvert les portes du bureau d’histoire militaire de L’Institut national pour les Études de Défense de Tokyo où sont conservées les archives de la Seconde Guerre mondiale, il a eu l’incommensurable gentillesse de me les traduire. Je serai à jamais son obligé. Que soit également remercié mon autre ami japonais de longue date, le professeur Yasuho Izawa dont les ouvrages qu’il a bien voulu me traduire ont, eux aussi, constitué une aide capitale. Pour leurs encouragements et les photos qu’ils m’ont procurées, ma reconnaissance va également à MM. Shori Tanaka et Yasuô Kumoi.

Pour ce qui est des sources alliées, mes remerciements les plus chaleureux vont à Alexander ’Lex’ McAulay, un historien australien qui m’a fait l’honneur de m’accorder son amitié il y a seize ans de cela et qui, depuis, ne cesse d’épauler mes recherches. Comme lui, Robert K. Piper m’a fourni de nombreuses informations et de chaleureux encouragements. Du côté américain, les encouragements de MM. Stanley C. Jersey et Raymond F. Toliver m’ont toujours fait chaud au cœur. Je remercie également pour les précisions qu’il a eu la gentillesse de m’apporter, Ted Williams, auteur d’un travail remarquable sur l’histoire du 380th BG. Pour sa fidélité et ses encouragements envoyés de Nouvelle-Zélande, je tiens à ne pas oublier Bryan Cox, un ancien chasseur de la RNZAF.

Beaucoup plus proches de moi, ma reconnaissance va à mon old brother seynois Pascal Scatena pour les longues heures passées à constituer l’iconographie et à Dominique pour sa patience et son indéfectible soutien.

Je terminerai en remerciant les nombreux libraires que j’ai sollicité à travers le monde, via le Net, afin de me procurer la documentation nécessaire. Je ne peux tous les citer et je m’en excuse. Qu’ils sachent cependant que je leur suis particulièrement reconnaissant tout comme je suis reconnaissant à Michel Ledet de m’avoir fait confiance et d’avoir cru en cet ouvrage.

 

Collection Histoire de l’Aviation n° 19 - 5