Sam KANER (1924-1990)







Description :
Magnifique dessin sur papier.


Signature : Monogrammée en bas à droite.

Titre : Nu.

Date de création : Années 50.

Dimensions : 21 x 14,5 cm.

Condition : Bon état.

















Technical: Very Beautiful Drawn on Paper.

Signature: Monogramned lower right.

Title: Nude.

Date of creation: 50s.

Sizes: 8.3" x 5.7" in.

Condition: Good condition.

Biographie :

Sam Kaner est un peintre danois qui a travaillé a participé au groupe CoBrA avec Karel Appel, Corneille... Mais aussi les tachistes américains Sam francis, Paul Jenkins ou Hans Hofmann. Il est passé du figuratif à l'abstraction. Il a été un important galeriste à Copenhague, travaillant avec de grandes galeries internationales.


Biografi:

Sam Kaner, dansk 1924-c.1990- Kunstneren Sam Kaner styrede også American Art Gallery (senere kendt som Court Gallery) i København, hvor der blev afholdt udstillinger af COBRA-kunstnere og andre inklusive Karel Appel, Lynn Chadwick eller Tachist-lignende Sam Francis, Hans Hofmann, Paul Jenkins.


Biography:

Sam Kaner, Danish 1924-c.1990- The artist Sam Kaner also ran the American Art Gallery (later known as the Court Gallery) in Copenhagen where were held exhibitions of the COBRA artists and others including Karel Appel, Lynn Chadwick, or Tachist like Sam Francis, Hans Hofmann, Paul Jenkins.



D'après Wikipédia.

Le cubisme est un mouvement artistique qui s'est développé principalement de 1907 à 1914 à l'initiative des peintres Georges Braque, Pablo Picasso, Jean Metzinger, Albert Gleizes, Robert Delaunay, Henri Le Fauconnier et Fernand Léger. La période la plus innovante du cubisme fut avant 1914. Après la Première Guerre mondiale, avec le soutien apporté par Léonce Rosenberg, le cubisme redevient une question centrale pour les artistes, et continue en tant que tel jusqu'au milieu des années 1920 lorsque son statut d'avant-garde est rendu douteux par l'avènement de l'abstraction géométrique et du surréalisme. Picasso, Braque, Gris, Léger, Gleizes et Metzinger, tout en développant d'autres styles, retournent périodiquement au cubisme, même bien après 1925.
L'origine du mot
Le terme cubisme provient d'une réflexion d'Henri Matisse, relayée par le critique d'art Louis Vauxcelles, qui, pour décrire un tableau de Braque, parla de « petits cubes ». Auparavant, dans un contexte similaire, le critique Louis Chassevent, dans son article de 1906 sur "Les Artistes indépendants", définit alors Jean Metzinger comme "un mosaïste comme Signac, mais il est plus précis dans sa découpe des cubes de couleurs, qui semblent avoir été fabriqués par une machine".
L'usage général du terme « cubisme » date de 1911, principalement en référence à Metzinger, Gleizes, Delaunay et Léger. En 1911, le poète et critique Guillaume Apollinaire a accepté le terme au nom d'un groupe d'artistes invités à exposer au Indépendants de Bruxelles. L'année suivante, en préparation du Salon de la Section d'Or, Metzinger et Gleizes écrit et publié Du "Cubisme" dans un effort de dissiper la confusion qui fait rage autour du mot, et comme un moyen de défense majeur du cubisme (qui avait causé un scandale public à la suite du Salon des Indépendants de 1911 et le Salon d'Automne de 1912). Clarifiant leurs objectifs en tant qu'artistes, ce travail a été le premier traité théorique sur le cubisme et il reste encore la plus claire et plus intelligible. Le résultat, non seulement une collaboration entre ses deux auteurs, reflète des discussions du cercle d'artistes qui se sont réunis à Puteaux et Courbevoie. Il reflète les attitudes des «artistes de Passy», qui comprenait Picabia et les frères Duchamp, à qui certaines de ses passages ont été lus avant publication. Le concept développé dans Du "Cubisme"d'observer un sujet à partir différents points dans l'espace en même temps, c'est-à-dire, l'acte de se déplacer autour d'un objet
pour le saisir à partir de plusieurs angles successifs fusionnés en une seule image (des points de vue multiples ou la perspective mobile), est maintenant un phénomène généralement reconnu pour décrire le cubisme.

Pablo PICASSO
Le manifetso Du "Cubisme" par Metzinger et Gleizes a été suivie en 1913 par Les Peintres Cubistes, une collection de réflexions et de commentaires de Guillaume Apollinaire8. Apollinaire avait été étroitement associé à Picasso depuis 1905, et de Braque depuis 1907, mais a donné autant d'attention à des artistes tels que Metzinger, Gleizes, Delaunay, Picabia et Duchamp.

Le concept
Le cubisme prend sa source dans une lettre de Cézanne à Émile Bernard, du 15 avril 1904, de laquelle sera tirée une phrase souvent répétée pour justifier les théories cubistes : « Traitez la nature par le cylindre, la sphère, le cône, le tout mis en perspective, soit que chaque côté d'un objet, d'un plan, se dirige vers un point central. » Cependant la suite de cette phrase est souvent occultée : « Les lignes parallèles à l'horizon donnent l'étendue, soit une section de la nature ou, si vous aimez mieux, du spectacle que le Pater Omnipotens Aeterne Deus étale devant nos yeux. Les lignes perpendiculaires à cet horizon donnent la profondeur. Or, la nature, pour nous hommes, est plus en profondeur qu'en surface, d'où la nécessité d'introduire dans nos vibrations de lumière, représentées par les rouges et les jaunes, une somme suffisante de bleutés, pour faire sentir l'air ». Le Cubisme est sans doute le mouvement le plus décisif de l’histoire de l’art moderne. Héritant des recherches de Cézanne sur la création d’un espace pictural qui ne soit plus une simple imitation du réel, et des arts primitifs qui remettent en cause la tradition occidentale, le Cubisme bouleverse la notion de représentation dans l’art. Comme le dit John Golding, historien de l’art et spécialiste de ce mouvement, « le cubisme est un langage pictural absolument original, une façon d’aborder le monde totalement neuve, et une théorie esthétique conceptualisée. On comprend qu’il ait pu imprimer une nouvelle direction à toute la peinture moderne ».

Georges BRAQUES
Le cubisme veut aussi se justifier et se rattacher à Cézanne par la recherche d'une solidité et d'une densité en réaction aux recherches des effets lumineux et atmosphériques des Impressionnistes qui, du moins dans un certain nombre de paysages, tendent à noyer et éthérer les volumes dans des papillotements de couleurs. Mais là encore, c'est sans doute aller au-delà de ce que prônait Cézanne.
C'est donc vraisemblablement sur un malentendu qu'à partir de 1907 et les Demoiselles d'Avignon ou Bordel d'Avignon (considérées généralement comme le premier tableau cubiste) Picasso et Braque appliqueront leurs théories, non seulement aux paysages mais aussi aux natures mortes et à la figure humaine.
À partir de 1910, avec ce que l'on nommera le « cubisme analytique », ces deux peintres vont affirmer une rupture avec la vision classique déjà entamée depuis quatre ans. Ils abandonnent l'unicité de point de vue du motif pour en introduire de multiples sous des angles divers, juxtaposés ou enchevêtrés dans une même œuvre. Ils s'affranchissent de la perspective pour donner une importance prépondérante aux plans dans l'éclatement des volumes.

Le cubisme dans l'Histoire de l'art
Vers l'abstraction...
Le cubisme, comme le souligne Apollinaire dans Les Peintres cubistes, Méditations esthétiques (1913), a ouvert la voie de l'abstraction (orphisme, suprématisme, futurisme, rayonnisme, Bauhaus) et de l'art conceptuel (Dada), bien que le cubisme n'ait pas produit d'œuvres totalement dénuées de lien avec la réalité. D'une façon plus générale, presque tous
les artistes importants qui réussiront à trouver un style personnel avant la Première Guerre mondiale, seront passés à un moment ou à un autre, par une phase cubiste (Marcel Duchamp, Francis Picabia, Vassily Kandinsky, František Kupka, Robert Delaunay, Piet Mondrian, Léopold Survage, Kurt Schwitters).

Les courants voisins du cubisme
Le cubisme, qui décompose les objets, est proche de trois mouvements :
    le futurisme, qui décompose le mouvement,
    l'orphisme, qui décompose la lumière,
    le rayonnisme : synthèse du futurisme, de l'orphisme et du cubisme.