A suivre sur ebay
aux enchères et dans ma Boutique "AmidesLivres"
un Important ensemble consacré à la Danse et au Ballet, en particulier
Opéra Garnier à Paris, dans les annéees 1980/90

Rudolf NOUREEV, Sylvie GUILLEM, PATRICK DUPOND, LAURENT HILAIRE, 
MAURICE BEJART, Jérome ROBBINS
&c...&c...

PHOTOGRAPHIES
 LIVRES - DOCUMENTS DIVERS - PROGRAMMES - AFFICHES 
PROVENANT DE LA COLLECTION PERSONNELLE DE
 JOSSELINE LE BOURHIS

Josseline Le Bourhis

Etudes littéraires (licence de lettres classiques et modernes)
Parallèlement études musicales et Théatre Universitaire
Maîtrise d'études théatrales à la Sorbonne (Section Dramaturgie)
Responsable relations publiques, Informations/Publications, communication et presse pour la Maison de la Culture d'Angers puis la Maison de la Culture de La Rochelle et Compagnie de Danse "Théatre du Silence"
Assistanat mise en scène au Théatre musical d'Angers
Programmation - Danse sur La Rochelle

De 1983 à 2002, Josseline Le Bourhis fut en charge de la Dramaturgie et des Publications 
de la Danse à l'Opéra de Paris, et notamment auprès de Rudolf NOUREEV, Directeur de la Danse de 1983 à 1989, et qui avait d'ailleurs voulu la création d'un tel poste

Egalement enseignement, Histoire de la Danse au CNSM de Lyon, collaboration à plusieurs films réalisés sur la danse pour la 5 et Arte et collaborations à plusieurs livres sur la danse

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[PHOTOGRAPHIES]

TIRAGE ARGENTIQUE D'EPOQUE
 
Nous démarrons ici la vente des très nombreuses (plusieurs centaines) 
Photographies présentes dans la collection; 
période antérieure à la présence de Josseline le Bourhis à l'Opéra de Paris

concernant les spectacles très divers (Musique, Théatre & Danse) à l'organisation desquels elle a pu participer: Maison de la Culture d'Angers (68-74), Maison de la Culture de La Rochelle (après 1974), B.T.C., Théatre du Silence, Festival d'Avignon années 1970,
&c...

Ces photographies (sauf mention contraire) sont toutes de Josseline Le Bourhis, parfois avec son tampon et souvent avec indications manuscrites au verso
En grande majorité inédites, précieux témoignage d'une intense période d'activité culturelle en France, après Mai 68...

Je ne dispose pour la plupart des photos que d'un seul exemplaire,
 ne laissez donc pas passer l'occasion...

Vous trouverez ces photos au format d'enchères sur ebay,
 et un grand nombre d'autres photos à prix fixe en achat immédiat dans ma boutique ebay

Merci de me contacter pour toute question
(mes coordonnées tout en bas des fiches descriptives)

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Format environ 17,5x12,5cm 

Tirage argentique d'époque
Mentions à l'encre et crayon au verso
ainsi que tampon de la Photographe

"Marchands de Ville"

26 Octobre 1972

3 dates seulement pour ce spectacle
24 et 27 Octobre 1972 à Angers
&
26 Octobre à Trélazé

[5]

(d'autres photos de ce spectacle en achat immédiat dans ma boutique ebay...)

Angers (Banlieue)
Trélazé, Gymnase Léo Lagrange

AMCA
(1968-1974)

Théatre de l'Aquarium
(compagnie invitée)

 Le théâtre de l'Aquarium est un théâtre installée à la Cartoucherie de Vincennes 
dans le 12e arrondissement de Paris. Il jouxte les autres théâtres de La Cartoucherie : le Théâtre du Soleil, 
le Théâtre de la Tempête, le Théâtre de l’Épée de Bois et les Ateliers de Paris-Carolyn Carlson.

Historique
1965, création de la troupe Théâtre de l'Aquarium
Le Théâtre de l'Aquarium - nommé ainsi en référence au jardin intérieur de l'école ainsi baptisé par les étudiants - fut d'abord une troupe universitaire formée uniquement de normaliens réunis autour de Jacques Nichet à l'E.N.S.
 Les étudiants souhaitaient alors renouveler la mise en scène universitaire à travers des nouvelles interprétations de textes et des recherches scéniques. La troupe s'agrandit par la suite pour accueillir des étudiants d'autres E.N.S. 
et s'ouvre vers un public non-universitaire.

Quelques-unes des pièces mise en scène à l'époque sont : Les Grenouilles d'Aristophane (1965, mise en scène de Jacques Nichet, dans une traduction originale de Victor Henri Debidour), Et les chiens se taisaient (1965, création d'après Aimé Césaire), Monsieur de Pourceaugnac (1965-66, réinterprétation d'après Molière), 
Tatiana Repina (d'après Anton Tchekhov)...

À l'époque, la troupe se présente ainsi :

"Littéraires, scientifiques, venus de St-Cloud ou de Sèvres, de Fontenay-aux-Roses ou de la rue d'Ulm, nous travaillons dans l'esprit de la Fédération Nationale du Théâtre Universitaire : gardant l'anonymat, nous évitons de plagier les professionnels, et nous recherchons un style nouveau ou un répertoire original".

Après la création de L'héritier ou les étudiants pipés - jouée pendant les révoltes de mai 68, elle traite des inégalités sociales dans l'enseignement supérieur6- la troupe est remarquée pour ses Guerres picrocholines (d'après Rabelais), spectacle pour lequel Jean-Louis Benoît rejoint la troupe. En 1967, applaudie par la presse, la pièce mène le Théâtre de l'Aquarium au Théâtre du Vieux-Colombier à Paris puis en Amérique latine en 1969. À son retour, la compagnie est en partie dissoute et, désirant se professionnaliser, elle s'ouvre à de jeunes acteurs comme Didier Bezace.

Au début des années 1970, le Théâtre de l'Aquarium s'installe à la Cartoucherie, dans le bois de Vincennes
Fin des années 1960, début des années 1970, n'ayant pas de statut et pas de soutien, le Théâtre de l'Aquarium est en difficulté. Une réforme du fonctionnement de la troupe est mise en place fin 1972 par Jacques Nichet qui devient alors l'animateur-metteur en scène.

"Personne n'est employé par personne, les risques sont partagés, salaire identique, droit de contrôle et de critique, droit de choix du répertoire. (...) Voilà donc le but que je fixe à l'Aquarium : un nouvel apprentissage du monde, voir autrement les rapports des hommes entre eux. Cet "Autrement" (...) c'est le désir de se renouveler, de renouveler les autres en présentant l'inconnu sous le connu, l'insolite sous le banal, l'instabilité sous la stabilité, le rêve sous le prosaïque, la contradiction sous l'inédit". - Jacques Nichet

En mutation et à la recherche d'un lieu, la troupe finit par s'installer en 1972 à la Cartoucherie sur les encouragements d'Ariane Mnouchkine et de Jean-Marie Serreau en 1972, déjà sur place.
 Pendant plusieurs mois, menée par Jacques Nichet, Jean-Louis Benoît et Didier Bezace, la troupe transforme de ses mains la longue nef de 50 mètres en théâtre ouvert à de multiples possibilités scénographiques.

"En s'installant à la Cartoucherie, le Théâtre de l'Aquarium choisit à son tour de garder sa liberté en ne dépendant que de lui-même pour le choix et le rythme de ses productions, mais s'engage également dans le périlleux processus consistant à être "condamné au succès" pour pouvoir vivre".

Durant les années 1970, la troupe pratique principalement la création collective (sous le regard synthétiseur de Jacques Nichet) : il s'agit de créer des spectacles à partir d'improvisations, réécrites par l'ensemble de la troupe. Il n’est plus question de mettre les classiques à la portée de tous, ni même d’en proposer une « lecture » originale, mais de créer un théâtre nouveau, immédiat et visuel, en prise directe avec l’actualité, s’écrivant à partir de multiples improvisations nourries de documents, d’interviews et de longues enquêtes sur le terrain. Parmi les spectacles réalisés à l'époque : Gob ou le journal d'un homme normal (1973), Marchands de ville - sur les grandes restructurations urbaines et contre les expulsions abusives (1972), ou encore La jeune lune tient la vieille lune toute une nuit dans ses bras - sur les occupations d'usines (1976).

Comme les autres théâtres de La cartoucherie, l’Aquarium fonctionne dans une grande précarité économique : si les subventions permettent bon an mal an de répéter et créer un spectacle, ce sont le seul succès public et les tournées qui décident de sa viabilité dans le temps.

Les années 1980 et l'évolution du collectif
Durant les années 1980, Jean-Louis Benoît, Didier Bezace et Jacques Nichet signent les spectacles, conçus très souvent en collaboration mais de moins en moins collectivement, et de plus en plus à partir de textes préexistants (souvent non théâtraux) : Flaubert (mise en scène de Jacques Nichet, 1980), Un conseil de classe très ordinaire (mise en scène de Jean-Louis Benoît, 1981), Correspondance (mise en scène de Jacques Nichet, 1982), Histoires de famille (mise en scène de Jean-Louis Benoît, 1983), Les heures blanches (adaptation de Didier Bezace et Jacques Nichet, 1985).

Peu à peu, le collectif militant se dissout, et bon nombre des membres de la troupe choisissent
 d’aller réinventer ailleurs leur parcours artistique

En 1986, Jacques Nichet quitte le Théâtre de l’Aquarium pour aller diriger le Théâtre des Treize Vents, 
Centre dramatique national de Montpellier Languedoc-Rousillon.

Jean-Louis Benoit et Didier Bezace continuent à travailler côte à côte, ou du moins tour à tour : Benoît signe entre autres Le procès de Jeanne d’Arc, veuve de Mao Tsé Toung, La peau et les os, La nuit, La télévision et la guerre du Golfe, Les ratés, Les vœux du président, Une nuit à l’Élysée, Henry V, Conversation en Sicile, tandis que Bezace met en scène Héloïse et Abélard, Jours tranquilles en Champagne, Emmanuel et ses ombres - Le piège, Marguerite et le Président, La femme changée en renard, La noce chez les petits bourgeois et Grand peur et misère du Troisième Reich, Péreira prétend, etc.

Durant ces années, le Théâtre de l'Aquarium accueille aussi des spectacles extérieurs ou créés in situ (comme ceux de Jean-Pierre Wenzel, Jean-Louis Hourdin, Chistian Schiaretti, Catherine Anne, Claude Yersin, Frédéric Bélier-Garcia...).

Didier Bezace prend la direction du Théâtre de la Commune (CDN d’Aubervilliers) en 1997, et Jean-Louis Benoît 
part à La Criée (CDN de Marseille) en 2001.

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Titre du 
Spectacle : Marchands de ville
Paris (France) : Création au Théâtre national de Chaillot - 19-02-1972
Metteur en scène : Jacques Nichet , Thierry Bosc
 
Représentation :Paris (France) : Théâtre national de Chaillot - 19-02-1972
Contributeurs : mise en scène de Thierry Bosc et Jacques Nichet ; création collective du Théâtre de l'Aquarium ; texte établi par Jacques Nichet ; décors et costumes de Jean-Marie Eichert, Tillia Koivurova, Anne Saussois, Alain Schons
Note : Musique : Jacky Moreau. Travail de marionnettes : Renée Citron.

 Spectacle repris à Paris, Théâtre de la Cité Internationale du 14 Avril au 27 Mai 1972
 dans une version légèrement remaniée

Distribution :Avec Jean-Louis Benoit : Volcani et un Propriétaire et des Locataires ; Didier Bezace : Sacha et Alexandre Talbin ; Thierry Bosc : Monsagouin et des Locataires ; Bernard Faivre : Lasajou et un Propriétaire et des Locataires et Ravicelli ; Laurence Fevrier : une Cliente et une Propriétaire et des Locataires ; René Levy : Chaudecaisse et un Propriétaire et Tibéron ; Henri Marcas : Domitien Talbin ; Louis Merino : Craquenard et César Talbin ; Jacky Moreau : Monsieur Fric ; Karen Rencurel : une Cliente et 
une Propriétaire et le Coryphée et des Locataires

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Bon état général, propre

Photo pouvant être légèrement incurvée, légers gondolements sur bords,
minimes frottements sur bords 

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cf visuels...


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 Très Rare!

Photographie vendue en l'état décrit, telle que trouvée dans la superbe collection 
 de Josseline Le Bourhis...

Comme toujours, frais de port groupés en cas d'achat de plusieurs photographies ou documents...



 photo P1270556_zpszxtfm9t1.jpg  photo P1270557_zps0xn9zokj.jpg  photo P1270555_zpshqacfi7m.jpg   



Ci-dessous l'affiche originale du spectacle
(1 seul exemplaire, en vente dans ma boutique ebay, si elle n'a pas déja été achetée...)

 photo P1250272_zpsfzzgbbe3.jpg  photo P1250275_zpsjqchoprk.jpg  photo P1250269_zpsg3xyntgg.jpg

Durant les années 1970, la troupe pratique principalement la création collective (sous le regard synthétiseur de Jacques Nichet) : il s'agit de créer des spectacles à partir d'improvisations, réécrites par l'ensemble de la troupe. Il n’est plus question de mettre les classiques à la portée de tous, ni même d’en proposer une « lecture » originale, mais de créer un théâtre nouveau, immédiat et visuel, en prise directe avec l’actualité, s’écrivant à partir de multiples improvisations nourries de documents, d’interviews et de longues enquêtes sur le terrain. Parmi les spectacles réalisés à l'époque : Gob ou le journal d'un homme normal (1973), Marchands de ville - sur les grandes restructurations urbaines et contre les expulsions abusives (1972), ou encore La jeune lune tient la vieille lune t