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Riche Juif Portrait Assis Ancien Homme & Bâton ~1840 Rembrandt Estampe Gravure

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PORTRAIT D'UN JUIF

Artiste: Rembrandt Graveur: J. Rodgers

L'IMAGE EST BEAUCOUP PLUS NETTE ET PLUS LUMINEUSE QUE LES SPECTACLES SCAN !!

UN EX-BARQUET DE GRAVURE EN ACIER DE HAUTE QUALITÉ DES ANNÉES 1830 !!

PARFAIT POUR ENCADRER COMME UNE IMPRESSION D'ART POUR VOTRE DEN !!

ASPECT TRÈS ANTIQUE ET ANCIEN MONDE. ARTICLE(S) DE PLUS DE 160 ANS !!

Cette image d'un homme éclairé de façon spectaculaire d'un côté alors qu'il saisit sa canne et regarde fixement le spectateur d'un air plutôt distant n'est probablement pas un portrait. Il s'agit plutôt d'une étude d'un type de personnage, vêtu d'un costume exotique destiné à évoquer une époque antérieure. Représenter des personnages en costume historique imaginaire était courant à l'époque. Rembrandt en a peint plusieurs et le sujet, l'éclairage et l'utilisation de la couleur dans ce tableau rappellent son travail. Mais alors que sa signature est visible en bas à gauche du tableau, la plupart des historiens de l'art la considèrent désormais comme fausse et qu'il s'agit d'une œuvre d'un de ses élèves ou imitateurs. Les nombreux ajustements de la position du modèle et la forme de son chapeau révélés par les images aux rayons X suggèrent une approche moins confiante de la peinture que ce à quoi on pourrait s'attendre de Rembrandt lui-même.

Van Ryn Rembrandt était le fils d'un meunier et est né dans un village près de Leyde, en 1606. Son vrai nom était Gerretsz, mais il obtint celui de Van Ryn du lieu où il passa la jeunesse de sa vie, qui se trouvait sur les bords du Rhin. Il fut d'abord placé sous Jacob Van Zwanenburg, avec qui il resta trois ans, et donna des preuves de talents hors du commun qui surprirent son instructeur. Après cela, il étudia auprès de Peter Lastman, mais ne resta pas plus de six mois avec lui ; et pendant la même durée, il fut l'érudit de Jacob Pinas, de qui, dit-on, il acquit ce goût pour les forts contrastes d'ombre et de lumière qu'il cultiva toujours avec tant de bonheur. Il forma cependant tout à fait sa manière, en étudiant et en imitant la nature, qu'il copiait dans son habit le plus simple, sans aucune attention à l'élégance de son choix. Mais bien que ce ne soit pas son talent de sélectionner ce qui était le plus beau ou le plus gracieux, il avait pourtant un pouvoir étonnant de représenter chaque objet avec une vérité, une force et une vie telles que rien d'autre que la nature elle-même ne peut l'égaler. Sur les conseils d'un ami, Rembrandt fut convaincu d'emporter une de ses premières représentations à La Haye, où il l'offrit à un marchand qui lui offrit aussitôt cent florins pour le tableau. Cet incident jeta les bases de sa fortune ; car non-seulement elle servait à faire connaître au public ses capacités, mais contribuait à le rendre plus sensible à son mérite. Il s'installa bientôt après à Amsterdam, afin de pouvoir exercer sa profession avec avantage. Les affaires se pressèrent aussitôt sur lui, de manière à lui laisser à peine le temps de satisfaire la demande générale de ses tableaux ; mais il avait tant d'élèves que la richesse y affluait. Comme la plupart de ses savants étaient fils de gens de condition ou de fortune, il recevait de chacun cent florins par an pour leur instruction ; et il eut assez d'insolence pour lever aussi une somme considérable, par la vente des copies qu'ils faisaient d'après ses tableaux et dessins, qu'il retouchait toujours en plusieurs parties, pour augmenter leur valeur, et faire croire aux acheteurs qu'ils étaient les siens. Par ce trafic, et une gestion habile de la vente de ses eaux-fortes, il gagnait au moins chaque année deux mille cinq cents florins. Son style de peinture, dans les premières années de sa pratique, était très différent de celui de ses derniers temps ; pour ses premières performances ont été finies fortement, et avec un crayon soigné, ressemblant à ceux de Mieris ; mais il prit ensuite un style de coloration et de manipulation aussi opposé que possible ; fort, audacieux, et avec un degré de force étonnant, dans lequel il n'a été dépassé par aucun artiste, bien que Reckhout, et quelques-uns de ses meilleurs disciples, se soient approchés très près de lui. Dans sa première manière sont les images historiques d'Assuérus, d'Esther et d'Haman ; la Femme adultère ; et Saint-Jean prêchant dans le désert ; qui sont exquisément finis, et pourtant touchés d'un feu et d'un esprit inexprimables. A mesure qu'il avançait dans l'art, il prenait des libertés avec le crayon, travaillait avec toute la plénitude du pinceau, et laissait le toucher intact : il employait même le bâton, le couteau à palette ou ses doigts, selon qu'ils étaient le plus capable de produire l'effet qu'il désirait, vu à une distance appropriée.

L'invention de Rembrandt était très féconde, et son imagination vive et active ; mais sa composition, malgré sa force d'expression remarquable, était dépourvue de grandeur ; et bien que son génie fût plein de feu, il voulait pourtant élever la pensée, et n'avait que peu ou pas de notion de grâce ou d'élégance. On a dit que s'il avait visité Rome, son goût se serait affiné d'autant, et que la connaissance de l'antique, jointe à ses autres qualités éminentes, aurait pu produire un maître égal au caractère le plus élevé. . Cette conclusion, cependant, peut être mise en doute, lorsque l'on considère la prévalence de l'habitude ; et que son esprit était rempli d'idées grossières d'objets, auxquels il avait été familiarisé dès son enfance. Il faut également remarquer que, bien qu'il se soit fourni les plus belles estampes, dessins et dessins italiens, dont beaucoup sont tirés des antiquités, il n'a jamais amélioré son goût en les étudiant. Il avait, en effet, plus de plaisir à contempler son propre dépôt de vieilles draperies, armures, armes et turbans, qu'il appelait en plaisantant ses antiquités, qu'il n'en éprouva jamais en parcourant les œuvres des artistes grecs, ou les compositions de Raphaël, son la coloration est surprenante, et ses œillets sont aussi vrais, frais et parfaits que ceux des œuvres de Titien ou de tout autre maître ; avec cette différence que la coloration du Titien admettra l'inspection la plus rapprochée, tandis que celle de Rembrandt doit être vue à une distance convenable ; et alors un degré égal d'union, de force et d'harmonie peut être observé dans les deux. Ses portraits sont avoués excellents ; mais, par son être accoutumé à imiter exactement la nature, et la nature qu'il imitait être toujours du genre lourd, ses portraits, bien qu'admirables par la ressemblance et l'aspect de la vie, manquent de grâce et de dignité dans les airs et les attitudes.

Quant aux autres détails, il était si exact de donner la vraie ressemblance des personnes qui l'assistaient, qu'il distinguait le trait et le caractère prédominants de chaque visage, sans chercher à l'améliorer ni à l'embellir. Beaucoup de ses têtes montrent une exactitude si minutieuse, qu'elles montrent même les poils de la barbe et les rides de la vieillesse ; pourtant, à bonne distance, l'ensemble a un effet étonnant, et chaque portrait apparaît comme partant de la toile. Ainsi, une photo de sa servante, placée à la fenêtre de sa maison à Amsterdam, aurait trompé les passagers pendant plusieurs jours. De Piles, lorsqu'il était en Hollande, non-seulement s'assura de la vérité de ce fait, mais acheta le portrait, qu'il estimait comme l'un des plus beaux ornements de son cabinet. Ses couleurs locales sont extrêmement bonnes ; il comprenait parfaitement les principes du clair-obscur ; et, dit-on, il peignait généralement dans une chambre conçue de manière à n'admettre qu'un seul rayon de lumière, et celui d'en haut. Les lumières de ses tableaux étaient peintes avec un corps de couleur inhabituellement épais, comme si l'artiste avait l'intention de modeler plutôt que de peindre ; mais il connaissait si bien la nature et la propriété de chaque teinte particulière, qu'il plaça chacune à sa place ; par ce moyen il a évité la nécessité de casser et de torturer ses couleurs, et les a préservées dans la pleine fraîcheur, beauté, et lustre. Un de ses plus grands défauts est apparu dans sa conception du nu, dans lequel il était excessivement incorrect ; les corps étant ou trop gros ou trop maigres, les extrémités trop petites ou trop grandes, et le tout généralement disproportionné. Mais dans d'autres parties, telles que la coloration, l'expression et la force produite par les lumières et les ombres heureusement et harmonieusement opposées, il avait peu d'égaux et aucun supérieur.

Les œuvres authentiques de Rembrandt se rencontrent rarement et produisent des prix incroyables. Beaucoup d'entre eux, cependant, sont conservés dans les collections de la noblesse anglaise ; les uns sont au palais ducal à Florence, où le portrait de Rembrandt, peint par lui-même, est placé dans la galerie des artistes ; quelques-unes de ses œuvres sont à Gênes, quelques-unes à Turin, et plusieurs dans le cabinet royal de France. Les eaux-fortes de Rembrandt sont extrêmement admirées, et rassemblées avec beaucoup de soin et de dépense pour les cabinets des curieux dans la plupart des parties de l'Europe ; mais on remarque qu'aucune de ses estampes n'est datée avant 1628, ni après 1659, bien qu'il y ait plusieurs de ses peintures datées de 1660, et en particulier le portrait d'un frère franciscain. Il avait le même esprit dans chaque coup de burin que dans les marques de son crayon ; il semble qu'il n'y ait pas une seule touche qui ne produise l'expression et la vie. Strutt donne 340 comme nombre d'empreintes de Rembrandt ; mais De Burgy, à La Haye, en a recueilli 655, y compris les variétés. Ce grand artiste mourut à Amsterdam en 1674, ou, selon d'autres, en 1688.

Le Portrait d'un marchand juif est considéré comme l'un des meilleurs que l'artiste ait jamais peints. L'effet est tout à fait saisissant, et est peut-être d'autant plus agréable qu'il a admis dans le tableau une plus grande part de lumière qu'il n'était d'habitude chez lui. Il a toutes les apparences d'avoir été fidèlement copié de la nature, étant entièrement exempt de toute affectation, et semble représenter le caractère, la robe et tout, tout comme placé devant le peintre dans son bureau. Présenté à la Nation par Sir George Beaumont, Bart.-Hauteur, 4 pieds 6 pouces; largeur, 3 pieds 4 pouces.

TAILLE: La taille de l'image en pouces est de 4 1/2" x 5 1/4", la taille globale de la page est de 7" x 10".

ÉTAT: Bonne condition. Rien au revers. Imprimé sur du papier chiffon épais. Papier chiffon épais de qualité.

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Une gravure est un processus d'impression en taille-douce, le dessin à produire est découpé sous la surface de la plaque (en cuivre, en acier ou en bois), et les lignes incisées sont remplies d'encre qui est ensuite transférée sur papier. Les portraits sur notre monnaie sont de bons exemples d'images gravées. Une photogravure est un procédé en taille-douce dans lequel la plaque est produite photographiquement. Attention : les termes utilisés dans nos ventes aux enchères pour la gravure, l'héliogravure, la lithographie, le dessin au trait, la photogravure etc. sont TOUTES les images sur papier.

C'EST UNE GRAVURE SUR ACIER RÉELLE DES ANNÉES 1830 !

PAS UNE REPRODUCTION !

Van Ryn Rembrandt était le fils d'un meunier et est né dans un village près de Leyde, en 1606. Son vrai nom était Gerretsz, mais il obtint celui de Van Ryn du lieu où il passa la jeunesse de sa vie, qui se trouvait sur les bords du Rhin. Il fut d'abord placé sous Jacob Van Zwanenburg, avec qui il resta trois ans, et donna des preuves de talents hors du commun qui surprirent son instructeur. Après cela, il étudia auprès de Peter Lastman, mais ne resta pas plus de six mois avec lui ; et pendant la même durée, il fut l'érudit de Jacob Pinas, de qui, dit-on, il acquit ce goût pour les forts contrastes d'ombre et de lumière qu'il cultiva toujours avec tant de bonheur. Il forma cependant tout à fait sa manière, en étudiant et en imitant la nature, qu'il copiait dans son habit le plus simple, s
Originality Original
Date of Creation 1800-1899
Medium Engraving