TRES BEL OBJET ANCIEN D ORIGINE RUSSE
POINCONNE PLUSIEURS FOIS DONT 84
DIMENSIONS SANS LA CHAINETTE 6.7 CM SUR 4.5 CM DE LARGEUR 
POIDS 30 GR
OBJET DE VITRINE EN PARFAIT ETAT

C’est à la Russie que la parfumerie moderne doit l’une de ses plus anciennes familles, les accords cuirés. Cette note de bouleau pyrogéné, avec lequel les Cosaques entretenaient leurs bottes, est devenue la carte d’identité olfactive du pays quand Guerlain, en 1875, concocta le premier cuir de Russie, pour la cour des tsars. Des formules similaires embaumeront l’Europe de la Belle Époque, avant que Gabrielle Chanel ne livre, en 1927, une des plus belles interprétations du genre. Outre son esprit romantique, qui résonne chez nous, la Russie devient, comme le Moyen-Orient, un eldorado pour les labels de fragrances. Là-bas, les femmes ont toujours adoré le parfum. Seulement, sous l’ère soviétique, le choix était maigre (et local). « Les grands noms comme Chanel et Dior étaient vendus uniquement dans les berioskas, les magasins en devises réservés aux élites du régime. À la chute du communisme, leurs produits sont devenus le symbole du chic ultime auprès de la population, note Isabelle Garcia-Pelayo, agent de marques en Russie. Pour les Russes, la séduction constitue une affaire capitale. Leur parfum est alors, comme le maquillage, une façon de se distinguer. Celles qui ont de l’argent et la jeune génération aiment le très haut de gamme,  Les Russes ont moins d’a priori olfactifs que les Européennes, elles osent davantage, dit M. Hennessy. En revanche, avec ­elles, il faut rester dans des codes visuels de luxe évidents. Mon style sexy-boudoir, avec ses flacons épais laqués de noir, leur parle. » 
Alors que le Français pose, se regarde, le Russe possède un panache presque sauvage. Et puis ces conversations pendant des heures..... sur l’amour....... le sens de la vie…..............!!!!.