● Henri BRISSON -- (Bourges 1835 -- Paris 1901) ● 
Avocat, journaliste et homme d'État français.

 ● Aristide REY -- (Grenoble 1834 -- 1901) ● 
Homme de lettres et homme politique français

L.A.S - Paris, 30 juin 1893
2p in-8 - (13.5x21cm env.)
 

L.A.S. de Brisson, contresignée par Rey, en-tête de la Chambre des Députés, adressée au ministre [de l’Instruction], Raymond POINCARE à la date de la lettre

Recommandations d’un inspecteur scolaire (M. Thou)

Bel état de conservation 
Envoi soigné

Informations complémentaires concernant Aristide REY :
Aristide Rey est le fils d'Hugues Rey, marchand drapier de Grenoble, et de Françoise Chabert, le frère d'Edouard Rey (industriel gantier et sénateur-maire républicain de Grenoble) et époux d'Isaure Périer (militante de l’école et des droits de la femme avec André Léo).
Aristide Rey, a été étudiant en médecine à Paris mais fut exclu en 1865 à cause de ses prises de positions politiques. Il faisait notamment partie de l'AIT (Association internationale des travailleurs, dans la branche libertaire anti-autoritaire). Il fut militant blanquiste et internationaliste, avant de devenir bakouniniste puis communard et enfin député républicain.
Une amitié liait particulièrement Élisée Reclus et James Guillaume, Aristide Rey et Élie Reclus, James Guillaume et Ferdinand Buisson. Les Reclus, Buisson et Rey firent partie du comité de rédaction du journal La République des Travailleurs (organe de l'AIT, section des Batignolles et Ternes). Rey fut aussi un ami de Paul Robin.
Il assista à Genève au premier congrès de l'Internationale en septembre 1866. Il était à Berne au "Congrès de la Ligue de la Paix et de la Liberté" le 25 septembre 1868, mais dans la minorité qui se retira afin de fonder "l'Alliance internationale de la démocratie socialiste" qui fut une section de l'Internationale. À la fin de l'année 1868 il est allé militer en Espagne avec Élie Reclus et Giuseppe Fanelli, de manière trop républicaine selon Bakounine.
Du 6 au 12 septembre 1869, il assista au 4e congrès de l'Internationale de Bâle. Il a dirigé la Bibliothèque nationale avec Élie Reclus pendant la Commune de Paris, puis fuyant la répression versaillaise, il s'enfuit en Suisse et en Italie. En janvier 1871, il est signataire de "l'Affiche rouge" puis il fut présenté par l'Internationale aux élections de février, aux côtés de Benoît Malon, en tant que socialiste révolutionnaire.
Il fut amnistié en 1879, puis rentra à Paris où il fut élu conseiller municipal du Ve arrondissement. Dès le 4 novembre 1880, il saisit le Conseil municipal pour organiser les enfants des écoles communales de garçons en bataillons armés afin de leur inculquer l'esprit républicain et de combattre l'esprit de caste des armées permanentes ; sa proposition était approuvée le 19 juillet suivant ; un premier bataillon puis d'autres se formèrent rapidement.
Aristide Rey fit ensuite partie d'une commission de l'orphelinat Prévost à Cempuis dirigé par Paul Robin. Abandonnant ses idées libertaires il fut élu député républicain de l'Isère de 1885 à 1898. En 1885 il se présente sur la liste du comité radical, mais il passe dans le groupe des républicains modérés aux élections de 1893 (réélu au scrutin de ballottage car une partie de ses électeurs s'était tournée vers le candidat socialiste). Aux élections de 1899, les socialistes lui opposent le disciple favori de Jules Guesdes, le jeune Bourson dit Zévaès, qui l'emporte face à A. Rey avec l'appui des voix radicales.
Aristide et Isaure Rey sont morts sans enfants. Amateurs d'art, ils léguèrent une partie de leur collection au musée de Grenoble.
Il existe un portrait d'Aristide Rey, par Jules Bernard (élève d'Ernest Hébert).


Informations complémentaires concernant Henri BRISSON :
Jeunesse[modifier | modifier le code]
Son père, Louis-Adolphe Brisson, avoué d'appel à Bourges, où il a formé un parti républicain, et la Revue mensuelle et, en 1831, la Revue du Cher, de l’Indre et de la Nièvre à la fin de la Restauration, a été président du comité antiplébiscitaire de 1870, et a été élu au conseil général du Cher, comme candidat républicain1. Après de bonnes études au lycée de Bourges, il fit son droit à Paris1. Encore étudiant, il se lia d'amitié avec des professeurs démissionnaires pour refus de serment à l'Empire, comme Frédéric Morin, Jules Barni, Eugène Despois et Ribert1. À 19 ans, en 1854, il participa avec ceux-ci à la fondation, au Quartier latin, de l'Avenir, le premier journal républicain du quartier Latin1, revue hebdomadaire des lettres, avec la collaboration d'Eugène Pelletan, de Catalan et de Vacherot. Le journal l'Avenir fut supprimé peu après par jugement. Brisson y publia par exemple des articles sur Marnix de Sainte-Aldegonde et Les Révolutions d'Italie d'Edgar Quinet ainsi que Les Réformateurs au xvie siècle de Victor Chauffour.
En 1856, il entra dans les loges maçonniques, dont il devint bientôt l'un des membres les plus actifs et où se révéla son talent oratoire1.
Journalisme[modifier | modifier le code]
En 1856-57, il collabora à la feuille italienne la Ragione, journal de philosophie religieuse, politique et sociale, fondée à Turin par Ausonio Franchi. Au rang des collaborateurs de la Ragione, figuraient Charles Renouvier, Louis de Potter, Edgar Quinet et Louis Blanc. Brisson y publia des Lettres sur le mouvement littéraire et philosophique français. Il collabora également à la Revue philosophique et religieuse avec Émile Littré, Charles Renouvier, Amédée Guillemin, Élisée Reclus et Charles Fauvety.
En 1859, avec Frédéric Morin et quelques autres amis, il contribua à la création du Progrès de Lyon, journal libéral, très hostile à l'Empire. Il y publiait une rubrique Correspondance parisienne, que le préfet du Rhône, au bout de peu de temps, ordonna de ne plus faire insérer2,3. De 1861 à 1865, Brisson collabora au Phare de la Loire, y donnant de nombreux articles politiques, ainsi que quelques critiques littéraires, comme son grand article sur l’Histoire de la campagne de 1815 d’Edgar Quinet, et le texte de conférences qu'il fit à Paris en avril 1864 sur des pamphlétaires, tels Paul-Louis Courier et Claude Tillier3.
Il alla passer l'hiver en Égypte, et il fit paraître dans la Réforme littéraire une série de lettres intitulée Au bord du Nil, mêlant charme descriptif et pensée philosophique3. Outre la Réforme littéraire et le Phare de la Loire (1861)1, il publia également dans la Revue littéraire du mois de Lille un article sur les brochures que venaient de faire paraître Ernest Renan et Charles Lemonnier3. Enfin, le 30 mai 1864, il entra au Temps, fondé et dirigé par Auguste Nefftzer, où on remarque un article sur la mort de Prosper Enfantin3, et qu'il quitta au mois de mai 1869 pour L'Avenir national, fondé par Alphonse Peyrat, journal républicain plus avancé1 et où il devait rester jusqu'à la guerre de 1870. En 1868, il créa et rédigea, avec ses amis Challemel-Lacour et Gambetta, la Revue politique, fut poursuivi pour un article publié dans ce recueil et prononça lui-même sa défense en police correctionnelle, qui fut très remarquée1.
Parcours politique[modifier | modifier le code]
Séance scandaleuse à la Chambre des députés dans le supplément illustré du Petit Journal, no 377 du dimanche 6 février 1898.
Caricature de Brisson par André Gill, dans les Hommes d'aujourd'hui, no 94, 1880.
Il s’était fait un nom dans le journalisme avant de s’en faire un comme orateur et comme homme politique1. À ce point de vue, il a été, en 1866, du très petit nombre de ceux qui, avant Sadowa, ont signalé le danger que l'ambition de la Prusse faisait courir à la France, à une époque où presque tous les écrivains du parti républicain démocratique se prononçaient pour la Prusse contre l’Autriche3.
Le dimanche 6 août 1865 parut le premier numéro de la Morale Indépendante, hebdomadaire fondé avec Alexandre Massol, et qui servit d'organe à un mouvement philosophique qui partait des loges maçonniques dans le but d'opposer la morale humaine, progressive, à la morale théologique et ascétique3. De 1865 à 1867, Il y publia, outre ses articles de polémique courante, de nombreux articles philosophiques et littéraires, qui eurent un succès suffisant pour que le Père Hyacinthe, qui prêchait alors à Notre-Dame, consacre ses conférences de l'Avent 1865-1866, à combattre les doctrines de la Morale indépendante3.
À partir de cette période, son engagement politique, manifeste déjà depuis de nombreuses années, s'intensifia. Le 1er février 1866, il entra à la Revue Nationale et étrangère, fondée par l'éditeur Gervais Charpentier, revue libérale et littéraire où collaboraient Édouard Laboulaye, Pierre Lanfrey, Eugène Despois, etc. Il y publia divers articles contre la Prusse et, ce fut lui qui fut chargé de la chronique politique quand la Revue Nationale devint hebdomadaire3. Il multiplia ses articles politiques dans l'Almanach de la Coopération (par exemple La Tyrannie au village ou N'oublions pas la politique) et dans le Siècle, préfaça l'ouvrage l'Angleterre et ses institutions, et, en 1868, participa à la fondation de la Revue politique et littéraire avec Gambetta, Challemel-Lacour, Allain-Targé, Clément Laurier, etc. Il écrivit des articles sur Dufaure, sur la France Nouvelle, ouvrage de Prévost-Paradol, qui y défend le gouvernement parlementaire, sur la Révolution, sur le salaire des cultes, sur la souscription Baudin3. Ce dernier article lui valut de passer au tribunal. Étant avocat, il se défendit seul, et fut condamné, mais ce procès et cette condamnation le lancèrent définitivement dans la politique militante3.
Candidat à Paris aux élections complémentaires de 1869, il eut le plus grand succès dans les réunions politiques, mais se vit préférer Glais-Bizoin1. Après le 4 septembre, il entra comme garde national dans le corps d’artillerie du colonel Schœlcher, qu'il abandonna bientôt pour remplir les fonctions d'adjoint au maire de Paris4. Nommé après le 4 septembre adjoint au maire de Paris, dans la soirée du 31 octobre, il joignit sa signature à celles de Dorian, Schœlcher, Arago, Floquet et Hérisson sur l’affiche qui convoquait les électeurs pour la nomination d'un conseil municipal. Cette affiche ayant été désavouée par le gouvernement, il donna sa démission d'adjoint, mais conserva ses fonctions de membre de la commission de l'assistance publique et de l'enseignement primaire, où il eut plusieurs fois l'occasion de défendre avec énergie la cause de l'enseignement laïque1.
Élu à l’Assemblée nationale représentant de la Seine le 8 février 1871, il siégea à l'extrême gauche1. Alors qu'il n'avait pas approuvé la Commune, il fut le premier à proposer une amnistie pour les condamnés (13 septembre 1871), ainsi que d'une des propositions de dissolution déposées au nom de l'extrême gauche1, mais sa proposition fut rejetée aux voix. Membre du groupe de l'Union républicaine, il en devint le président. Réélu en 1876, il est en mai 1877 l'un des signataires5 du manifeste des 363. Il fut également président de la commission du budget en 1879, président de la Chambre des députés le 3 novembre 1881, en remplacement de Gambetta jusqu'en mars 1885, où il devint président du Conseil après la démission de Jules Ferry. Mais il démissionna quand, après les élections générales de cette année-là, il n'obtint que de justesse une majorité lors du vote de crédits pour l'expédition du Tonkin.
Élu, aux élections législatives du 20 février 1876, pour le 10e arrondissement de Paris (Seine), par 15, 650 voix, un groupe d'électeurs de cet arrondissement lui soumit le programme suivant : « Amnistie ; Suppression de l'état de siège ; liberté de la presse ; Liberté d'association et de réunion ; Élection des maires et adjoints par les conseillers municipaux ; Instruction primaire obligatoire, gratuite et laïque ; Défense de la société civile contre l'envahissement clérical ; Séparation de l'Église et de l’État ; Service militaire obligatoire pour tous; Révision de l'assiette des impôts tendant à dégrever le travail et la production4. » Il leur répondit :
« Sur les dix articles que contient votre programme, il en est huit dont j'ai déjà pris la défense à la tribune de l'Assemblée nationale. J'ai soutenu les deux autres de mes votes. C'est le programme de la République radicale, (c’est-à-dire de la République démocratique, libérale, progressive, ouverte à toutes les bonnes volontés. Si les électeurs m'honorent de leurs suffrages. je ferai dans l'avenir ce que j'ai fait dans le passé; mes efforts seront consacrés à. poursuivre la réalisation de nos principes communs. Vous me permettrez d'insister plus spécialement sur un point : la défense de la société civile contre le parti clérical. Le parti clérical, tel est l'adversaire contre lequel il faut lutter sans violence, mais non sans faiblesse, par la libre discussion et par les lois4. »
En 1885, 1887, 1894 et 1895, il fut candidat à l'élection présidentielle, où il échoua à sa dernière tentative face à Félix Faure (361 voix contre 430 sur 801 votants).
ll a prononcé un grand nombre de discours : sur le conseil supérieur de l’instruction publique, sur la nouvelle loi du jury, sur la loi Ernoul donnant à la commission de permanence le droit de requérir durant les vacances des poursuites en cas d’offense à l’Assemblée, contre la restitution aux princes d’Orléans des biens formant l’objet de la donation du 7 août 1830, contre la loi des maires, la loi électorale politique et la loi électorale municipale, etc1. Il a présidé la réunion de l'Union républicaine, voté pour l’ensemble des lois constitutionnelles, contre l’abrogation des lois d'exil, le 24 mai, l'état de siège et la loi des maires4. Il a également mérité la reconnaissance des Parisiens, en faisant adopter par l’Assemblée la loi grâce à laquelle a été rendu au conseil municipal de Paris le droit de voter son budget extraordinaire, droit dont une loi de l’Empire restée en vigueur l’avait dépouillé. Sans cette sage précaution à laquelle personne ne songeait, l’Assemblée aurait eu le droit de régler le budget de la ville, et le maintien de cette législation aurait pu provoquer de graves conflits1.
Toujours homme public en vue, il prit une part prépondérante dans la dénonciation du scandale de Panama et fut au nombre des candidats le plus évoqués pour la présidence après l'assassinat du président Carnot en 1894. Il redevint président de la Chambre de décembre 1894 à 1898. En juin 1898, il forma un gouvernement quand le pays fut violemment agité par l'affaire Dreyfus ; il prit parti pour Alfred Dreyfus. Il eut comme secrétaire particulier un jeune avocat israélite : Louis André Caen ; sa fermeté et son honnêteté augmentèrent le respect du public à son endroit, mais un vote hasardeux renversa son ministère en octobre6. Comme chef des radicaux, il soutint activement les ministères Waldeck-Rousseau et Combes, particulièrement en ce qui concerne les lois sur les congrégations religieuses et la séparation de l'Église et de l'État. Il fut élu président de la Chambre des députés par 500 voix sur 581.
Le 8 juillet 1905, les congressistes du Parti radical l’ont nommé, par acclamation, membre du comité exécutif de cette formation politique7.
Franc-maçonnerie
Franc-maçon, fermement anticlérical, il était partisan convaincu de l'éducation primaire obligatoire8. Il est initié et reçu dans la loge « Saint Vincent de Paul » n°133, appartenant à la Grande Loge centrale de France au sein du Suprême Conseil de France le 7 novembre 18569. Cette loge prend ensuite la dénomination de « La Justice » no 133. Elle appartient à la Grande Loge de Francen 1, créée en 1894. Il est très actif jusqu'en 1870 et bénéficie d'une aura et d'une image importante au sein de la franc-maçonnerie en général10. Il s'en détache partiellement par obligation, ses engagements politiques l'éloignant parfois des temples maçonniques11.
On lui prête une intervention particulière à la tribune de l'Assemblée nationale qui est demeurée célèbre mais qui n'est attestée d'aucune façon, documents officiels, articles de journaux, ni de témoignages11. Le 22 juin 1899, Henri Brisson y aurait fait le célèbre « signe de détresse » maçonnique : du haut de la tribune, Brisson prend une posture peu ordinaire, il croise les doigts, paumes vers l’avant, tend les bras au-dessus de sa tête, face vers le ciel, renverse son corps en arrière (un signe appartenant au grade de maître maçon) et lance un « À moi les enfants de la veuve ! » Ce cri, dit-on, aurait permis de rallier les députés francs-maçons présents et sauver le ministère Waldeck-Rousseau12.
Fonctions[modifier | modifier le code]
Il occupa les fonctions de président du Conseil des ministres à deux reprises :
du 6 avril 1885 au 29 décembre 1885 : voir gouvernement Henri Brisson (1)
succédant à Jules Ferry (2e gouvernement), et étant à son tour remplacé par Charles de Freycinet (3e gouvernement),
du 28 juin 1898 au 26 octobre 1898 : voir gouvernement Henri Brisson (2)
succédant à Jules Méline (gouvernement Méline), et étant à son tour remplacé par Charles Dupuy (4e gouvernement)n 2
Postérité[modifier | modifier le code]
Le 3 mai 1883, en présence de Jules Ferry, il inaugure à Vierzon la première école nationale professionnelle (ENP). Ce lycée porte actuellement le nom de lycée polyvalent Henri-Brisson13.
Il existe depuis 1928 une rue Henri-Brisson dans le 18e arrondissement de Paris, voie ouverte sur l’emplacement du bastion 38 de l’enceinte de Thiers.


Source : wikipedia


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