Ouvrage de littérature française...
...dans lequel l'Aristocratie et les beaux partis s'adaptent à l'évolution politique
"Les PETITES CARDINAL"


"Le père, Horace, pour faire face à l'adversité, a dû accepter un poste de portier. Mais il porte encore beau et a le geste - sinon le sang - noble. Il professe des idées républicaines : 

M. Thiers est sa bête noire. Il veut bien donner sa fille cadette, 

Pauline, à un roturier, Gaspard, ébéniste de son état; mais il s'oppose, provisoirement du moins, à ce que l'aînée, Virginie, épouse le marquis de Cavalcanti, qui lui fait une cour 

empressée. Les événements vont peut-être le faire changer d'avis : 

des barricades se dressent dans Paris, on tire sur les Communards...."


par
Ludovic HALÉVY

Ludovic Halévy, né à Paris le 1er janvier 1834 et mort à Paris le 7 mai 1908, est un auteur dramatiquelibrettiste d'opérettes et d'opéras, et romancier français.Ludovic Halévy entra dans l'administration en 1852. Il fut notamment secrétaire-rédacteur à l'Assemblée nationale, puis chef de bureau au ministère des Colonies. Il collabora avec le duc de Morny au Corps législatif, et aussi pour le livret de son opérette Monsieur Choufleuri restera chez lui, mise en musique par Jacques Offenbach(1861). Sa carrière littéraire prit rapidement un tour suffisamment favorable pour lui permettre de quitter l'administration en 1865.

Il collabora pour de nombreux livrets d'opérettes avec Léon BattuHector Crémieux, et surtout Henri Meilhac (1831-1897), avec qui il donna les livrets des plus célèbres uvres scéniques de Jacques Offenbach 

Le duo composa également des vaudevilles et des comédies

Dans cette collaboration de vingt ans, il est difficile de déterminer ce qui revient à Meilhac et ce qu'on doit à Halévy. Si l'on en juge par les uvres que ce dernier signa seul, il avait, avec autant d'esprit et d'alacrité que son coéquipier, plus de goût, de raffinement, de profondeur et d'humanité, et aussi moins de loufoquerie et d'imagination.

Ludovic Halévy Seul, créa les personnages de la famille Cardinal, symbole de la petite bourgeoisie parisienne pompeuse, pédante et méchante dans un ouvrage nommé

"Les Petites Cardinal" chez Calmann-Lévy en 1880

 Il fut élu le 4 décembre 1884, à L'Académie française, au fauteuil 22, succédant à Joseph Othenin d'Haussonville. Sa réception officielle eut lieu le 4 février 1886. Il y soutint, en vain, les nombreuses candidatures de son ami Émile Zola et cessa quasiment d'écrire. Référence WIKIPEDIA


sommaire

-Les Petites Cardinal
-Madame Canivet
-Le programme de monsieur Cardinal
-Pauline Cardinal
-Virginie Cardinal
-Le feu d'artifice
-La pénélope
-Pendant l'émeute
-Régénérés
-Un budget parisien
-La boule noire
-A l'opéra

Couverture cartonnée marbrée
Dos en percaline bleue
Titres et filets sur dos dorés à l'or fin

Illustré de douze vignettes en bandeau à chaque chapitre

d'Henry MAIGROT

Henri Maigrot est le père du poète Émile Henriot.

Après des études de droit, il se destine à la fonction publique. En 1875 il collabore, aux côtés de Laurent Tailhade, à L'Écho des Trouvères, un hebdomadaire littéraire de Toulouse.

En 1890, il devient directeur du journal Le Charivari puis remplace Draner à L'Illustration, où il collaborera jusqu'en 1931. Il fournit également des dessins au Journal Amusant pour Le Pèlerin et à l'Almanach Vermot.

Il illustré le roman de Ludovic Halévy "Les Petites Cardinal"

Proche damis musiciens, il composera des poèmes comme Lettre à Ninon mis en musique par Paul Delmet ou Chanson pour elle par Jules Massenet. Il collabore à la Revue Pleyel à partir de février 1925 en fournissant une rubrique avec dessins, La Musique anecdotique, qui devient en 1926 Le mois musical 

Le 23 janvier 1915 il crée le journal satirique La Baïonnette.

Il est l'auteur de limmortel « Comment vas-tu yau de poêle ? » paru dans l'Almanach Vermot.


Cinquième édition


PARIS
Calmann Lévy, éditeur

3 rue Auber et 15 boulevard des Italiens

A la Librairie Nouvelle

1894


Format : 120 x 180 mm

256 pages livre complet