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" LE CHAT  "


Fernand Mery
Le Chat
1966
Éditeur Pont Royal
 




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Le Chat domestique (Felis silvestris catus) est la sous-espèce issue de la domestication du Chat sauvage (Felis silvestris), mammifère carnivore de la famille des Félidés.

Il est l’un des principaux animaux de compagnie et compte aujourd’hui une cinquantaine de races différentes reconnues par les instances de certification. Dans de très nombreux pays, le chat entre dans le cadre de la législation sur les carnivores domestiques à l’instar du chien et du furet. Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs ou les oiseaux. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements, les miaulements, les feulements ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones.

Selon les résultats de travaux menés en 2006 et 20071, le chat domestique est une sous-espèce du chat sauvage issue d’ancêtres appartenant à la sous-espèce du chat sauvage d’Afrique (Felis silvestris lybica). Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant au début de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’Homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.

Tout d’abord vénéré par les Égyptiens, il fut diabolisé en Europe au Moyen Âge et ne retrouva ses lettres de noblesse qu’au xviiie siècle. En Asie, le chat reste synonyme de chance, de richesse ou de longévité. Ce félin a laissé son empreinte dans la culture populaire et artistique, tant au travers d’expressions populaires que de représentations diverses au sein de la littérature, de la peinture ou encore de la musique.

Le chat domestique mâle est couramment appelé un « chat » tandis que la femelle est appelée « chatte »2 et le jeune un « chaton »3,4,5.

Le mot chat vient du bas latin cattus, qui, d’après le Littré (édition de 1878), provient du verbe cattare, qui signifie guetter, ce félin étant alors considéré comme un chasseur qui guette sa proie. Cette interprétation porte cependant à controverse, au vu des termes utilisés dans certaines langues afro-asiatiques (berbère kadiska)6 ou nilo-sahariennes (nubien kadis)6. En latin classique« chat » se dit felis (d’où, en français, félinfélidésetc.), mais désigne uniquement le chat sauvage d’Europe, tandis que cattus s’applique au chat domestique7.

On désigne aussi plus familièrement le chat par minet ou minou et la chatte par minette. Ce terme, attesté dès 1560, provient de mine, nom populaire du chat en gallo-roman. Ce mot est à l’origine de l’expression dès potron-minet, qui signifie « de bon matin ». D’après le Littré, il s’agirait d’une déformation de paître au minet, c’est-à-dire du moment où le chat, qui se lève tôt, va chercher son paître : sa pâture, sa nourriture… Cette explication doit sans doute à la pudeur de cet auteur du xixe siècle : selon Claude Duneton8, cette expression provient de poitron-jacquetjacquet désignant un écureuil (animal matinal marchant la queue levée) et poitron désignant le postérieur. Dès potron-minet signifie donc : « à l’heure où l’on voit le derrière du chat ». Quant au « minet » ou à la « minette » qui « fait des mines », lorsque ce terme est appliqué à l’être humain, c’est un jeune homme ou une jeune fille qui s’efforce de plaire et se préoccupe beaucoup de son apparenceA 1.

Un chat mâle non castré est un « matou », terme à l’origine incertaine qui viendrait peut-être d’une dérivation de mite comme dans chattemite9. Le chat est aussi nommé familièrement « mistigri »mot-valise composé du préfixe miste, signifiant adroit, et de gris, la couleur10.

En argot, un chat s’appelle un « greffier »11,12,13. Deux explications s’opposent, qui peut-être n’en font qu’une : d’une part, le jeu de mots sur griffe est évident ; d’autre part, la fourrure de certains chats noirs comporte une sorte de plastron blanc sur le poitrail, et celui-ci évoque le rabat blanc que l’on voit sur la robe noire des greffiers à l'audienceA 2.

Les caractéristiques essentiellement de morphologie et de couleur conservées entre générations de chats servent usuellement à définir des races, dont la pureté repose sur la constance et la concordance avec des standards. Rappelons que cette notion de race a d’abord un but descriptif de catégorisation arbitraire, plutôt qu’une consistance biologique forte (seule l’espèce montre une homogénéité dont, pour certains critères, anatomiques, génétiques… la variance est parfois moindre que dans la population d’une race). Les races restent interfécondes. La consanguinité produit fréquemment des tares. Par exemple, la surdité est fréquente sur les chatons croisés de chats blancs.

En France, un chat de race est un chat ayant un pedigree33. Les registres d’immatriculation des spécimens sont maintenus par différentes associations comme les américaines TICA, l’ACFA et le CFA, la française LOOF, deux fédérations internationales, la FIFé et la WCF ou encore la GCCF britannique. Ces associations permettent l’inscription des spécimens sur des critères d’origines génétiques stricts. Ainsi tout animal dont les géniteurs ne sont pas inscrits est écarté. Ces inscriptions sont payantes.

Les chats de race sont une minorité et ne représentent selon l’AFIRAC que 5 % de la population totale des chats34. Tous les autres chats domestiques, ceux ne possédant pas de pedigree, sont considérés comme chats de gouttière, appelés également chats de maison. Le nombre de races reconnues varie du simple au double selon ces organisationsA 4. Certaines sont très anciennes, comme le siamois ou l’angora turc, d’autres ont été créées plus récemment, comme le ragdoll ou le peterbald. L’homme a également procédé à des hybridations entre chats domestiques et petits félins, ce qui a donné naissance à des races telles que le bengal.